Après avoir assisté à la destitution du prince Andrew, le Royaume-Uni retient son souffle : le prince Harry pourrait bien être le prochain à perdre son titre princier.
Selon la journaliste britannique Maureen Callahan, éditorialiste au Daily Mail, le prince William serait désormais “la véritable force motrice” derrière les grandes réformes de la Couronne — et aurait dans son viseur son frère cadet et sa belle-sœur, Meghan Markle.
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Un vent de fermeté souffle sur la monarchie
Depuis que le roi Charles III a officiellement retiré au prince Andrew ses titres royaux, la famille royale semble avoir pris un virage décisif. Loin de la politique de compromis adoptée autrefois par la reine Elizabeth II, la monarchie britannique se resserre autour du prince William, qui incarne une nouvelle génération plus ferme, plus moderne, mais aussi plus intransigeante.
“C’est désormais la monarchie de Guillaume”, écrit Maureen Callahan dans le Daily Mail, soulignant que le futur roi aurait joué un rôle direct dans la décision de destituer Andrew. “Et ce n’est qu’un début”, ajoute-t-elle.
Selon la journaliste, la déclaration venue de Buckingham Palace ne laisserait plus de doute : Harry et Meghan sont les prochains sur la liste. “La question n’est plus de savoir si, mais quand”, écrit-elle, évoquant une série de réformes “bienvenues et nécessaires” pour protéger l’image de la Couronne.
Le prince William, stratège silencieux derrière son père
Officiellement, c’est Charles III qui a annoncé la destitution du prince Andrew, déchu de ses titres, de ses honneurs militaires et de son statut royal. Mais en coulisses, plusieurs experts estiment que le véritable artisan de cette décision serait le prince William.
“Andrew apparaît davantage comme un pion manipulé par William pour faire place à sa véritable cible : Harry”, avance Maureen Callahan. “Les jours de Harry en tant que prince et duc de Sussex sont assurément comptés.”
Cette affirmation, aussi percutante que polémique, s’inscrit dans un climat déjà tendu entre les deux frères. Depuis le départ fracassant de Harry et Meghan en 2020, le fossé n’a cessé de se creuser. Leurs révélations explosives dans la série documentaire Harry & Meghan, les interviews télévisées et la publication du livre Spare ont durablement abîmé la relation entre les deux princes.
Aujourd’hui, selon plusieurs observateurs britanniques, William n’aurait plus aucune intention de réparer les liens familiaux. Son objectif : “assainir la monarchie”, même si cela signifie effacer les Sussex du tableau royal.
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Harry et Meghan, les prochains sur la sellette
Pour la presse britannique, l’éventualité d’une destitution des Sussex n’est plus un fantasme. Maureen Callahan en est convaincue : “La décision concernant Andrew n’était qu’un prélude. L’objectif final, c’est Harry.”
Selon l’éditorialiste, le duc et la duchesse de Sussex sont devenus une menace pour la crédibilité de la monarchie. “Leur image publique, mêlant glamour hollywoodien et ressentiment royal, nuit à la dignité de la Couronne”, estime-t-elle.
Et Meghan Markle ne serait, selon elle, qu’une “victime collatérale”. “Comme Fergie, elle ne serait qu’un détail négligé, un débris flottant à la dérive — peut-être vers le siège social de QVC, où elle pourrait écouler les invendus de sa marque à prix cassés.” Une pique cinglante qui illustre le ton virulent de cette tribune, devenue virale au Royaume-Uni.
L’éditorialiste ne cache pas sa jubilation à l’idée d’une éviction du couple : “Ce serait le dénouement le plus satisfaisant des temps modernes.”
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“Comme cela doit être douloureux pour Meghan”
Dans la deuxième partie de son texte, Maureen Callahan s’attarde sur le contraste entre Meghan Markle et Kate Middleton, devenue princesse de Galles. Elle rappelle un épisode récent : le couple Sussex a été hué lors d’un match de baseball, pendant que Kate, elle, reçoit toujours un accueil triomphal à Wimbledon.
“Comme cela doit être douloureux pour Meghan, d’entendre tous ces applaudissements enthousiastes adressés à la princesse de Galles”, écrit-elle, soulignant la différence d’image entre les deux femmes.
Cette comparaison, cruelle mais révélatrice, met en lumière la perception du public britannique : Kate incarne la dignité royale, tandis que Meghan reste associée à la rupture et à la controverse.
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Une monarchie resserrée autour du futur roi
Si les spéculations sur l’avenir des Sussex s’intensifient, un constat s’impose : le prince William prend de plus en plus les rênes. Déjà très présent aux côtés de son père, il s’impose comme le visage d’une monarchie rénovée — plus sobre, plus resserrée, et surtout, plus impitoyable envers ceux qui ternissent son image.
Certains observateurs notent même que William agit déjà comme un roi en devenir, préparant le terrain pour une ère “plus claire, plus disciplinée, et moins sentimentale”.
La possible destitution de Harry et Meghan serait donc le symbole d’une monarchie qui n’entend plus tolérer la dissidence publique ni les débordements médiatiques.
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En résumé : vers la fin du prince Harry ?
L’article du Daily Mail fait l’effet d’une bombe. Si l’hypothèse d’une destitution reste à ce jour spéculative, elle s’inscrit dans une tendance lourde : la volonté du prince William d’affirmer son autorité et de restaurer l’unité de la Couronne.
“Les jours d’Harry sont comptés”, écrit Maureen Callahan, dans une formule qui résonne comme une menace royale. Après le prince Andrew, mis à l’écart, le duc de Sussex pourrait bien être la prochaine victime d’une monarchie en quête d’ordre et de crédibilité.
Quant à Meghan Markle, sa place semble plus fragile que jamais. Entre polémiques, rejet médiatique et perte de soutien populaire, la duchesse paraît désormais isolée, loin du faste royal qu’elle a voulu fuir… mais qui continue de la poursuivre.
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