Depuis la fuite de la vidéo privée où elle qualifie certaines candidates du Top 12 de « grosses p*tes », Julie Zitouni se retrouve sous le feu des projecteurs. Une exposition dont aucune Miss ne rêve, surtout au lendemain d’une élection nationale qui devrait être synonyme de lumière positive.

Face au tourbillon médiatique, la jeune femme a décidé de briser le silence pour clarifier ses propos et tenter de désamorcer la situation. Cette prise de parole marque un tournant dans la manière dont l’affaire est perçue par le public.
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Les coulisses d’une réaction précipitée mais nécessaire
Selon les observateurs habitués de Miss France, les candidates sont souvent encouragées à rester prudentes dans leurs déclarations. Mais l’ampleur de la polémique ne laissait à Miss Provence aucune marge d’attente.
Sa réponse, publiée rapidement sur Instagram, traduit autant l’urgence de la situation que la volonté de reprendre le contrôle du récit. Elle y reconnaît que ses mots sont « maladroits », admet qu’ils ne reflètent pas sa véritable pensée et ajoute un élément qui a surpris : dans son langage familier, l’expression employée désignerait plutôt « les veinardes ».
Cette précision, loin d’apaiser totalement les critiques, a ouvert un autre débat : celui de l’écart entre langage régional et perception nationale. Toutefois, dans les coulisses, cette justification apparaît comme une tentative de transparence, un moyen de montrer qu’elle ne cherche pas à esquiver ses responsabilités.
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Une onde de choc dans la communauté Miss France
La diffusion de la vidéo a eu un impact immédiat sur les réseaux, mais aussi dans les rangs des candidates. Certaines auraient été blessées, d’autres auraient relativisé en comprenant qu’il s’agissait d’un moment privé. La solidarité qui se crée généralement au sein d’une promotion Miss France se retrouve mise à l’épreuve, et la réaction de Julie Zitouni, en s’excusant directement auprès des candidates du Top 12, vise précisément à reconstruire cette cohésion.
Les internautes, eux, restent divisés. Une partie condamne fermement les propos, tandis que d’autres appellent à l’indulgence, rappelant qu’il s’agit d’un instant capté hors caméra dans un moment de relâchement. Ce clivage montre à quel point la société est désormais sensible à la question du respect et à la responsabilité des personnalités publiques, même dans l’intimité.
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Quel impact pour la suite de son année de règne ?
Si le comité Miss France n’a pas encore communiqué officiellement, la question se pose : cette polémique aura-t-elle un impact durable sur l’année de Miss Provence ? Le début d’un règne façonne souvent la perception qu’a le public d’une candidate. Or Julie Zitouni doit désormais composer avec un incident qui a marqué les esprits avant même qu’elle ait eu le temps de s’installer dans son rôle.
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Son choix de s’exprimer rapidement pourrait cependant jouer en sa faveur. En assumant ses mots et en tentant de les contextualiser, elle adopte une posture de responsabilité que beaucoup saluent. Mais elle devra désormais redoubler d'efforts pour montrer la femme engagée, respectueuse et professionnelle qu’elle affirme être. Une tâche complexe, mais pas impossible, surtout dans un paysage médiatique où les polémiques, si rapides à éclore, disparaissent parfois aussi vite qu’elles sont apparues.
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