On le connaît pour ses prises de position tranchées, son engagement politique constant et ses débats musclés sur les plateaux de télévision. Raphaël Glucksmann, député européen et président du parti Place Publique, est l’une des figures les plus visibles du paysage politique français et européen.
Lire aussi : "Je paye pour plein de choses" : les phrases fortes de Léa Salamé qui interpellent France 2
Mais derrière l’homme public, souvent décrit comme infatigable, se cache aussi un père très investi, attaché à des rituels simples et à une vie de famille qu’il protège farouchement. Dans un entretien accordé à Ouest-France, le compagnon de Léa Salamé a accepté de lever le voile sur son quotidien familial, entre déplacements incessants, responsabilités politiques et moments précieux avec ses fils. Une parole plus intime, plus légère aussi, qui dévoile un homme profondément attaché à son rôle de père.
Lire aussi : Voici le salaire astronomique que Léa Salamé a refusé chez BFMTV pour présenter le JT de France 2
Un agenda surchargé mais une priorité assumée
Entre Bruxelles, Strasbourg et Paris, le quotidien de Raphaël Glucksmann ressemble à une course permanente contre la montre. Réunions, sessions parlementaires, déplacements officiels, interventions médiatiques… Son emploi du temps laisse peu de place à l’improvisation. Pourtant, au milieu de cette organisation millimétrée, une règle demeure intangible : le temps consacré à ses enfants.
Père de deux garçons, Alexandre et Gabriel, ce dernier étant né de son union avec Léa Salamé, l’élu européen affirme faire de leur présence une priorité absolue. Quitte à réorganiser ses déplacements ou à écourter certains engagements, il tient à être présent, notamment le week-end.
“Le dimanche, c’est le jour de mes fils. Si je ne les vois pas, je suffoque”, confie-t-il avec une sincérité désarmante. Une phrase forte, qui en dit long sur l’importance qu’il accorde à ces moments familiaux, loin de l’agitation politique.
Lire aussi : Léa Salamé piégée en plein direct, le JT de France 2 totalement déstabilisé
Le rituel du dimanche, entre complicité et petits dégâts
Chez Raphaël Glucksmann, le dimanche ne ressemble à aucun autre jour de la semaine. C’est une parenthèse, un sas de décompression où la politique laisse place au jeu, aux rires et à une énergie débordante… parfois un peu trop.
Après le déjeuner, une tradition immuable s’impose : le foot. Peu importe la météo ou l’espace disponible, le ballon est de sortie. Lorsque le temps le permet, direction l’extérieur. Mais quand la pluie s’invite, c’est dans l’appartement que la partie se joue. Une habitude qui, sans surprise, n’est pas sans conséquences.
“Quelques lampes et cadres ont souffert, mais c’est non négociable !”, reconnaît-il avec humour. Ces “légers problèmes familiaux”, comme il les qualifie lui-même, sont le prix à payer pour préserver ces instants de liberté et de complicité avec ses fils. Un choix pleinement assumé, quitte à voir la décoration intérieure en faire les frais.
Lire aussi : Léa Salamé : "Des cheveux de m****", les consignes étonnantes que France 2 lui a imposées sur son look pour le 20h
Être père avant tout, même sous pression médiatique
Ces confidences prennent une résonance particulière dans un contexte où Raphaël Glucksmann est très exposé médiatiquement. Récemment, son clash très médiatisé avec Éric Zemmour lors d’un débat télévisé a rappelé à quel point l’homme politique est souvent au centre de polémiques et de confrontations idéologiques intenses.
Pourtant, loin des tensions publiques, il revendique un équilibre essentiel entre engagement et vie privée. Un équilibre fragile, mais nécessaire. Dans un monde politique où la disponibilité est souvent perçue comme une preuve de sérieux, il assume pleinement de poser des limites, notamment pour préserver ses enfants.
Lire aussi : "Une humiliation" : le salaire à cinq chiffres de Léa Salamé pour son poste au 20h de France 2 fait déjà polémique
Aux fourneaux le dimanche, une autre facette du député européen
Autre surprise de cet entretien : Raphaël Glucksmann n’est pas seulement un adepte du foot improvisé dans le salon, il est aussi un cuisinier investi. Le dimanche, il enfile le tablier et prend plaisir à préparer les repas pour sa famille.
“Le dimanche, moi, c’est poulet ou ratatouille”, explique-t-il simplement. Une routine culinaire qui cache en réalité une véritable stratégie parentale, notamment lorsqu’il s’agit de faire manger des légumes à ses enfants.
Lire aussi : Léa Salamé piégée en plein direct, le JT de France 2 totalement déstabilisé
Son astuce inattendue pour faire aimer les légumes aux enfants
Comme beaucoup de parents, le compagnon de Léa Salamé a dû composer avec les réticences de ses fils face aux légumes. Mais fidèle à son pragmatisme, il a trouvé une solution simple, presque imparable.
“J’ajoute de la crème fraîche et une pincée de sucre”, avoue-t-il sans détour. Une petite entorse aux recettes traditionnelles, mais un compromis efficace. Résultat : “Ils adorent les aubergines et les courgettes”, se réjouit-il, amusé d’avoir révélé ce secret familial. Une anecdote qui humanise encore davantage la figure politique, loin des discours solennels et des débats idéologiques.
Lire aussi : Voici le salaire astronomique que Léa Salamé a refusé chez BFMTV pour présenter le JT de France 2
Une image de famille moderne et assumée
En partageant ces moments du quotidien, Raphaël Glucksmann et Léa Salamé incarnent une vision moderne de la parentalité, où les rôles sont partagés et où l’engagement professionnel n’exclut pas l’implication familiale. Une image qui séduit autant qu’elle rassure, à une époque où l’équilibre entre vie privée et vie publique est au cœur de nombreuses préoccupations.
Ces confidences, loin d’être anecdotiques, offrent un regard plus nuancé sur un homme souvent perçu comme austère ou uniquement tourné vers la politique. Elles rappellent qu’au-delà des fonctions et des convictions, il y a aussi un père, prêt à sacrifier quelques lampes pour un match de foot improvisé avec ses fils.
Lire aussi : "Je paye pour plein de choses" : les phrases fortes de Léa Salamé qui interpellent France 2
Derrière l’homme politique, un quotidien très ordinaire
Au fil de cet entretien, Raphaël Glucksmann dévoile finalement une réalité très proche de celle de nombreux parents : jongler entre obligations professionnelles, moments de fatigue, petits arrangements culinaires et rituels familiaux indispensables.
Des confidences simples, presque banales, mais qui résonnent fortement dans un monde politique souvent perçu comme déconnecté du réel. Et si ces “légers problèmes familiaux” font sourire, ils rappellent surtout une chose essentielle : pour certains, même au sommet de l’engagement public, la famille reste un refuge, une priorité et un moteur.
Découvrez maintenant Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ? et Voici le salaire astronomique que Léa Salamé a refusé chez BFMTV pour présenter le JT de France 2.
Lire aussi : Léa Salamé : "Des cheveux de m****", les consignes étonnantes que France 2 lui a imposées sur son look pour le 20h
