L’avenir de la monarchie britannique pourrait bien être plus restreint que jamais. Selon les révélations du Daily Beast, le prince William, héritier direct du trône d’Angleterre, préparerait en coulisses une réforme radicale qui pourrait bouleverser la famille royale dès son accession au pouvoir.
À en croire les sources proches du futur souverain, cinq membres de la famille pourraient être déchus de leurs titres princiers. Une mesure qui s’inscrit dans la volonté du mari de Kate Middleton d’instaurer une monarchie « modernisée, sobre et centrée sur le devoir ».
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Une réforme royale déjà dans les cartons
À seulement 43 ans, le prince de Galles semble prêt à marquer de son empreinte l’histoire de la Couronne. Selon plusieurs tabloïds britanniques, dont le Daily Beast et le Telegraph, il aurait déjà esquissé les grandes lignes d’un plan de rationalisation de la famille royale, en concertation avec des conseillers et plusieurs membres du Parlement.
Le but ? Réduire le nombre de « royals actifs » pour limiter les dépenses publiques, renforcer la crédibilité de la monarchie et recentrer les missions officielles sur un noyau restreint composé de lui-même, de Kate Middleton et de leurs trois enfants : George, Charlotte et Louis.
Pour ce faire, William envisagerait d’utiliser un décret royal, ou letters patent, un outil juridique qui permet au souverain de modifier ou de retirer les titres de noblesse. Ce décret serait soumis à la ratification du Parlement britannique dans les premières semaines de son règne.
Les premiers visés : Andrew, Harry et leurs enfants
Parmi les principaux concernés, plusieurs noms reviennent avec insistance : le prince Andrew, le prince Harry, Archie, Lilibet, la princesse Béatrice et la princesse Eugénie.
D’après les sources citées, le prince Andrew, déjà privé de ses fonctions officielles après le scandale Epstein, pourrait perdre définitivement son titre de duc d’York. Bien qu’il ne représente plus la Couronne depuis 2022, son nom figure encore sur le site officiel de la famille royale — une situation qui, selon William, « brouille l’image de la monarchie moderne ».
Mais c’est surtout la branche californienne de la famille Windsor qui serait la plus exposée.
« Le prince William dépouillera le prince Andrew, ainsi que tous les autres membres non actifs, de leurs titres et de leurs privilèges lorsqu’il montera sur le trône », confie une source proche du futur roi.
Le prince Harry, exilé aux États-Unis depuis 2020 avec Meghan Markle, pourrait ainsi être démis de son titre de duc de Sussex, de même que leurs enfants Archie et Lilibet, pourtant officiellement reconnus comme prince et princesse depuis la disparition d’Elizabeth II.
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Béatrice et Eugénie : la fin d’un titre princier ?
Les filles du prince Andrew, Béatrice et Eugénie, sont également citées parmi les membres susceptibles de perdre leurs titres. Bien qu’elles n’aient jamais occupé de fonctions royales à plein temps, leurs titres de princesses d’York leur permettent encore de bénéficier d’un certain prestige. Or, leur carrière dans le secteur privé – Béatrice dans la finance et Eugénie dans l’art – pourrait désormais jouer contre elles.
Pour William, l’idée est claire : seuls les membres « actifs », c’est-à-dire ceux qui consacrent la majorité de leur temps au service de la Couronne, devraient continuer à bénéficier d’un statut princier.
Cette philosophie s’inscrit dans la continuité de celle de son père, le roi Charles III, qui a amorcé depuis 2022 une monarchie plus resserrée, inspirée du modèle scandinave.
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Une vision moderne mais controversée
Cette décision, si elle se concrétise, marquerait une rupture majeure avec la tradition britannique. Le prince William, conscient du poids historique de son futur rôle, semble prêt à rompre avec le modèle fastueux et coûteux de l’époque d’Elizabeth II pour adapter la monarchie à la réalité du XXIe siècle.
Selon les experts royaux, cette réforme viserait avant tout à préserver la popularité de la Couronne dans un contexte économique et social tendu.
« William veut une monarchie allégée, efficace et irréprochable. Il souhaite que chaque membre actif ait un rôle clair et justifiable aux yeux des contribuables », explique la spécialiste Katie Nicholl.
Mais cette stratégie pourrait aussi accentuer les fractures familiales, déjà profondes depuis la crise entre Harry et le reste de la famille. Pour les observateurs, le risque d’un nouvel éclat public n’est pas à écarter, surtout si les décisions sont perçues comme punitives.
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Une décision stratégique avant l’accession au trône
Alors que le roi Charles III, âgé de 76 ans, continue d’assurer ses fonctions malgré un état de santé fragile, le prince William se prépare activement à sa future mission.
Selon plusieurs sources, il aurait d’ores et déjà entamé des consultations discrètes avec le Conseil privé, en vue d’une transition ordonnée et rapide le moment venu.
L’objectif de cette anticipation serait de garantir une stabilité immédiate dès son arrivée au pouvoir, tout en affirmant sa propre autorité. William entend se positionner comme un monarque moderne, pragmatique et visionnaire, à la fois fidèle aux traditions et capable de faire évoluer la Couronne avec son temps.
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Une réforme symbolique mais lourde de conséquences
Si elle voit le jour, cette réforme bouleverserait profondément la hiérarchie des Windsor. En retirant certains titres, William enverrait un message fort : la monarchie britannique n’est plus une affaire de privilèges héréditaires, mais de service et de mérite.
Cette transformation s’inscrirait dans une volonté plus large de redorer l’image de la famille royale, souvent ternie ces dernières années par les scandales, les conflits internes et les critiques sur les dépenses publiques.
Pour beaucoup, cette refonte pourrait redonner de la légitimité à une institution fragilisée. Pour d’autres, elle risque au contraire de creuser les divisions au sein de la dynastie Windsor.
En résumé
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Le prince William préparerait une réforme radicale de la famille royale dès son accession au trône.
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Cinq membres seraient concernés : Andrew, Harry, Archie, Lilibet, Béatrice et Eugénie.
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Il pourrait utiliser un décret royal (letters patent) pour retirer leurs titres.
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Objectif : réduire le nombre de membres actifs et moderniser la monarchie.
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Une décision qui pourrait renforcer la crédibilité de l’institution… mais aussi raviver les tensions familiales.
Le futur roi d’Angleterre semble donc décidé à entrer dans l’histoire non pas comme un monarque de transition, mais comme celui qui aura redéfini les contours de la monarchie britannique. Une révolution silencieuse, mais dont l’écho pourrait résonner longtemps dans les couloirs de Buckingham Palace.
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