Meghan Markle vient de révéler un secret que personne n’avait vu venir : elle possède un refuge discret en plein cœur de New York. Une adresse intime, prêtée par une amie, où elle se rend pour travailler loin des regards, loin du bruit, loin du tumulte qui entoure son nom depuis des années.
Lors d’un entretien avec Harper’s Bazaar, la duchesse a accueilli le journaliste dans un brownstone élégant de l’Upper East Side. Pierres rouges, volumes immenses, ascenseur en verre au milieu du salon… Le lieu ressemble à un décor de film. Mais pour Meghan, c’est un cocon. Un espace où elle peut respirer. Où elle peut redevenir elle-même.
Depuis qu’elle a quitté ses fonctions royales, la protection de son intimité est devenue un combat quotidien. Meghan refuse que sa maison de Montecito soit transformée en plateau télé. Elle l’a dit elle-même : sa cuisine doit rester un lieu de vie, pas un décor de tournage. C’est là que sa mère cuisine. C’est là que les enfants jouent. C’est un sanctuaire.
Pour préserver cet équilibre fragile, elle a dû trouver des alternatives. Ce refuge new-yorkais en fait partie. Il lui permet de donner des interviews, de préparer ses projets, de réfléchir à ses futures étapes sans déranger sa vie de famille.
Elle se souvient aussi de l’aide immense de Tyler Perry au moment où tout basculait. Sa villa de Beverly Hills leur a servi de refuge lorsque Meghan et Harry tentaient encore de comprendre ce que serait leur nouvelle vie. Ce geste a marqué la duchesse, qui le raconte souvent avec émotion.
Aujourd’hui, leur quotidien à Montecito est serein. Jardin, potager, aire de jeux, silence. Un contraste total avec la frénésie de New York. Et pourtant, c’est là-bas, derrière les murs d’un brownstone discret, que Meghan cache un autre morceau d’elle-même. Un lieu où elle peut créer. Penser. Exister.
Dans son entretien, elle a aussi évoqué Harry. L’homme qui « l’aime plus que personne ». L’homme qui l’a aidée à tenir. L’homme qui comprend ce besoin d’avoir un endroit rien qu’à elle.
Son havre new-yorkais n’est pas un simple appartement. C’est un symbole. Celui d’une femme qui cherche à se protéger sans s’effacer.
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