Depuis septembre, Léa Salamé vit une rentrée sous tension. À la tête du 20h de France 2, elle devait surtout incarner un renouveau. Mais entre la question controversée à Marion Cotillard, la confusion dans un sujet sur les professeurs Dominique Bernard et Samuel Paty, puis le canular de Mehdi Jibril, la journaliste se retrouve malgré elle au cœur d’un tourbillon qu’elle n’a pas choisi.

Si les deux dernières erreurs ne lui sont pas imputées, elle devient pourtant le visage des critiques. Et c’est précisément là que son entourage s’inquiète. Selon Le Parisien, la journaliste a laissé échapper une phrase révélatrice lors de ses vacances d’automne : « C’est dur. Je paye pour plein de choses qui me dépassent. Faut juste que je tienne. »
Ce petit aveu, loin des caméras, montre combien la pression est forte. En interne, son arrivée avait été saluée pour son humilité, son envie de « stage d’observation ». Mais la réalité médiatique est brutale : le moindre faux pas, même indirect, prend une ampleur nationale. Elle se sait observée, scrutée, parfois attaquée pour des raisons qui la dépassent totalement.
Pourtant, Léa Salamé ne se déconnecte pas. Contrairement à Anne-Sophie Lapix, elle choisit de rester sur les réseaux sociaux, consciente que s’en éloigner pourrait être interprété comme un abandon. Un choix courageux, mais usant.
Même Caroline Roux, pressentie elle aussi pour le 20h, admet que « la période est violente », tout en refusant de s’étendre sur les critiques visant sa consœur. Une phrase simple, mais lourde de sens.
Alors, Léa Salamé est-elle découragée ? Peut-être touchée, sûrement fatiguée. Mais elle tient. Et c’est cette résistance silencieuse que son entourage observe avec une vraie admiration.
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