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Climat : 2025 déjà considérée comme la troisième année la plus chaude de l'histoire

02 septembre 2025 - 15 : 10
par Mylène Selon les données scientifiques, 2025 est déjà classée comme la troisième année la plus chaude jamais enregistrée, confirmant l’accélération du réchauffement climatique.

Une alerte climatique supplémentaire

L’année 2025 n’est pas encore terminée, mais les scientifiques sont formels : elle figure déjà parmi les années les plus chaudes jamais enregistrées, se hissant directement à la troisième place du classement mondial. Une annonce qui confirme l’accélération du réchauffement climatique, un phénomène désormais impossible à ignorer et dont les conséquences se font sentir partout sur la planète.

Climat : 2025 déjà considérée comme la troisième année la plus chaude de l'histoire

Les données recueillies par les agences météorologiques internationales démontrent que les températures moyennes mondiales battent encore des records, prolongeant une série d’années exceptionnellement chaudes initiée depuis le début des années 2010.

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Un réchauffement qui s’accélère

Le constat scientifique est sans appel : la décennie en cours est la plus chaude depuis le début des relevés météorologiques. Chaque année ou presque franchit de nouveaux seuils, et 2025 ne fait pas exception. La température moyenne mondiale dépasse désormais de plus de 1,3 °C les niveaux préindustriels, s’approchant dangereusement de la limite de 1,5 °C fixée par l’Accord de Paris comme seuil critique à ne pas franchir.

Les experts soulignent que la combinaison du réchauffement global lié aux activités humaines et des phénomènes climatiques naturels comme El Niño contribue à cette flambée de chaleur. Mais c’est bien l’accumulation de gaz à effet de serre dans l’atmosphère qui demeure le principal moteur de cette évolution.

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Des records partout sur la planète

L’année 2025 a déjà été marquée par une série d’événements climatiques extrêmes :

  • vagues de chaleur historiques en Europe et en Asie, avec des températures dépassant régulièrement les 40 °C,

  • sécheresses prolongées en Afrique et en Amérique du Sud, affectant gravement l’agriculture et les ressources en eau,

  • incendies de grande ampleur en Amérique du Nord et autour du bassin méditerranéen,

  • fonte accélérée des glaciers et records de température enregistrés dans l’Arctique.

Ces phénomènes confirment que le réchauffement climatique n’est plus une projection théorique, mais une réalité quotidienne aux conséquences humaines, économiques et écologiques considérables.

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La France durement touchée

En France, l’année 2025 s’inscrit déjà comme l’une des plus éprouvantes sur le plan météorologique. Les épisodes de canicule se sont multipliés, frappant dès le mois de juin et se prolongeant jusqu’à la fin août. Plusieurs départements ont été placés à de nombreuses reprises en vigilance orange ou rouge, perturbant les récoltes agricoles et mettant à rude épreuve les infrastructures de santé. Les villes, particulièrement vulnérables à l’effet d’îlot de chaleur urbain, ont connu des températures insoutenables. Paris, Lyon ou Marseille ont enregistré des records locaux, tandis que la consommation électrique liée à la climatisation a explosé.

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Des conséquences économiques et sociales

Le classement de 2025 parmi les années les plus chaudes jamais enregistrées ne se limite pas à un constat météorologique : il s’agit d’un défi majeur pour nos sociétés. Les vagues de chaleur et sécheresses répétées affectent les rendements agricoles, faisant peser une menace sur la sécurité alimentaire mondiale.

Les catastrophes naturelles, qu’il s’agisse d’incendies ou d’inondations, entraînent des coûts économiques colossaux. Selon certaines estimations, les dommages liés aux événements climatiques extrêmes représentent déjà plusieurs centaines de milliards d’euros par an à l’échelle mondiale. Sur le plan social, les populations les plus vulnérables paient le prix fort. Dans de nombreuses régions, la chaleur extrême accroît les risques sanitaires, en particulier pour les personnes âgées, les enfants et les travailleurs exposés en extérieur.

L’alerte des scientifiques

Les experts climatologues tirent la sonnette d’alarme : la trajectoire actuelle n’est pas compatible avec les engagements internationaux. Si les émissions de gaz à effet de serre ne diminuent pas drastiquement dans les prochaines années, le monde risque de franchir le seuil des +2 °C avant 2050, avec des conséquences irréversibles. Les appels à l’action se multiplient. Réduction des émissions industrielles, transition énergétique, développement des énergies renouvelables, protection des forêts : toutes les solutions existent, mais leur mise en œuvre reste trop lente.

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Une responsabilité collective

Le classement de 2025 comme troisième année la plus chaude de l’histoire doit être perçu comme un signal supplémentaire adressé à la communauté internationale. Les gouvernements, les entreprises et les citoyens sont tous concernés. Les experts rappellent que chaque dixième de degré compte. Limiter le réchauffement à 1,5 °C au lieu de 2 °C permettrait de réduire considérablement les risques de catastrophes climatiques. Cela suppose toutefois des changements radicaux dans nos modes de production et de consommation.

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En résumé

L’année 2025 s’impose déjà comme la troisième plus chaude jamais enregistrée, confirmant l’accélération dramatique du réchauffement climatique. Derrière ce constat scientifique se cachent des réalités concrètes : vagues de chaleur, sécheresses, incendies, pertes agricoles et risques sanitaires accrus. Ce nouveau record rappelle l’urgence absolue d’agir, collectivement et sans délai. Car si 2025 illustre déjà les dérèglements climatiques, les décennies à venir pourraient être encore plus rudes si aucune action massive n’est entreprise.

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Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!