Pendant longtemps, Laeticia Hallyday a avancé avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. La dette fiscale laissée par Johnny Hallyday, estimée à plusieurs dizaines de millions d’euros, a façonné son quotidien, ses choix et même ses déplacements. Aujourd’hui, ce poids appartient au passé. La dette est réglée. Un soulagement immense, presque irréel.

Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, cette libération financière ne rime pas avec insouciance. Laeticia reste prudente, mesurée, presque sur la réserve. Chaque décision est encore mûrement réfléchie, comme si les années de pression avaient laissé une empreinte durable.
Elle continue de percevoir les revenus liés à l’œuvre de Johnny, tout en gérant avec attention ses biens immobiliers, notamment la célèbre villa de Saint-Barth, qu’elle loue une grande partie de l’année. Une stratégie assumée, qui lui permet de conserver ce lieu chargé d’émotion sans s’y ruiner.
Entre Paris et les États-Unis, Laeticia oscille. Si elle passera Noël dans la capitale, sa vie est ailleurs, auprès de ses filles Jade et Joy, qui ont grandi américaines, comme Johnny le souhaitait. La France reste un pays de cœur, mais aussi de souvenirs douloureux.
Aujourd’hui, Laeticia avance plus légère, mais toujours lucide. La page de la dette est tournée, mais le livre de sa reconstruction est encore en train de s’écrire.
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