Le concours Miss Univers 2025 n’a jamais été aussi prestigieux… ni aussi explosif. Quelques jours après le sacre de Fátima Bosch, Miss Mexique, une crise sans précédent a éclaté.
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À l’origine de cette tempête : Omar Harfouch, membre du jury, qui a annoncé sa démission deux jours avant la grande finale. Dans une interview accordée au média ICONIQ, il a dévoilé des accusations sidérantes mêlant tricheries, manipulations, pressions et même liens avec un cartel mexicain. Une prise de parole qui secoue de fond en comble l’un des concours de beauté les plus influents au monde.
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Un sacre qui cache des mécaniques troublantes
Derrière les paillettes, les sourires et l’univers glamour de Miss Univers, Omar Harfouch décrit un système bien différent. Selon lui, la victoire de Miss Mexique n’aurait rien d’un suspense, mais plutôt d’une mise en scène millimétrée.
L’homme assure avoir découvert par hasard l’existence d’une présélection secrète des trente finalistes parmi 136 candidates, sans que les membres du jury ne soient informés. Pour celui qui était censé juger par ses propres critères, c’est une alerte qui a tout déclenché.
Dans son récit, il évoque une consigne claire donnée en coulisses : lors du direct, les jurés devaient faire semblant d’avoir voté pour le Top 30, alors que la sélection aurait été fixée à l’avance. Une révélation qui nourrit les soupçons déjà circulant sur les réseaux sociaux, où certains internautes pointaient une organisation incohérente et opaque.
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L’échange surréaliste avec Raúl Rocha
Comme si la mécanique interne n’était pas déjà assez inquiétante, Omar Harfouch détaille une rencontre avec Raúl Rocha, président du concours Miss Univers. Et c’est à ce moment que l’histoire bascule dans un scénario digne d’un thriller.
Lors d’un déjeuner en apparence anodin, Raúl Rocha lui aurait confié que la gagnante était déjà désignée et que l’élection de Miss Mexique était un objectif stratégique. Puis il lui aurait demandé… de voter pour elle. Plus inquiétant encore, il lui aurait proposé de transporter une valise contenant des trophées portant déjà les noms des gagnantes.
Face à ce récit complètement décalé des coulisses d’un concours censé prôner l’excellence et l’impartialité, Omar Harfouch explique avoir été totalement décontenancé. Il affirme alors avoir reçu un message d’une candidate, étonnée de ne pas l’avoir vu lors de la fameuse présélection. C’est l’élément de trop : l’homme décide alors de démissionner.
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Pressions, menaces et révélations sur un cartel
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Car selon Omar Harfouch, sa démission aurait déclenché une série d’événements encore plus alarmants.
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Contacté par un avocat se présentant comme procureur général de New York, il aurait appris que sa sécurité était en danger. Selon ce dernier, le président du concours serait lié à un cartel mexicain, et l’argent ayant financé Miss Univers aurait des origines douteuses.
Toujours selon son récit, Raúl Rocha serait un capo du cartel mexicain et le directeur général un capo guatémaltèque. Une accusation vertigineuse, que l’intéressé affirme ne pas redouter personnellement malgré les alertes.
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Miss Univers 2025 : un concours désormais sous tension
Cette prise de parole soulève une vague de réactions et relance un débat plus profond sur l’intégrité des concours internationaux. Pour les fans du concours, l’idée que Miss Univers 2025 puisse avoir été prédéterminé et potentiellement influencé par des activités criminelles est un choc.
Le contraste est saisissant : alors que les candidates défendent des projets inspirants et une image positive de la femme moderne, les coulisses décrites ressemblent davantage à un univers opaque où intérêts financiers, pressions politiques et manipulations auraient le dernier mot.
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Omar Harfouch, lanceur d’alerte inattendu
Dans son entretien, le Franco-Libanais insiste sur le fait qu’il n’a « pas peur ». Pourtant, ses déclarations dessinent le portrait d’un homme qui a pris une décision risquée en exposant un système qu’il juge dangereux. Il affirme être profondément attaché à la transparence et aux valeurs que le concours prétend incarner. Pour lui, il n’était pas question de fermer les yeux.
Mais ces révélations ouvrent une question majeure : que va-t-il se passer maintenant ? Les accusations sont si graves que le concours pourrait devoir se réinventer, répondre point par point, ou accepter de revoir entièrement son fonctionnement.
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Et maintenant ?
Le scandale vient tout juste d’éclater, et Miss Univers 2025 fait face à l’une des pires crises de crédibilité de son histoire. Si les organisateurs venaient à répondre, s’ils choisissaient de démentir ou de menacer de poursuites, cela marquera une nouvelle étape dans ce feuilleton déjà hors norme.
Pour l’heure, les révélations d’Omar Harfouch continuent de faire l’effet d’une bombe. Et le public, choqué mais fasciné, n’a pas fini d’en parler.
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