Un concours fragilisé depuis plusieurs années
Le concours Miss Univers jouit d’une image glamour et internationale, mais il traverse depuis quelques années une série de polémiques autour de sa gouvernance, de ses propriétaires successifs et de sa transparence.

Le scandale lancé par Omar Harfouch, juré démissionnaire, intervient donc dans un climat déjà fragilisé. Entre controverses politiques, accusations de favoritisme et enjeux financiers croissants, Miss Univers n’apparaissait déjà plus comme un modèle absolu d’impartialité. Mais jamais une accusation n’avait atteint ce niveau de gravité.
Lire aussi : Salaire secret de Miss France : voici ce que la gagnante touchera pendant tout son règne
Des accusations qui s’inscrivent dans un climat de suspicion
Les propos d’Omar Harfouch ne surgissent pas dans le vide. Depuis plusieurs éditions, les internautes dénoncent des choix jugés incohérents, des placements forcés dans le Top 20 ou Top 10, et un sentiment persistant que certaines candidates bénéficient d’une visibilité disproportionnée.
Les accusations de présélection secrète, de votes fictifs ou d’arrangements stratégiques résonnent ainsi avec des critiques déjà formulées par le public et certains observateurs.
Ce nouvel épisode agit comme une confirmation de ce que beaucoup redoutaient : que Miss Univers serait devenu un concours où la géopolitique, les alliances financières et les influences extérieures joueraient un rôle central.
Lire aussi : "Rien à fo*tre" : Jean-Pierre Foucault sort du silence sur Angélique Angarni-Filopon et pousse un gros coup de gueule
Les implications des allégations criminelles
Si les accusations de tricherie sont déjà explosives, celles évoquant des liens avec un cartel mexicain franchissent une limite encore plus grave.
Un concours mondial financé par de l’argent criminel, dirigé par des individus qualifiés de « capos » par le juré démissionnaire, relèverait d’une affaire internationale. Ce type d’accusation pourrait attirer l’attention des autorités locales et internationales, voire déclencher des enquêtes judiciaires.
L’idée que des responsables d’un concours mondial pourraient utiliser Miss Univers comme façade ou levier économique pour des activités illégales bouleverserait totalement la manière dont l’événement est perçu et géré.
Lire aussi : "Vous voyez, vous êtes nulle" : Jean-Pierre Foucault recadre Anne-Élisabeth Lemoine dans C à Vous
Quelles conséquences pour les candidates ?
Au-delà de l’image du concours, les révélations soulèvent une question centrale : qu'en est-il des candidates ? Ces jeunes femmes, venant de 136 pays, investissent temps, argent et énergie pour défendre des causes sociales, humanitaires ou environnementales.
Découvrir que leur participation pourrait avoir été instrumentalisée est un choc immense. Certaines pourraient demander des comptes, s’exprimer publiquement ou même se retirer si la crise s’aggrave.
Lire aussi : Voici le salaire de Jean-Pierre Foucault pour présenter le Loto, et il fait beaucoup réagir les internautes
Que peut faire Miss Univers pour survivre ?
Trois scénarios se dessinent. Soit l’organisation répond fermement, dément et prouve l’inexactitude des accusations. Soit elle laisse le scandale s’envenimer, au risque de perdre définitivement son prestige. Soit elle procède à une réforme structurelle en profondeur, changement de gouvernance compris.
Pour l’heure, le silence de l’organisation est scruté. Et chaque minute qui passe entretient la tempête.
Découvrez maintenant Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ? et Voici le salaire astronomique que Léa Salamé a refusé chez BFMTV pour présenter le JT de France 2.
Lire aussi : "Vous voyez, vous êtes nulle" : Jean-Pierre Foucault recadre Anne-Élisabeth Lemoine dans C à Vous