Alors qu’elle fait son grand retour sur les réseaux sociaux après une pause médiatique, Maeva Ghennam ne s’attendait sûrement pas à ce genre de rebondissement. Ce jeudi 7 août, l’influenceuse de 27 ans a pris la parole sur Instagram dans une story qui a immédiatement fait réagir. En cause : une tentative de fraude bancaire qui, selon elle, serait directement liée à un piratage du site d’Air France. Et l’ancienne star des Marseillais n’a pas mâché ses mots pour alerter ses abonnés.
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Une alerte choc lancée par l’influenceuse
Maeva Ghennam, connue pour ses coups de gueule, ses confidences sans filtre et ses allers-retours entre Marseille et Dubaï, a une nouvelle fois fait parler d’elle. Mais cette fois, il ne s’agit pas d’une polémique ou d’un placement de produit douteux : c’est sa sécurité bancaire qui est en jeu, affirme-t-elle.
Dans une story Instagram partagée ce jeudi, la star de la téléréalité a déclaré, visiblement très émue :
"Le site d’Air France aurait été piraté et des données bancaires volées. Si vous avez déjà acheté un billet sur Air France avec votre carte bancaire, bloquez-la immédiatement ! Ils ont tenté de faire des achats avec mes cartes que j’ai dû bloquer en urgence."
Panique à bord donc, pour celle qui a l’habitude de voyager en première classe. Elle n’a pas hésité à pointer du doigt Air France, accusant indirectement la compagnie de ne pas avoir suffisamment protégé ses données personnelles.
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Air France confirme un incident, mais dément les accusations
Très vite, la prise de parole de Maeva Ghennam a fait le tour des réseaux sociaux. Face à l’agitation suscitée, Air France a réagi dans un communiqué officiel envoyé à ses clients et signé par Henri de Peyrelongue, Directeur marketing de la compagnie.
"Nous souhaitons vous informer d'une récente violation de données qui a compromis certaines de vos informations personnelles. Plus précisément, un accès frauduleux à un système tiers utilisé par Air France a été détecté."
Si l’incident est bien confirmé, la compagnie tient cependant à rassurer tous ses clients. Selon elle, aucune donnée sensible n’a été compromise. Cela inclut les informations bancaires, les numéros de passeport, les mots de passe et données de réservation, qui n’auraient pas été impactées par cette fuite.
Dans un message adressé à Maeva Ghennam, Air France précise d’ailleurs :
"Comme indiqué dans l'email que vous avez partagé, l'accès frauduleux concerne un service tiers utilisé par notre service client. AUCUNE donnée bancaire n'a été divulguée, ni aucune autre donnée sensible."
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Service tiers, données floues et communication en crise
Ce qui jette le trouble dans cette affaire, c’est la mention d’un "système tiers" dans lequel la faille aurait eu lieu. Air France semble sous-entendre que l’incident ne provient pas de son propre site ou de ses systèmes internes, mais d’un prestataire extérieur utilisé par son service client.
Une information qui a du mal à convaincre les internautes. Nombreux sont ceux qui, comme Maeva Ghennam, s’interrogent sur la réelle étendue de la fuite, d’autant plus que d’autres signalements similaires ont été repérés en ligne depuis quelques jours.
Même si les données bancaires n’auraient pas été "directement" exposées, certains experts en cybersécurité rappellent qu’une fuite d’emails, noms ou numéros de téléphone peut suffire à lancer des tentatives de phishing ou de fraude ciblée.
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Maeva Ghennam victime d’un piratage ou d’un mauvais timing ?
Dans le cas de Maeva, difficile de savoir s’il s’agit d’une coïncidence malheureuse ou d’une vraie conséquence du piratage évoqué par Air France. Toujours est-il que la star n’a pas pris de risques et a immédiatement fait opposition sur ses cartes bancaires.
Un geste de prudence salué par ses fans, qui ont été nombreux à la remercier de les avoir alertés à temps. Plusieurs abonnés disent avoir eux aussi bloqué leur carte ou surveillé leurs relevés bancaires de près, par précaution.
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Une nouvelle polémique sur fond de cybersécurité
La mésaventure de Maeva Ghennam relance une question brûlante : les données personnelles des clients de compagnies aériennes sont-elles suffisamment protégées ? Alors que les billets d’avion sont souvent achetés en ligne et que les plateformes contiennent de très nombreuses informations sensibles (identité, coordonnées bancaires, données de passeport…), les cyberattaques se multiplient ces dernières années.
En 2023, British Airways, EasyJet ou encore American Airlines avaient déjà été victimes de fuites massives de données, exposant des millions de passagers à des risques de fraude.
Avec cette affaire, Air France rejoint donc la longue liste des compagnies aériennes prises pour cible par des cybercriminels. La compagnie, si elle se veut rassurante, devra sans doute renforcer sa communication et sa transparence pour regagner la confiance de ses clients.
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Un retour remarqué sur les réseaux
Du côté de Maeva Ghennam, cette prise de parole marque aussi un retour inattendu sur le devant de la scène médiatique. La jeune femme s’était faite discrète ces dernières semaines, après avoir annoncé vouloir prendre du recul avec les réseaux sociaux et limiter son exposition.
Mais une chose est sûre : dès qu’elle reprend la parole, l’impact est immédiat. Suivie par plusieurs millions d’abonnés, l’influenceuse continue de faire la pluie et le beau temps sur Instagram et Snapchat. Et quand elle s’exprime sur un sujet aussi sérieux que la fraude bancaire, son message touche un public bien plus large que celui de ses fidèles.
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En résumé
Une fuite de données a bien été confirmée chez Air France, via un prestataire extérieur lié au service client de la compagnie. Si Air France dément toute compromission de données bancaires, Maeva Ghennam affirme pourtant avoir été victime d’une tentative d’achat frauduleux avec ses cartes, et conseille à ses abonnés de bloquer la leur par précaution.
Face à une situation aussi floue que sensible, le climat de méfiance monte chez les voyageurs, et cette affaire risque de continuer à faire parler d’elle dans les prochains jours.
En attendant, une leçon : mieux vaut garder un œil sur ses relevés bancaires… même après avoir acheté un simple billet d’avion.
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