Une animatrice star qui se lance dans le matchmaking
Connue pour être la marraine des agriculteurs en quête d’amour dans « L’amour est dans le pré », Karine Le Marchand franchit une nouvelle étape. Ce lundi, elle a officiellement lancé son agence matrimoniale baptisée « Le Club des Belles âmes », un projet qu’elle mûrit depuis plusieurs années.
Avec ce service, l’animatrice veut offrir aux célibataires un cadre sérieux et bienveillant, loin des désillusions des applis de rencontre classiques. Son objectif est clair : « aider les célibataires à trouver l’amour sincère et durable dans une société où c’est extrêmement compliqué », explique-t-elle.
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Le constat d’une grande solitude
Pour Karine Le Marchand, l’idée est née d’un constat préoccupant : la France compte environ 18 millions de célibataires, et beaucoup d’entre eux souffrent d’un sentiment d’isolement. « Il y a un phénomène de dating fatigue. Les gens ne supportent plus qu’on leur parle mal et qu’on les maltraite. Ils arrêtent les applications, mais il n’y a rien pour les remplacer. Une grande solitude persiste », confie-t-elle au Parisien. Face à ce besoin criant, elle a choisi de mettre à profit son expérience et sa notoriété pour créer un espace de rencontres encadré, sérieux et respectueux.
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Un abonnement pour plus de sérieux
Pour accéder à la plateforme clubdesbellesames.com, les célibataires doivent s’acquitter d’un abonnement mensuel de 150 €. S’ajoute ensuite une participation de 200 € pour prendre part à une demi-journée de slow dating organisée dans un cadre convivial. Ce prix n’a rien d’anodin. Karine Le Marchand assume ce choix : « C’est un effort pour éliminer ceux qui ne prendraient pas la démarche au sérieux, sans exclure les faibles revenus ». Autrement dit, l’argent devient un filtre destiné à garantir la motivation et l’engagement des inscrits.
Un processus encadré et exigeant
Les candidats à l’amour doivent répondre à un questionnaire de plus de cent questions, un processus qui prend entre 30 et 40 minutes. Objectif : cerner leur personnalité, leurs attentes et leurs valeurs.
Une charte d’engagement moral encadre ensuite les relations :
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obligation d’annoncer clairement une rupture,
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impossibilité d’avoir plusieurs histoires en parallèle,
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respect mutuel exigé.
Les informations personnelles (identité, revenus, lieu d’habitation) sont vérifiées afin d’éviter les faux profils. Toute violation des règles entraîne une exclusion définitive.
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« Il n’y a pas de faux compte »
Karine Le Marchand insiste : « Il n’y a pas de harcèlement, pas de violences verbales. Pour entrer, il faudra prouver son identité, ses revenus et son lieu d’habitation. Il n’y a pas de faux compte. Si vous ne respectez pas, vous êtes banni du club ». Cette rigueur tranche avec la liberté quasi totale des applis de rencontre classiques, souvent critiquées pour la prolifération de faux profils et de comportements toxiques.
Des rencontres en grand format
Le Club des Belles âmes ne s’arrête pas au virtuel. Karine Le Marchand souhaite créer de véritables occasions de rencontres.
Plutôt que des tête-à-tête parfois stressants, elle imagine des événements collectifs :
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50 à 100 participants réunis pour un après-midi,
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des tables de 6 à 10 personnes,
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des thématiques de discussion liées à la vie de couple.
« Les participants se voient vivre, découvrent la voix, la façon de parler… Cela change tout », explique-t-elle. À la fin, si une affinité se dégage, libre à chacun de prolonger par un dîner ou un verre. Un groupe WhatsApp éphémère est même créé pour faciliter les échanges.
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Une démarche alignée avec « l’amour est dans le pré »
Le projet s’inscrit dans la continuité du rôle que Karine Le Marchand joue déjà à la télévision. Depuis 15 ans, elle accompagne les agriculteurs de « L’amour est dans le pré » dans leur quête amoureuse. Avec Le Club des Belles âmes, elle transpose cette mission dans la vie réelle, en offrant aux célibataires lambda les outils pour rencontrer un partenaire dans un cadre plus sûr et bienveillant.
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En résumé
En lançant « Le Club des Belles âmes », Karine Le Marchand transforme son expérience télévisuelle en véritable agence matrimoniale haut de gamme. Avec un abonnement payant, une vérification stricte des profils et des rencontres organisées autour de valeurs communes, elle entend créer une alternative crédible aux applis de rencontre classiques. Un pari audacieux qui pourrait séduire les nombreux célibataires lassés du dating virtuel, et qui confirme une fois de plus la place unique de Karine Le Marchand dans le paysage audiovisuel français.
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