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Ce qui se passe vraiment dans notre corps entre le 24 et le 26 décembre

19 décembre 2025 - 11 : 38
par Mylène Ballonnements, fatigue, culpabilité… Voici ce qui se passe vraiment dans notre corps entre le 24 et le 26 décembre, loin des idées reçues.

Chaque année, le scénario se répète. Les repas de Noël s’enchaînent, les tables débordent, les verres se remplissent, et une petite voix intérieure commence à murmurer : “J’ai trop mangé”, “Je vais le payer”, “Je n’aurais dû me laisser autant aller”.

Ce qui se passe vraiment dans notre corps entre le 24 et le 26 décembre

Entre le 24 et le 26 décembre, le rapport au corps devient soudainement tendu, chargé de culpabilité, comme si ces trois jours résumaient à eux seuls tout ce que l’on “fait de mal”. Pourtant, la réalité biologique est bien différente de ce que l’on imagine.

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Ce que notre corps vit réellement pendant les repas de Noël

Contrairement à une idée largement répandue, le corps humain ne “stocke” pas instantanément chaque bouchée avalée pendant les fêtes. Il fonctionne avant tout sur des équilibres à moyen et long terme. Trois jours plus riches ne suffisent pas à provoquer une prise de poids durable.

Durant les repas de Noël, l’organisme s’adapte. Le métabolisme s’accélère légèrement pour gérer l’afflux calorique. Le foie, les intestins et le pancréas travaillent davantage, ce qui peut provoquer une sensation de lourdeur, de ballonnements ou de fatigue. Ces effets sont souvent interprétés comme des signes de “dégâts”, alors qu’ils correspondent simplement à un travail digestif intensifié.

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Ballonnements, ventre gonflé, fatigue : pourquoi c’est normal

Le ventre gonflé observé après les repas de fête n’est pas lié à une prise de graisse. Il s’agit principalement de rétention d’eau, de gaz digestifs et d’une digestion plus lente, favorisée par les repas copieux, riches en sel, en sucre et en alcool.

La fatigue ressentie entre le 25 et le 26 décembre est elle aussi physiologique. L’organisme mobilise beaucoup d’énergie pour digérer, pendant que le sommeil est souvent perturbé par les repas tardifs et l’alcool. Rien d’alarmant, rien de définitif.

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Pourquoi la culpabilité est souvent plus lourde que les repas eux-mêmes

La vraie difficulté de cette période n’est pas tant alimentaire que mentale. La culpabilité associée aux repas de Noël est profondément culturelle. Elle repose sur l’idée que le corps devrait rester sous contrôle permanent, même lors de moments festifs.

Cette culpabilité déclenche du stress, qui perturbe encore davantage la digestion et accentue les sensations d’inconfort. Plus on s’inquiète, plus le corps réagit mal. Un cercle vicieux s’installe, alimenté par des injonctions contradictoires : “profiter” mais “ne pas exagérer”, “se faire plaisir” mais “penser à sa ligne”.

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Ce que le corps retient vraiment après les fêtes

Ce que le corps retient entre le 24 et le 26 décembre, ce n’est pas un chiffre sur la balance. C’est surtout un rythme perturbé, un sommeil moins réparateur et parfois un système digestif temporairement ralenti.

La prise de poids durable intervient uniquement lorsque les excès se prolongent sur plusieurs semaines, sans retour à un équilibre global. Les fêtes de Noël, prises isolément, n’ont pas ce pouvoir.

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Retrouver une relation apaisée avec son corps après Noël

Plutôt que de chercher à “compenser”, le corps a surtout besoin de repos, d’hydratation et de régularité. Boire de l’eau, dormir suffisamment, reprendre des repas simples et écouter ses sensations suffit largement.

Accepter que le corps fluctue légèrement pendant les fêtes, c’est aussi se libérer d’une pression inutile. Noël n’est pas une parenthèse à effacer, mais un moment à intégrer, sans jugement.

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Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!