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Jean Imbert dans la tourmente : accusé de violences conjugales, le chef annonce son retrait de ses établissements

27 août 2025 - 18 : 58
par Clémence Le chef Jean Imbert, visé par une enquête pour violences conjugales après une plainte d’une ancienne compagne, annonce sur Instagram qu’il se met en retrait de ses établissements « par respect » pour ses équipes.

Une annonce choc dans la gastronomie française

Le monde culinaire a été secoué par l’annonce de Jean Imbert. Le célèbre chef étoilé, connu du grand public depuis sa victoire dans l’émission Top Chef en 2012, a déclaré sur Instagram qu’il se mettait en retrait de ses établissements « par respect » pour ses collaborateurs. Cette décision survient alors qu’il est désormais visé par une enquête pour violences conjugales, ouverte après une plainte déposée par une de ses anciennes compagnes.

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Des accusations récurrentes et une plainte récente

Le nom de Jean Imbert avait déjà été associé à des accusations publiques en avril dernier, lorsque plusieurs ex-compagnes avaient témoigné dans la presse. L’ancienne Miss France Alexandra Rosenfeld, notamment, avait affirmé avoir subi des violences physiques, évoquant un coup de tête ayant provoqué une fracture du nez.
Le 23 août, une nouvelle étape a été franchie : l’actrice Lila Salet a déposé plainte, accusant le chef de violences conjugales et de séquestration pour des faits qui remonteraient à 2012 et 2013. Cette plainte a entraîné l’ouverture officielle d’une enquête judiciaire, plaçant l’affaire dans une autre dimension.

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Une défense qui se veut sereine

Dans son message, Jean Imbert dit accueillir l’ouverture de l’enquête avec « soulagement », car il estime que seule la justice pourra trancher de façon apaisée. Il affirme n’avoir « aucun doute sur l’issue » et rejette ce qu’il appelle « le bruit médiatique », qui selon lui empêche toute défense digne et sereine. Ses avocates ont pris la parole pour contester vigoureusement les accusations, en mettant en avant des éléments qu’elles jugent objectifs et incompatibles avec les faits rapportés. Elles contestent particulièrement l’accusation de séquestration, considérée comme « infondée » et facilement démontable selon elles.

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Un chef au sommet qui vacille

À 43 ans, Jean Imbert s’était imposé comme l’un des chefs français les plus médiatisés de sa génération. Directeur des cuisines du Plaza Athénée à Paris, il officie aussi à l’hôtel Martinez de Cannes, tout en gérant d’autres établissements prestigieux. Dans son message, il rappelle travailler avec plus de 1 000 personnes : « Ce sont des collaborateurs qui passent leurs vies à mes côtés, qui me soutiennent malgré la tempête et continuent de croire en moi. Je leur dois tout », écrit-il. Ce retrait se veut donc un moyen de protéger ses équipes de la médiatisation de l’affaire.

Un secteur ébranlé par l’affaire

Dans le milieu de la gastronomie, cette mise en retrait est perçue comme un séisme. Jean Imbert n’est pas seulement un chef d’hôtel de luxe : il est aussi une personnalité publique, proche de célébrités et régulièrement présent dans les médias. Son image était devenue un atout commercial majeur pour les établissements qu’il dirige. Sa décision de s’écarter, même temporairement, pourrait avoir des répercussions économiques et symboliques importantes.

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En résumé

Jean Imbert est aujourd’hui au cœur d’une enquête judiciaire pour violences conjugales, à la suite d’accusations portées par plusieurs femmes et d’une plainte récente pour des faits anciens. Contestant fermement ces accusations, il annonce néanmoins se retirer de la gestion de ses établissements, par respect pour ses collaborateurs. Le chef dit faire confiance à la justice pour rétablir sa vérité et attend désormais la suite des investigations.

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Clémence
Je fais partie de la rédac' SBG, et j'aime écrire, sortir, m'amuser, manger (très important, ça aussi !) et partager. Je vous propose donc régulièrement de découvrir mes derniers coups de <3.