À peine l’année 2026 évoquée que certains salariés commencent déjà à sourire. La raison ? Un calendrier particulièrement favorable qui permet d’optimiser ses congés comme rarement auparavant. Grâce à une combinaison habile de jours fériés et de week-ends, il devient possible de multiplier les périodes de repos sans vider son compteur.

Ce qui frappe en 2026, c’est la logique presque parfaite des dates. Plusieurs jours fériés tombent en fin ou en début de semaine, créant naturellement des ponts. D’autres, positionnés stratégiquement, permettent d’enchaîner de longues périodes de repos en posant seulement quelques jours.
Le mois de mai est souvent attendu, mais en 2026, il dépasse toutes les espérances. Deux vendredis fériés consécutifs transforment ce mois en véritable terrain de jeu pour les amateurs de pauses régulières. Le printemps devient alors une succession de respirations bienvenues.
L’été n’est pas en reste. La fête nationale offre une flexibilité rare, permettant soit un long week-end, soit une vraie coupure plus longue pour ceux qui anticipent. Même l’automne, souvent jugé morose, réserve une surprise en novembre avec une configuration idéale pour s’offrir une pause prolongée avant l’hiver.
Enfin, décembre vient couronner le tout. Avec Noël placé un vendredi, la fin d’année prend des airs de mini-vacances prolongées. Pour beaucoup, 2026 pourrait bien devenir l’année où l’on apprend enfin à travailler moins… tout en se reposant plus.
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