La Star Academy vit un moment de tension rarement observé depuis son grand retour. Alors que le public se passionne chaque jour pour les performances du château, un autre phénomène, beaucoup plus sombre, prend de l’ampleur : la montée des critiques violentes visant Marlène Schaff, professeure d’expression scénique.

Une vague de messages agressifs, d’attaques personnelles et de jugements tranchants qui a fini par alerter l’une des voix les plus respectées du programme : Lucie Bernardoni.
Dans un message fort publié sur les réseaux, la répétitrice a exprimé son indignation face à ce qu’elle appelle des “rivières de haine”. Pour elle, l’excès de violence en ligne n’est plus tolérable, surtout lorsqu’il vise une professionnelle qu’elle décrit comme bienveillante, empathique et profondément engagée auprès des élèves. Un portrait intime, presque protecteur, qui contraste fortement avec l’image déformée que certains internautes tentent de coller à Marlène.
Lucie rappelle que la Star Academy repose avant tout sur la transmission, l’art et l’accompagnement humain. Rien ne justifie, selon elle, cette déferlante d’agressivité. Surtout pas le franc-parler de Marlène, une qualité qui fait précisément partie de son rôle de coach.
De son côté, Marlène a choisi une stratégie radicale pour préserver sa santé mentale : évoluer “dans une bulle”. Une façon de dire qu’elle refuse de se laisser contaminer par le bruit numérique et qu’elle préfère consacrer toute son énergie aux élèves.
Cette affaire, qui prend de l’ampleur jour après jour, soulève une question plus large : pourquoi le cyberharcèlement semble-t-il si banalisé dans le milieu du divertissement ? La sortie de Lucie Bernardoni pourrait bien marquer un tournant, tant elle rappelle à tous que derrière les écrans, il y a avant tout des humains.
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