Après huit ans d’incertitudes, de procédures et de sacrifices, Laeticia Hallyday est enfin parvenue à solder la dette fiscale estimée à 36 millions d’euros laissée après la mort de Johnny Hallyday. Une somme immense, qui a nécessité bien plus qu’une simple négociation : Laeticia a dû renoncer à plusieurs biens importants au fil des années, parfois bien au-delà de ce qu’imaginait le grand public.

La vente la plus marquante est celle de la maison de Marnes-la-Coquette, dernier lieu de vie du rockeur. Mise sur le marché pour plus de 20 millions d’euros, elle n’a finalement été vendue que 7 millions, un montant nettement inférieur aux attentes mais indispensable au remboursement. Une cession difficile émotionnellement, tant la maison symbolisait la fin d’une époque.
Pour compléter la somme, Laeticia a également vendu d’autres biens précieux : la villa d’Amalfi Drive à Pacific Palisades, des motos, des voitures de collection et même les mythiques Rolls Royce et Lamborghini de Johnny. À chaque transaction, c’est un fragment de vie et de souvenirs qu’elle voyait s’éloigner.
Son avocat a également décrit l’épreuve comme un “tsunami fiscal et médiatique”, estimant que le contrôle était injuste puisque Johnny payait déjà ses impôts aux États-Unis, où vivait la famille. Malgré tout, Laeticia a tenu bon, accumulant preuves et justifications pour faire réviser le montant final.
Aujourd’hui, elle peut enfin tourner la page. La dette est réglée, les sacrifices assumés, et un nouveau chapitre peut commencer, loin de la pression et des comptes à rendre.
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