Pour Laeticia Hallyday, ces huit dernières années n’ont ressemblé à rien d’autre qu’à un véritable marathon émotionnel et financier. Après la mort de Johnny Hallyday en 2017, un redressement fiscal estimé à 36 millions d’euros a éclaté, plongeant la veuve du Taulier dans l’une des périodes les plus difficiles de sa vie.

Son avocat a d’ailleurs décrit la situation comme un “tsunami fiscal, un tsunami procédural et un tsunami médiatique”, une triple vague qui n’a jamais vraiment cessé de déferler sur elle.
Cette dette, réclamée par l’administration française, concernait les quatre dernières années de vie du rockeur. Problème : selon son avocat, Johnny et Laeticia payaient déjà leurs impôts… en Californie, où ils vivaient, élevaient leurs filles Jade et Joy, et dépensaient la quasi-totalité de leurs revenus. C’est ce que le camp Hallyday a dénoncé pendant des années : la sensation de devoir payer deux fois l’impôt, pour les mêmes revenus, sur les mêmes années.
Pour solder cette dette colossale, Laeticia a dû multiplier les sacrifices. Elle a vendu la célèbre maison de Marnes-la-Coquette pour 7 millions d’euros, bien moins que les plus de 20 millions espérés. Elle s’est aussi séparée de la demeure de Pacific Palisades, de plusieurs biens personnels de Johnny, et même de voitures emblématiques comme sa Rolls Royce et sa Lamborghini.
Aujourd’hui, la page se tourne enfin. Grâce aux dernières négociations et à la vente de ces biens, Laeticia est parvenue à rassembler la somme nécessaire pour éteindre définitivement la dette. Pour la première fois depuis huit ans, elle peut respirer, se recentrer sur sa vie et sa famille, et espérer un avenir moins lourd. Une délivrance qui marque la fin d’une épreuve longue, complexe et profondément marquante.
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