Dans l’émission Legend de Guillaume Pley, Rachida Dati a livré une confidence que personne n’avait vu venir. Habituée aux débats politiques musclés, la ministre a dévoilé un moment beaucoup plus intime : celui d’un admirateur qui lui envoyait des lettres si bien écrites qu’elle a vraiment hésité à le rencontrer.

Elle raconte recevoir beaucoup de messages, parfois drôles, parfois touchants, parfois carrément dérangeants. Mais cet homme-là avait quelque chose en plus. Ses lettres étaient passionnées, élégantes, presque romantiques. « Il m'écrivait des lettres enflammées », confie-t-elle. « J'étais tentée de le voir ». Un aveu rare, qui montre qu’au-delà du personnage politique, la femme reste sensible à certaines attentions.
Finalement, elle n’a jamais franchi le pas. Entre prudence, notoriété et instinct, elle a préféré garder cette relation dans l’imaginaire. Une forme de charme à distance, suffisamment intense pour la troubler, mais trop risqué pour aller plus loin.
Et puis il y a l’autre côté de son courrier : celui qui met mal à l’aise. Comme ces photos de ses pieds envoyées par un inconnu qui adorait ses chaussures. Ou cet homme qui connaissait les dates de vacances scolaires de sa fille Zohra et lui a même envoyé des billets de train pour « venir la chercher ». Une intrusion glaçante, racontée avec calme mais sans détour.
Parmi les confidences les plus étonnantes, Rachida Dati évoque aussi un fan obsédé par la distance exacte qui le séparait de son bureau : « 2 300 pas ». Une précision qui fait sourire… mais qui dit quelque chose de l’intensité que certains admirateurs peuvent nourrir.
Entre charme, humour et vigilance, cette confidence inattendue montre que même les figures politiques les plus exposées restent confrontées à des situations très humaines, parfois flatteuses, parfois déstabilisantes, souvent surprenantes.
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