Une élection très attendue par des millions de passionnés
Chaque année, le concours Miss France rassemble des millions de téléspectateurs férus de glamour, de récits inspirants et d’incroyables transformations. L’édition 2026, prévue le 6 décembre 2025 depuis le Zénith d’Amiens, promet déjà un grand cru.
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Trente jeunes femmes venues de tout l’Hexagone tenteront de succéder à Angélique Angarni Filopon, dont le règne touche à sa fin. Cette fois encore, l’univers des Miss se déplace aux Antilles, décor paradisiaque où les candidates peaufinent leur prestance, leur éloquence et leur confiance. Pour les encadrer, deux anciennes reines de beauté au palmarès impeccable : Clémence Botino (Miss France 2020) et Amandine Petit (Miss France 2021).
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Deux symboles de réussite qui incarnent la bienveillance et le professionnalisme que les futures prétendantes espèrent un jour égaler. Alors qu’elles se préparent dans une ambiance à la fois studieuse et euphorique, une histoire familiale se détache nettement parmi les trente parcours. Et elle porte le nom de Mareva Michel, Miss Île-de-France au destin déjà particulier.
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Mareva Michel, fille de Miss : une lignée qui rayonne des deux côtés de l’Atlantique
Cette année, une candidate attire toutes les curiosités : Mareva Michel, fraîchement couronnée Miss Île-de-France 2025. Ce titre n’a rien d’anodin pour elle. L’élection Miss France occupe une place toute particulière dans son histoire personnelle, et même dans son identité.
La jeune femme, franco-mexicaine, confie en interview que sa famille porte depuis longtemps l’amour des concours de beauté comme un héritage précieux.
« Ma maman a été Miss au Mexique, ma tante aussi. Elles m’ont toujours dit que c’était une aventure incroyable », raconte-t-elle à Télé-Loisirs.
C’est donc dans une atmosphère faite de strass, de robes brillantes et de rêves d’enfance que Mareva a grandi. Et ce n’est pas tout : son propre prénom est un clin d’œil direct à deux figures iconiques du concours.
« Mes parents l’ont choisi parce qu’ils ont vu l’élection de Mareva Galanter et Mareva Georges, deux Miss Tahiti. C’est en regardant Miss France que l’idée leur est venue », confie-t-elle avec une émotion sincère.
Un symbole fort, presque prédestiné, pour celle qui porte aujourd’hui l’écharpe qu’avait auparavant Julie Dupont.
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Un héritage familial puissant mais plein de nuances
Si sa mère et sa tante ont elles aussi foulé les podiums, elles n’ont pas concouru au niveau national. Leur histoire est plus intime, plus locale, mais tout aussi vibrante.
« Ma tante a participé à Señorita Colima en 1993 ou 1992, je crois. Et elles ont toutes les deux été Reina del Estudiante, car il y avait un concours pour sélectionner la Miss de chaque grande université du Mexique », explique Mareva.
Un récit qui témoigne d’une tradition familiale très ancrée : celle de célébrer la féminité, l’élégance et la confiance. Autant de valeurs qui résonnent profondément avec l’esprit du concours Miss France.
Et même si sa famille n’a jamais décroché de couronne nationale, ce climat d’enthousiasme autour des concours a façonné Mareva, l’a portée, et lui a donné l’envie d’inscrire son propre nom dans cette lignée prestigieuse.
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Une candidate déterminée à vivre l’aventure avec ceux qui l’ont portée
Si elle venait à succéder à Angélique Angarni Filopon, ses premières pensées iraient spontanément à ceux qui l’ont soutenue, de près ou de loin.
« Je ne peux pas vivre cette aventure toute seule, je la vis avec et grâce à eux », assure-t-elle avec une sincérité touchante.
Son discours révèle une candidate profondément ancrée dans la gratitude, consciente que Miss France est avant tout une aventure humaine, faite de rencontres, de soutien et d’émotions partagées. Elle imagine déjà l’émotion de sa famille, au Mexique comme en France, découvrant son éventuel sacre à la télévision.
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Une édition 2026 qui promet un suspense exceptionnel
Au-delà du parcours personnel de Mareva Michel, l’élection Miss France 2026 s’annonce particulièrement savoureuse. Le cadre prestigieux du Zénith d’Amiens, l’ambiance électrique, le retour du direct sur TF1, les tableaux artistiques... Tout est réuni pour offrir un spectacle vibrant et plein de surprises.
Avec des candidates venant de régions très différentes, chacune portant une histoire singulière, le public aura une nouvelle fois l’embarras du choix. Une diversité qui fait la richesse de Miss France et qui contribue à en faire un événement emblématique de la culture populaire française.
Et même si Mareva attire aujourd’hui l’attention, la compétition reste serrée, imprévisible, et chaque candidate peut encore créer la surprise.
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Une héritière des Miss qui pourrait marquer l’histoire
Fille d’une ancienne Miss mexicaine, porteuse d’un prénom directement inspiré de deux Miss Tahiti légendaires, et animée d’une force calme héritée de sa famille, Mareva Michel pourrait bien écrire une nouvelle page émouvante dans le grand livre Miss France.
Il faudra patienter jusqu’au 6 décembre 2025 pour découvrir qui succédera à Angélique Angarni Filopon. Mais une chose est sûre : l’histoire familiale de Mareva donne déjà à cette édition une dimension supplémentaire, touchante et inspirante.
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