Culture

"Vos gueules", Giulia Sarkozy au coeur d’une nouvelle tempête : pourquoi cette vidéo chez le coiffeur enflamme les réseaux

02 décembre 2025 - 09 : 01
par Clémence À 14 ans, Giulia Sarkozy fait face à une nouvelle polémique après une vidéo publiée chez le coiffeur. Entre critiques virulentes et messages de soutien, voici pourquoi cette séquence fait autant réagir.

À seulement 14 ans, Giulia Sarkozy occupe malgré elle une place permanente dans l’actualité des réseaux sociaux. En partageant son quotidien, ses goûts et ses expériences, la fille de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni suscite systématiquement des réactions disproportionnées.

Vos gueules, Giulia Sarkozy au coeur d’une nouvelle tempête : pourquoi cette vidéo chez le coiffeur enflamme les réseaux

Une nouvelle fois, une simple vidéo publiée le dimanche 30 novembre suffit à déclencher un torrent de commentaires. Filmée lors d’une retouche de son balayage chez Joker Beauty, un coiffeur très suivi, l’adolescente est immédiatement devenue la cible d’une pluie de critiques.

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Une séquence qui relance les critiques contre l’adolescente

Une situation qui se répète régulièrement, comme si chaque apparition de la jeune fille devait donner naissance à une polémique supplémentaire. Cette nouvelle séquence, pourtant très ordinaire pour n’importe quelle personne publiant du contenu lifestyle, remet en lumière l’extrême pression qui entoure l’adolescente.

La vidéo la montre assise au salon, souriante, en pleine transformation capillaire. Rien de provocateur, rien de choquant. Et pourtant, les réactions ont été d’une virulence saisissante.

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Les internautes s’en prennent une fois encore à son apparence, à son âge, à ses choix esthétiques, comme si le simple fait qu’elle soit la fille d’un ancien président de la République justifiait de passer sa vie sous surveillance.

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Giulia Sarkozy et son rapport aux réseaux sociaux

Depuis plusieurs années, Giulia Sarkozy partage ouvertement son univers en ligne. D’abord centrées sur l’équitation, ses publications se sont progressivement diversifiées.

L’adolescente participe aux challenges TikTok, partage des playbacks, montre ses looks et ses passages chez des prothésistes ongulaires ou dans des salons de beauté. Autrement dit, elle fait ce que des milliers d’adolescentes font chaque jour. Pourtant, chacun de ses choix est scruté, commenté et souvent critiqué.

Ses longs cheveux blonds décolorés, ses faux ongles, son maquillage impeccable, ses crop tops ou ses tenues tendance deviennent le point de départ de débats interminables. Certains internautes estiment que “ce n’est pas de son âge”, d’autres s’indignent qu’elle adopte déjà des codes de jeunes adultes.

Mais la réalité est simple : elle grandit dans un environnement ultra connecté, où les réseaux sociaux constituent un espace d’expression et de créativité — un espace où elle tente d’exister par elle-même, au-delà des noms prestigieux qui composent sa famille.

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La vidéo chez le coiffeur qui déclenche la polémique

La dernière vidéo publiée sur le compte Instagram du salon Joker Beauty montre Giulia en train de refaire son balayage blond. Les images, parfaitement classiques pour un salon de beauté, n’avaient rien d’extraordinaire.

Pourtant, en quelques minutes, la section commentaires s’est transformée en défouloir. Certains internautes se sont indignés de voir “une gamine de 13 ans” (ou 14, selon les messages) se faire “teindre les cheveux, poser des faux cils et faux ongles”.

On peut lire par exemple : « Et pendant ce temps-là, la gamine de 13 ans se fait teindre les cheveux… que fait sa mère en fait ? » Ou encore : « Des baffes ont été oubliées et une éducation… »

Des messages durs, parfois violents, rarement constructifs. Des propos qui rappellent à quel point la frontière entre opinion et jugement moraliste est devenue mince sur les réseaux.

La particularité de cette nouvelle vague de critiques ? La conviction de certains internautes d’avoir un droit de regard sur l’éducation d’une adolescente qu’ils ne connaissent pas. Comme si le simple fait qu’elle soit née sous les projecteurs les autorisait à dicter ce qu’elle doit porter, faire ou publier.

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Une vague de soutien inattendue

Face à ces attaques incessantes, plusieurs utilisateurs ont décidé de prendre la parole pour défendre la jeune fille. Une série de messages courts, directs, et terriblement nécessaires émergent dans les commentaires :
« Vos gueules les critiques »
« Laissez-la tranquille »
« Magnifique »

Ces quelques phrases, souvent likées des centaines de fois, montrent que de plus en plus de personnes réalisent que le cyberharcèlement commence souvent par des remarques banales, puis grimpe en intensité jusqu’à devenir insupportable.

Certains rappellent également qu’elle n’est qu’une adolescente, qu’elle ne fait rien d’interdit et qu’elle devrait avoir le droit de vivre son adolescence sans devoir affronter constamment la haine en ligne.

Cette bienveillance, même minoritaire, est essentielle. Elle rappelle que les réseaux sociaux ne doivent pas devenir des tribunaux où chacun s’autorise à juger la vie d’un enfant. Et surtout, elle met en lumière un point fondamental : derrière chaque vidéo, chaque post, il y a une personne réelle — ici, une adolescente de 14 ans.

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Une pression médiatique héritée de ses parents

Être l’enfant de deux personnalités publiques comme Carla Bruni et Nicolas Sarkozy n’est pas un détail. Cela signifie grandir dans un environnement où chaque geste peut devenir un sujet de discussion. Giulia a grandi sous l’attention médiatique : ses premières apparitions, ses premières photos, ses premières interviews indirectes — tout a toujours attiré l’œil du public.

Aujourd’hui, son exposition se déplace sur les plateformes numériques, et la pression s’intensifie. Ce qui frappe dans cette nouvelle polémique, c’est que même des contenus légers, anodins, peuvent devenir prétextes à des attaques personnelles. Son statut ne la protège pas : au contraire, il l’expose davantage.

Être un enfant de star n’offre pas une vie simple. Les réseaux sociaux amplifient chaque geste, chaque tenue, chaque mot. Et il devient parfois difficile de tracer la frontière entre l’intérêt public et la violation de la vie privée.

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Pourquoi cette polémique en dit long sur notre rapport aux réseaux

Cette histoire n’est pas seulement celle d’une adolescente critiquée. C’est aussi celle d’une génération d’adultes qui a parfois du mal à accepter l’évolution des codes esthétiques chez les jeunes.

Les adolescents d’aujourd’hui se maquillent plus tôt, se coiffent différemment, adoptent les tendances diffusées par TikTok et Instagram. Et si cela peut interroger, cela ne devrait pas justifier un cyberharcèlement constant.

La viralité des jugements sur Giulia Sarkozy révèle une fracture profonde entre ceux qui acceptent ces nouveaux codes et ceux qui les condamnent. Mais surtout, elle montre à quel point les réseaux sont devenus des espaces où l’on commente la vie des autres sans filtre, sans nuance, et parfois sans empathie.

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En bref

La nouvelle vidéo de Giulia Sarkozy chez le coiffeur ne devrait pas faire polémique. Et pourtant, elle relance une vague de critiques envers une adolescente qui ne demande qu’à vivre sa vie comme toutes les autres.

Heureusement, quelques voix viennent rétablir un peu de bienveillance dans ce tumulte numérique. Une chose est sûre : le regard porté sur les jeunes figures publiques mérite plus de nuance, plus d’empathie et beaucoup moins d’agressivité.

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Clémence
Je fais partie de la rédac' SBG, et j'aime écrire, sortir, m'amuser, manger (très important, ça aussi !) et partager. Je vous propose donc régulièrement de découvrir mes derniers coups de <3.