Un combat judiciaire aux États-Unis et en France
Depuis plusieurs mois, Brigitte Macron fait l’objet de rumeurs persistantes et malveillantes affirmant qu’elle serait née homme. Le 23 juillet dernier, le couple présidentiel a décidé de passer à l’offensive en portant plainte contre l’influenceuse américaine Candace Owens, qui avait relayé ces allégations.
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Selon leur avocat américain Tom Clare, les Macron s’apprêtent à « réunir des témoignages d’experts qui seront de nature scientifique et qui démontreront que ces allégations sont fausses ». Ces éléments devraient être produits lors du procès aux États-Unis, où la Première dame et son époux réclament des dommages et intérêts « exemplaires » pour dissuader d’éventuelles nouvelles tentatives de diffamation.
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Une procédure délicate mais assumée
Interrogé par la BBC, l’avocat Tom Clare a insisté sur la difficulté de cette situation pour le couple présidentiel : « C’est terriblement perturbant pour cette famille de devoir se présenter devant la justice », a-t-il déclaré, rappelant que la fonction présidentielle n’immunise pas contre ce type d’attaques. Brigitte Macron, toutefois, se dit prête à affronter cette épreuve « d’une manière très publique ». Selon son conseil, elle est « fermement résolue à faire ce qu’il faut pour rétablir les choses » et mettre un terme définitif à ces insinuations.
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Des preuves attendues au procès
Au cours du procès, les Macron comptent présenter plusieurs éléments matériels pour démontrer la fausseté des rumeurs. Parmi eux : des photos de Brigitte Macron enceinte, qui viendraient confirmer sans équivoque la maternité de la Première dame. Le choix d’apporter des « preuves scientifiques » vise à couper court aux interprétations et à clore un débat alimenté par les réseaux sociaux et les médias complotistes.
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Plusieurs fronts ouverts en France
Parallèlement à la procédure américaine, Brigitte Macron poursuit également son combat judiciaire en France. Elle a notamment déposé un pourvoi en cassation après la relaxe en appel d’Amandine Roy et Natacha Rey, condamnées en première instance pour diffamation en 2022. En outre, une procédure pour cyberharcèlement a été ouverte contre une dizaine de personnes soupçonnées d’avoir relayé ou amplifié ces rumeurs en ligne.
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Un enjeu d’image et de dignité
Au-delà du simple aspect judiciaire, ce dossier met en lumière les ravages des fake news et du cyberharcèlement. Pour le couple présidentiel, il ne s’agit pas seulement de défendre une réputation, mais aussi de protéger leur famille contre des attaques jugées particulièrement violentes. En réclamant des dommages et intérêts « exemplaires », Emmanuel et Brigitte Macron veulent adresser un message clair : les campagnes de diffamation en ligne ne resteront pas sans réponse, qu’elles visent une personnalité publique ou non.
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