La veille de l’élection Miss France 2026, l’ambiance en coulisses est loin d’être aussi calme qu’elle en a l’air. Alors que les trente candidates enchaînent les répétitions au Zénith d’Amiens, un petit incident vient perturber la préparation millimétrée du concours.
Deux finalistes sont arrivées en retard, évoquant une simple panne de réveil, mais ce faux pas a bouleversé l’organisation d’une journée où chaque minute compte. Les chorégraphies ont dû être ajustées, les coachs ont réorganisé les passages, et la tension est soudain montée d’un cran.
Cet épisode intervient juste après le recadrage de Miss Tahiti, au centre d’une rumeur lancée par le blogueur Aqababe. Selon lui, la candidate aurait été reprise sur l’utilisation trop fréquente de son téléphone lors du voyage en Martinique. Touchée, la jeune femme a tenu à expliquer qu’elle avait respecté toutes les règles et s’était investie avec sérieux. Son message, très suivi, rappelle combien chaque geste est scruté en cette période cruciale.
Frédéric Gilbert, président de la société Miss France, a néanmoins tenté de calmer le jeu en affirmant que la promo était soudée, presque comme un groupe de copines. Pourtant, entre recadrages, retards inattendus et stress du direct, la pression est bien réelle. Les candidates savent que tout compte, même ce qui se passe hors caméra.
Ces petits accrochages ajoutent du piquant à cette édition déjà très attendue. À quelques heures du show, ces coulisses mouvementées attisent la curiosité : que peut-il encore se passer avant que les lumières ne s’allument ?
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