Culture

"Je lui avais juré" : la décision radicale de Brigitte Bardot concernant son fils

30 décembre 2025 - 14 : 35
par Laura Avant sa mort, Brigitte Bardot avait pris une décision irrévocable concernant son fils Nicolas. Une promesse intime restée intacte jusqu’à la fin.

Quand Brigitte Bardot s’est éteinte à 91 ans, c’est toute une époque qui a disparu avec elle. Celle d’une femme libre, excessive, passionnée, parfois dérangeante. Mais dans les heures qui ont suivi l’annonce de sa mort, une question plus intime a refait surface : qu’en était-il de sa relation avec son fils, Nicolas Charrier, longtemps marquée par la douleur et le silence ?

Je lui avais juré : la décision radicale de Brigitte Bardot concernant son fils

La maternité n’a jamais été un terrain apaisé pour Brigitte Bardot. Elle l’a reconnu elle-même à plusieurs reprises. Trop jeune, trop exposée, trop fragile psychologiquement, elle n’a jamais réussi à trouver sa place de mère. Nicolas, né en pleine tourmente médiatique, a grandi loin d’elle, pendant que sa mère devenait une icône mondiale.

Les mots écrits dans ses mémoires ont laissé des traces indélébiles. Ils ont profondément blessé Nicolas, au point de déclencher une procédure judiciaire. Brigitte Bardot perdra ce procès, et avec lui, toute possibilité de réconciliation publique. À partir de là, quelque chose change.

Des années plus tard, l’ancienne actrice prend une décision radicale. Elle promet à son fils de ne plus jamais parler de lui dans les médias. Une parole intime, presque sacrée. À partir de ce moment-là, le silence devient sa règle. Plus de confidences, plus de phrases choc, plus de justifications.

Même lorsqu’elle évoque sa famille, elle reste d’une extrême retenue. Elle mentionne à peine ses petites-filles, encore moins ses arrière-petits-enfants. Non pas par indifférence, mais par respect. Elle sait que chaque mot peut raviver des blessures qu’elle ne souhaite plus rouvrir.

En juin 2024, quelques mois avant sa disparition, Brigitte Bardot confirme avoir tenu cette promesse. Elle en parle sans emphase, presque comme une évidence. Elle sait qu’elle ne peut pas réparer le passé, mais elle peut au moins ne plus l’aggraver.

Aujourd’hui, cette décision apparaît comme l’un des gestes les plus forts de sa fin de vie. Une manière silencieuse de reconnaître ses erreurs, sans les justifier, sans les effacer. Brigitte Bardot est partie comme elle a vécu : dans l’excès, mais aussi dans une forme de vérité brute. Et cette promesse, tenue jusqu’au bout, en dit long sur la femme derrière le mythe.

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Laura
Je suis gourmande, susceptible et râleuse (surtout quand on veut goûter mon dessert). Mais à part ça, je ne mords pas, je vous jure !