Culture

"Arrêtez avec ça !" : Michel Cymes recadre Faustine Bollaert en direct et remet les pendules à l'heure dans Les Enfants de la télé

02 décembre 2025 - 16 : 18
par Mylène Pris à partie dans une séquence d’"Incroyable mais vrai", Michel Cymes recadre avec humour Faustine Bollaert dans Les Enfants de la télé. Retour sur ce moment télé qui a fait réagir les téléspectateurs le 16 novembre 2025.

Il y a des séquences de télévision qui marquent parce qu’elles sont drôles, spontanées et sans filtre. C’est exactement ce qui s’est produit dimanche 16 novembre 2025 dans Les Enfants de la télé sur France 2, lorsque Michel Cymes, fidèle à son franc-parler, a recadré Faustine Bollaert avec humour.

Michel Cymes recadre Faustine Bollaert en direct et remet les pendules à l'heure dans Les Enfants de la télé

Une scène aussi savoureuse qu’inattendue, qui a immédiatement fait réagir les téléspectateurs. La célèbre séquence "Incroyable mais vrai" a une fois de plus prouvé qu’elle pouvait réserver des moments mémorables, surtout lorsque plusieurs personnalités sont prêtes à jouer le jeu, entre taquineries, révélations et piques bien placées.

Lire aussi : “J’en ai eu assez, j'ai débranché” : Michel Cymes revient sur sa séparation avec Adriana Karembeu

Une soirée sous le signe de la bonne humeur et des surprises

Ce dimanche-là, Faustine Bollaert recevait un plateau particulièrement animé : Michel Cymes, Anne Roumanoff, Titoff, Gaëtan Roussel et Agathe Lecaron. Une équipe idéale pour une soirée faite d’archives, de fous rires, de petites indiscrétions et de moments complices.

La séquence "Incroyable mais vrai", qui consiste à deviner si une affirmation à propos d’un invité est vraie ou fausse, allait rapidement devenir l’un des temps forts de l’émission.

Dès les premières minutes, le ton était donné. Entre confidences gênantes, vidéos gênantes et souvenirs improbables, les invités n’ont pas tardé à se charrier les uns les autres. Agathe Lecaron a été la première à passer au détecteur d’affirmations surprenantes, avant que le jeu ne se resserre autour des humoristes puis du médecin le plus célèbre du pays.

Lire aussi : Anne Roumanoff surprend en révélant pourquoi elle refuse catégoriquement de consulter Michel Cymes

Agathe Lecaron, Titoff et Gaëtan Roussel passent au révélateur

La première victime de la séquence fut Agathe Lecaron, qui se voyait attribuer une situation improbable : avoir été interrompue en plein direct à Bagdad à ses débuts à la télévision belge. Le plateau hésite, les invités débattent, mais la réponse surprend tout le monde : c’était faux. La séquence incriminée n’était en réalité qu’un duplex fictif tourné… dans des toilettes ! Un moment d’autodérision qui a immédiatement donné le ton.

Vient ensuite le tour de Titoff, qui subit lui aussi quelques remarques amusées, avant que Gaëtan Roussel ne soit moqué pour ses talents — ou son absence de talents — de crêpier. Une vidéo hilarante montre le chanteur de Louise Attaque tentant de faire sauter une crêpe… et échouant lamentablement. Une scène qui a déclenché un fou rire général sur le plateau. Mais le meilleur restait à venir.

Lire aussi : “Besoin d’un psychiatre ?” : l’aveu inattendu de François Hollande à Michel Cymès sur la santé mentale

Michel Cymes provoque un étonnement général face à une accusation surprenante

Lorsque le tour de Michel Cymes arrive, Faustine Bollaert semble visiblement ravie. Sourire malicieux, regard complice vers le public, elle lance : « Michel, maintenant, vous ne dites rien. On a déjà pris Michel Cymes en flagrant délit de non-assistance à personne en danger. »

Une affirmation qui déstabilise immédiatement le médecin. Anne Roumanoff en rajoute une couche : « Oui, c’est possible ! » Titoff, hilare, surenchérit : « Je dirais même plusieurs fois. » Pendant qu’Agathe Lecaron imagine déjà une scène dramatique en plein tournage.

Un instant de flottement se crée. Michel Cymes observe chacun, incrédule. Il ne comprend pas du tout où l’animatrice veut en venir. Faustine insiste : « Vous n’avez aucune idée de quoi on parle ? » Face à l’insistance, le médecin finit par répondre que non, il ne voit absolument pas de quoi il s’agit.

Lire aussi : Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ?

Le recadrage de Michel Cymes qui a déclenché les rires

Ne souhaitant pas laisser planer le moindre doute sur son comportement, Michel Cymes prend finalement la parole pour clarifier les choses — avec son sérieux habituel, teinté d’un humour presque involontaire : « Franchement, je ne crois pas, une seule fois dans ma vie, ne pas m'être arrêté devant un accident, aider quelqu’un qui faisait un malaise. Jamais. Je vous assure. »

Puis, face aux rires du plateau et à la persistance de l’animatrice, il lâche finalement cette phrase qui deviendra le moment culte de la soirée : « Donc, arrêtez avec ça, s’il vous plaît. » Un recadrage à la fois ferme, drôle et parfaitement dans la veine de ce que le public adore chez Michel Cymes : cette capacité à remettre les choses en place sans jamais perdre son sens de l’humour ni son humanité.

Lire aussi : “Besoin d’un psychiatre ?” : l’aveu inattendu de François Hollande à Michel Cymès sur la santé mentale

Faustine Bollaert rétablit la vérité et l’ambiance se détend

Pour éviter tout malentendu, Faustine Bollaert finit par révéler l’origine de l’affirmation. Il ne s’agissait évidemment pas d’un incident grave, mais… d’un fou rire incontrôlable sur le plateau du Mag de la santé. Marina Carrère d’Encausse, l’ancienne complice de Michel Cymes, était totalement hilare lors d’une émission, et le médecin n’avait pas su l’aider à retrouver son sérieux.

« Ha oui, ça très souvent avec Marina, oui, très souvent. » finit-il par admettre, déclenchant un nouveau rire général. La tension retombe immédiatement. Tout le monde comprend que la plaisanterie était purement bon enfant. Le médecin lui-même en rit, profitant de l’occasion pour rappeler à quel point l’amitié entre lui et Marina Carrère d’Encausse est profonde, durable et faite de complicité.

Lire aussi : Anne Roumanoff surprend en révélant pourquoi elle refuse catégoriquement de consulter Michel Cymes

Une séquence qui confirme la popularité de Michel Cymes

Ce moment de télévision fonctionne parce qu’il révèle ce que le public adore chez Michel Cymes : un mélange unique de sérieux lié à sa profession, de spontanéité, de charisme et d’humour. Il sait se défendre, clarifier une situation, tout en gardant un ton léger. L'émission a ainsi offert un moment authentique, drôle et sincère, comme en raffolent les téléspectateurs le dimanche soir.

Cette séquence renforce aussi l’alchimie entre Faustine Bollaert et ses invités, qui savent qu’ils peuvent tout se permettre — ou presque — avec une animatrice bienveillante et rieuse, capable de mener son émission comme une conversation entre amis.

Lire aussi : “J’en ai eu assez, j'ai débranché” : Michel Cymes revient sur sa séparation avec Adriana Karembeu

En résumé

Ce petit moment de tension — savamment contrôlée — entre Michel Cymes et Faustine Bollaert aura finalement offert l’un des passages les plus marquants de ce numéro des Enfants de la télé. Une preuve supplémentaire que la télévision, lorsqu’elle laisse place à la spontanéité et à l’humour, peut encore créer des séquences qui deviennent instantanément cultes.

Souvent drôle, parfois piquante, toujours bienveillante, cette joute verbale fait désormais partie des nombreux moments mémorables de l’émission, et rappelle combien Michel Cymes reste une figure incontournable du paysage audiovisuel français.

Découvrez maintenant Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ? et « Chez les Glucksmann-Salamé, ça fait chambre à part » : quand le couple intrigue.

Lire aussi : « C’est dangereux » : Michel Drucker face aux critiques sur sa fortune colossale

Ajouter les points
0
Points
Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!