Culture

Eva Longoria : accusée par la justice, l'actrice face à une plainte explosive de 2 millions de dollars

08 août 2025 - 20 : 12
par Mylène Eva Longoria et sa société de tequila Casa Del Sol sont accusées de ne pas avoir respecté un contrat avec Rove. Une plainte à 2 millions de dollars a été déposée. Voici les détails de l’affaire.

Elle incarne l’élégance, le glamour et la joie de vivre. Mais cette fois, Eva Longoria ne fait pas parler d’elle pour ses projets humanitaires ou ses apparitions sur tapis rouge. L’actrice américaine se retrouve en effet mêlée à une affaire judiciaire aux États-Unis, à cause de sa marque de tequila Casa Del Sol. Une plainte à 2 millions de dollars a été déposée, mettant en cause sa société, dans une querelle commerciale avec Rove, entreprise spécialisée dans les solutions publicitaires mobiles.

Accusée par la justice, Eva Longoria face à une plainte explosive de 2 millions de dollars

Une accusation sérieuse qui intervient alors que la star passait des vacances tranquilles à Marbella, en Espagne, et faisait le buzz après un moment complice avec Perrine de L’amour est dans le pré, qu’elle a rencontrée dans le cadre d’un programme autour de l’alcool. Coïncidence ou ironie du sort, c’est justement la boisson qu’elle promeut qui est aujourd’hui au cœur de ce scandale.

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Une collaboration qui tourne au vinaigre

Selon les informations exclusives publiées par Page Six, c’est Jack Brinkley-Cook, fils de l’icône du mannequinat Christie Brinkley, qui a porté plainte contre Casa Del Sol, la société de tequila cofondée par Eva Longoria. L’homme d’affaires accuse la marque de non-respect d’un contrat pluriannuel signé avec son entreprise Rove.

Ce contrat prévoyait une promotion spécifique et visible : la tequila Casa Del Sol devait être mise en avant sur les véhicules de Rove, lesquels circulent dans des quartiers résidentiels chics aux États-Unis. Objectif : capter une clientèle aisée en misant sur le prestige de la marque et la notoriété d’Eva Longoria.

Mais selon la plainte consultée par Page Six, cet accord n’a pas été respecté. Jack Brinkley-Cook affirme que malgré des promesses répétées, la société n’a jamais honoré ses engagements financiers, laissant Rove avec des dettes et des supports publicitaires inutilisés.

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"Des fêtes extravagantes" plutôt que des paiements

La plainte, très détaillée, ne se contente pas d’évoquer un simple oubli de virement. L’homme d’affaires accuse Casa Del Sol de malhonnêteté, affirmant que la société continuait de dépenser des sommes folles pour des événements luxueux, des voyages et des campagnes de promotion mondaines, alors qu’elle refusait en parallèle de payer Rove comme convenu.

Il décrit une société focalisée sur son image, prête à financer des dîners somptueux, des soirées VIP et des shootings de rêve, mais incapable de tenir sa parole auprès de ses partenaires commerciaux. Un double discours que Brinkley-Cook ne digère pas : "Casa Del Sol a échoué et a refusé de payer, tout en poursuivant ses dépenses promotionnelles avec désinvolture."

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Eva Longoria visée... sans être nommée

Officiellement, Eva Longoria n’est pas directement visée en son nom dans la procédure judiciaire. C’est bien Casa Del Sol, la structure juridique, qui est la cible principale. Pourtant, son nom figure en filigrane dans l’ensemble de la plainte. L’actrice, qui est à la fois cofondatrice, ambassadrice et investisseuse principale de la marque, est désignée comme l’un des visages de l’entreprise et donc responsable moralement aux yeux de Rove.

La situation est d’autant plus délicate que d’autres personnalités sont associées à cette marque : Serena Williams, la légendaire tenniswoman, Kathy Hilton, mondaine et mère de Paris Hilton, ou encore le basketteur Kyle Kuzma. Aucun d’entre eux n’est accusé de quoi que ce soit, mais leur nom est mentionné dans le dossier, afin de souligner le prestige de la marque et les attentes commerciales élevées du partenariat.

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Deux millions de dollars réclamés

Le montant réclamé par Jack Brinkley-Cook est conséquent : 2 millions de dollars. Une somme qui englobe non seulement le préjudice financier lié au contrat rompu, mais également des dommages et intérêts pour atteinte à la réputation, pertes de clients et investissements perdus.

La question désormais est de savoir si Eva Longoria et Casa Del Sol vont accepter un accord à l’amiable ou s’ils décideront de se défendre jusqu’au bout. Pour l’heure, aucun commentaire n’a été fait publiquement de la part de la star ou de son équipe juridique.

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Une image écornée malgré elle

Cette affaire tombe mal pour Eva Longoria, qui cultive depuis des années une image de femme d’affaires sérieuse, impliquée dans des projets éthiques et culturels. Son engagement en faveur des femmes latinas, sa fondation pour l’éducation, et son implication dans plusieurs ONG avaient renforcé son aura publique.

Mais cette accusation ternit légèrement cette image : entre la promotion d’une boisson alcoolisée à visée luxueuse et l’accusation d’avoir privilégié les fêtes à la rigueur contractuelle, l’ancienne Gabrielle Solis de Desperate Housewives pourrait bien se retrouver confrontée à un bad buzz grandissant, surtout sur les réseaux sociaux où les internautes n’hésitent jamais à pointer du doigt les célébrités jugées "déconnectées".

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Un buzz inattendu autour de Perrine de "L’amour est dans le pré"

Fait amusant dans ce contexte tendu : quelques jours seulement avant que la plainte ne soit rendue publique, Eva Longoria faisait parler d’elle en France, et pour une toute autre raison. Elle avait été vue en compagnie de Perrine, agricultrice populaire révélée dans L’amour est dans le pré, lors d’un tournage mêlant vin, convivialité et dégustation.

Leur échange, très complice, avait été largement relayé sur les réseaux sociaux, certaines vidéos devenant même virales. Le contraste est frappant : alors que le public découvrait une Eva Longoria accessible, chaleureuse et "fille du peuple", la justice américaine ouvrait une procédure contre sa société pour des millions de dollars d'impayés.

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Que risque réellement Eva Longoria ?

Dans l’état actuel des choses, Eva Longoria ne risque pas une condamnation personnelle, à moins qu’il ne soit démontré qu’elle a elle-même orchestré les décisions commerciales en question. Toutefois, une défaite judiciaire pour Casa Del Sol pourrait entraîner de lourdes conséquences financières, voire un désengagement de certains investisseurs et une atteinte à la réputation globale de la marque.

L’actrice va donc devoir jongler entre ses engagements personnels, ses projets professionnels et cette affaire qui pourrait durer de longs mois si elle devait suivre son cours devant les tribunaux américains.

À suivre : cette affaire est loin d’être close. Une négociation en coulisses est très probable, mais en attendant, le nom d’Eva Longoria continue d’agiter la chronique judiciaire… et les réseaux sociaux.

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Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!