Quand le ciel ne s’aligne pas comme prévu…
La chance, ce petit coup de pouce de l’univers qui peut tout changer, n’est malheureusement pas équitablement répartie dans le Zodiaque. Alors que certains signes semblent nés sous une bonne étoile, d’autres peinent à saisir les opportunités, à croire en leur bonne fortune, ou à lâcher prise pour accueillir les surprises de la vie.
.jpg)
Unsplash - Toa Heftiba
Selon l’astro love coach Nathalie Marcot, trois signes en particulier se démarquent… par leur manque de chance chronique. Il ne s’agit pas forcément de poisse, mais plutôt de traits de caractère qui les empêchent d’inviter la chance dans leur quotidien.
1. Vierge : trop de contrôle tue la surprise
En tête du classement, on retrouve sans grande surprise la Vierge. Les natifs de ce signe, nés entre le 23 août et le 22 septembre, sont connus pour leur pragmatisme, leur rigueur et leur besoin de tout anticiper. Pour eux, la vie se doit d’être planifiée, balisée, sécurisée. Mais voilà : la chance, elle, aime l’imprévu, les virages à 180° et les instants spontanés. Deux mondes qui ont bien du mal à cohabiter.
« La Vierge a besoin de tout analyser et aime tout prévoir », explique l’astrocoach. En se protégeant de l’inattendu, elle ferme la porte aux belles surprises que le destin pourrait lui offrir. Résultat : quand une opportunité se présente, elle doute, elle hésite, elle se dit que « c’est trop beau pour être vrai », et laisse filer sa chance… comme du sable entre les doigts.
Ce signe de Terre, guidé par la raison plus que par l’intuition, a aussi du mal à croire à la bonne étoile. Il préfère miser sur ses efforts que sur un coup du sort favorable. Pour qu’une Vierge parvienne à déclencher le facteur chance, elle doit apprendre à lâcher prise, à se faire confiance, et à s’ouvrir à l’imprévu. Plus facile à dire qu’à faire, évidemment…
2. Cancer : quand l’émotion freine l’élan
En deuxième position, on retrouve le Cancer, ce signe d’Eau ultra sensible, né entre le 21 juin et le 22 juillet. En apparence doux et protecteur, il cache souvent une tendance à voir le verre à moitié vide, surtout quand il s’agit de chance. Nathalie Marcot souligne que le Cancer « voit souvent le mal partout et se concentre sur ce qui ne va pas ». Même quand tout se déroule bien, il soupçonne une embuscade.
Ce pessimisme naturel l’amène à se méfier des bonnes nouvelles, à imaginer des pièges derrière chaque opportunité, et à se saboter inconsciemment. Même lorsqu’il est chanceux – en amour, au travail, dans ses projets – il refuse d’y croire et passe son temps à chercher ce qui pourrait mal tourner. Ce manque de confiance en l’avenir le pousse à passer à côté de belles occasions, faute de les avoir reconnues comme telles.
Autre obstacle majeur : le Cancer est attaché à son cocon, à sa routine, à ses repères. Il aime rester dans sa zone de confort, et rechigne à sortir de son univers rassurant. Or, la chance nécessite souvent de l’audace, des sorties de sentier battu et un brin de folie. Tout ce que le Cancer évite par instinct de protection. Le conseil de l’astro love coach ? Oser croire que le meilleur peut arriver, sans forcément s’écrouler ensuite.
3. Capricorne : la chance ne suffit pas, il faut la mériter
Sur la troisième marche du podium : le Capricorne, ce signe de Terre sérieux, travailleur et déterminé, né entre le 22 décembre et le 20 janvier. Contrairement au Cancer ou à la Vierge, il ne redoute pas la chance, il n’y croit tout simplement pas. Pour lui, tout ce qui arrive dans la vie est le fruit du mérite, du labeur et de la discipline. Un évènement heureux n’est pas chanceux, c’est logique. Et s’il n’arrive pas, c’est que le travail n’a pas été suffisant.
Ce côté cartésien et méritocratique ferme donc la porte à la magie, au hasard bienveillant et aux opportunités qui n’ont pas été arrachées à la sueur du front. Nathalie Marcot le décrit comme « casanier et solitaire », deux traits qui réduisent les chances de provoquer une rencontre, une idée de génie ou une nouvelle dynamique porteuse. La chance, chez le Capricorne, ne se provoque pas : elle se travaille.
Là encore, le remède est dans le lâcher-prise. Ce signe peut gagner à reconnaître que la vie offre parfois des cadeaux gratuits, sans contrepartie ni logique. Et qu’en laissant entrer un peu de souplesse dans sa vision du monde, il pourrait être agréablement surpris…
Ce que dit vraiment l’astrologie (et ce qu’elle ne dit pas)
Bien sûr, ces analyses restent des généralités. L’astro love coach elle-même le précise : pour comprendre la chance d’un individu, il faut étudier l’ensemble de son thème natal, en tenant compte de l’ascendant, de la position de la Lune, et de bien d’autres facteurs subtils. Une Vierge ascendant Lion n’aura pas le même rapport à la spontanéité qu’une Vierge ascendant Capricorne, par exemple.
De plus, la chance ne se résume pas à un seul événement marquant. Elle peut se manifester dans les petites choses du quotidien, dans une intuition bien placée, dans un coup de fil inattendu ou une belle coïncidence. Même les signes les plus « malchanceux » peuvent apprendre à reconnaître ces instants précieux et à les cultiver.
En résumé : la chance se travaille… mais aussi se laisse surprendre
Qu’ils soient nés sous une étoile rigide, méfiante ou incrédule, la Vierge, le Cancer et le Capricorne ne sont pas condamnés à vivre sans chance. Ils ont simplement tendance à mettre des barrières là où d’autres ouvriraient grand les bras. Leur prudence, leur sens du devoir ou leur attachement à la stabilité peuvent les freiner… mais ce sont aussi des forces à rééquilibrer pour laisser un peu plus de place à l’inattendu.
La bonne nouvelle ? La chance n’est pas un don réservé à quelques élus. Elle peut se provoquer, se mériter… ou tout simplement se reconnaître quand elle frappe à la porte. Encore faut-il avoir le courage d’ouvrir.
Découvrez maintenant Pourquoi le vendredi 13 continue de faire peur, même en 2025 et Horoscope du vendredi 13 juin 2025 : ce que les astres vous réservent aujourd’hui.
Lire aussi : Vendredi 13 : ces signes astrologiques qui vont vivre des bouleversements émotionnels intenses
