Depuis la diffusion d’une vidéo privée où elle qualifie certaines candidates du Top 12 de « grosses p*tes », Julie Zitouni tente de calmer la tempête médiatique qui s’est abattue sur elle. La séquence, relayée sur les réseaux sociaux au lendemain de Miss France 2026, a immédiatement suscité une vague de critiques, propulsant Miss Provence au centre d’un débat national.
Pour tenter de désamorcer la situation, Julie Zitouni a partagé une longue story Instagram dans laquelle elle revient sur ses propos. Elle y explique que sa phrase a été mal interprétée et qu’elle ne visait en aucun cas les candidates. Selon elle, l’expression incriminée a un sens familier dans sa manière de parler : celui de « veinardes », « chanceuses ». Une nuance qui a surpris une partie du public, tandis que d’autres y voient une tentative sincère d’expliquer un mot prononcé dans un contexte privé.
Julie reconnaît toutefois que ce vocabulaire n’a pas sa place dans le concours Miss France. Elle dit comprendre que cela puisse choquer et présente ses excuses aux candidates du Top 12, qu’elle décrit comme des jeunes femmes qu’elle « affectionne profondément ». Elle insiste également sur les amitiés qu’elle a nouées au sein de la promotion, affirmant que cette histoire ne reflète en rien l’ambiance qu’elle a vécue.
Pour le moment, le comité Miss France n’a pas commenté la polémique. Mais l’affaire continue de faire réagir les internautes, partagés entre indignation, empathie et interrogations sur les limites de la vie privée à l’ère du numérique. Une justification qui, qu’on l’approuve ou non, montre à quel point un simple mot peut prendre une ampleur inattendue lorsqu’il est sorti de son contexte.
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