Il y a quelques semaines de cela, je vous proposais un article consacré aux Mini Mansions. Ce fabuleux groupe originaire de Los Angeles et qui désormais compte parmi mes favoris. Je vous avais dis que leur prochain album devait sortir dans peu de temps.
C’est chose faite ! The Great Pretenders est sorti le 23/03/2015, inutile de vous dire que je suis allée à l’espace culturel le plus proche pour me le procurer. Un… un seul et unique exemplaire était disponible, il était pour moi, quoi qu’il arrive ! J’ai dû attendre jusqu’au soir pour faire une première écoute partielle. Je n’ai qu’une seule chose à dire… je suis amoureuse ! Non, je plaisante mais ça aurait pu. J’étais déjà quasiment conquise, très honnêtement et plus sérieusement, comment ne pas apprécier cet album ? Après une écoute totale d’environ 2h/2h 30 pendant lesquelles j’ai écouté les morceaux environ 2 à 3 fois chacun, je suis formelle : les mélodies sont clairement excellentes, il n’y a vraiment rien que je puisse reprocher à leur technique musicale.
Quand bien même il s’agit de pop-psyché, ce qui inclut l’utilisation de sons électroniques (avec les claviers). On retrouve tout de même les instruments de base (guitare électrique et basse, batterie), personnellement je ne suis pas une grande fan d’électro. A moins d’un réel coup de cœur (comme pour Disclosure par exemple) sinon je sature assez vite par manque d’intérêt. J’aime pouvoir m’attarder sur un riff de guitare ou une ligne de basse qui marquera mon esprit à la limite de l’addiction.
Je ne pourrais conclure si je ne parlais pas de celle qui a fait que j’ai été rapidement conquise par le talent de ce remarquable trio. « Death is a girl », bien sûr ! Elle est vraiment une de mes préférées car c’est le titre qui donne envie de bouger. Je l’ai entendu sur OÜI FM, un matin dans ma salle de bain et le charme a agit quasi-instantanément. J’aurais vraiment voulu les voir au Lexington (Londres), je suis sûre que la performance live vaut le coup d’être vue et entendue. En espérant qu’ils se reproduiront en France et/ ou en Angleterre. Ceci étant dit, je vous invite vivement à écouter ce petit bijou musical qui jongle entre douceur planante, pointe de mélancolie et énergie pop pétillante. Un cocktail de sons étonnant qui font de cet opus un « Grand cru » made in Mini Mansions.