Culture

David Hallyday stoppe net Anne-Sophie Lapix : sa réaction inattendue dès la première question

08 décembre 2025 - 10 : 45
par Mylène David Hallyday surprend Anne-Sophie Lapix en rejetant immédiatement la comparaison avec un “fils de la famille royale” dans le 20h10 de M6. Voici ce qui s’est vraiment passé.

Lorsque David Hallyday arrive sur le plateau du 20h10 d’Anne-Sophie Lapix, ce dimanche 7 décembre 2025, personne n’imagine que les toutes premières secondes de l’échange vont déjà créer un moment suspendu.

David Hallyday stoppe net Anne-Sophie Lapix : sa réaction inattendue dès la première question

Le chanteur, habituellement discret, réservé lorsqu’il s’agit d’évoquer son héritage et l’histoire de sa famille, ne s’attend visiblement pas à l’angle choisi pour ouvrir l’interview.

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Une entrée en matière qui déroute Anne-Sophie Lapix

La journaliste commence en rappelant la naissance du fils de Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, un bébé de 3,50 kg dont l’arrivée avait été célébrée à l’époque comme un événement presque national. Un ton léger, enjoué, qui installe immédiatement l’idée que l’artiste aurait grandi « comme le fils de la famille royale », un statut symbolique que certains lui prêtent encore aujourd’hui.

Mais c’est précisément là que la conversation bascule. David Hallyday, qui garde un sourire poli, se raidit pourtant légèrement, comme surpris par cette comparaison un peu trop grandiloquente.

Et dans un souffle qui dit tout, il lâche ce « Houla ! » net, instinctif, sans détour. Le mot claque, presque autant que le silence d’une fraction de seconde qui suit. On comprend alors que le chanteur n’a aucune envie d’endosser cette image qu’on lui colle parfois, celle du petit prince d’une dynastie idolâtrée. « Je n’espère pas, non », répond-il immédiatement, d’un ton ferme mais courtois.

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David Hallyday refuse une narration trop figée autour de lui

Ce refus franc, ponctué d’un sourire un peu gêné, n’est pas un caprice. Il est au contraire révélateur de la volonté de David Hallyday de contrôler le récit qui s’écrit autour de lui.

Il ne renie rien de son passé, ni de l’aura immense de ses parents, mais il rejette cette idée de l’enfant destiné, quasiment programmé pour briller sous les projecteurs. Pour lui, cette comparaison avec une famille royale enferme plus qu’elle ne libère, fige plus qu’elle ne raconte, et crée une forme de caricature qui ne reflète pas sa réalité.

Lorsqu’Anne-Sophie Lapix insiste subtilement sur ce statut de « petit prince des Français », héritier d’une lignée d’artistes adulés, l’artiste choisit de nuancer. Il affirme avoir vécu « une enfance magnifique, mais spéciale ».

Une phrase qui montre qu’il assume la singularité de son parcours, sans prétendre qu’il a grandi dans des conditions ordinaires, mais en soulignant qu’il ne veut pas être réduit à un symbole. Ce qu’il refuse, c’est l’idée qu’on puisse résumer toute sa construction à son nom de famille ou à l’image fantasmée que certains continuent de projeter sur lui.

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L’éducation américaine qui a tout changé

Pour comprendre cette réaction spontanée, il faut revenir à ce que David Hallyday rappelle ensuite : il a été « éduqué un peu à l’américaine ». Une manière de dire que son identité ne s’est pas façonnée sous les yeux du public français, mais loin, très loin, de ce que l’on imagine parfois.

Aux États-Unis, personne ne l’attendait comme « le fils de ». Personne ne scrutait sa manière d’apprendre, de grandir, d’évoluer. Cette distance lui a permis, selon ses propres mots, de devenir musicien à son rythme, sans la pression du nom qu’il portait, sans devoir incarner un héritier légitime de la scène musicale française.

Ce point est essentiel pour comprendre la dynamique de l’interview. Là où Anne-Sophie Lapix tente d’installer une image presque romanesque, lui rappelle qu’on le voyait comme un enfant star, David Hallyday, lui, ramène le discours à quelque chose de plus intime et plus vrai.

Il revendique le droit d’avoir vécu en dehors de cette étiquette. Il revendique aussi le choix conscient de s’être construit loin du cadre dans lequel les médias auraient voulu le maintenir.

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La mise au point qui donne le ton de toute l’interview

Ce « Houla ! » n’est donc pas une réaction d’humeur. Il est une déclaration. Une manière pour David Hallyday de dire dès la première minute : « Je ne rentrerai pas dans le récit que vous essayez de tracer autour de moi. »

Cette mise au point influence le reste de l’entretien, installe une atmosphère nouvelle où l’artiste ne se contente pas de répondre aux questions, mais redessine les contours de sa propre histoire.

Il ne s’agit pas d’un rejet de sa famille, bien au contraire. Il évoque même l’impact de sa relation avec Laeticia Hallyday, preuve qu’il ne fuit pas les sujets sensibles. Mais il refuse que l’on interprète sa vie uniquement à travers l’image des Hallyday, comme si tout devait revenir à cette lignée.

Cette posture, calme mais ferme, reflète un homme qui a appris à dire non avec élégance, à poser des limites sans froisser, à affirmer son identité sans renier ses origines.

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Un moment télévisé qui en dit long sur l’artiste

Ce court échange, presque anodin en apparence, a pourtant marqué les téléspectateurs. Peut-être parce qu’il révèle une facette souvent méconnue de David Hallyday : sa capacité à rester fidèle à lui-même, même lorsqu’on tente de le replacer dans un rôle qu’il n’a pas choisi.

Ce n’est pas un clash, ni une rupture, c’est un recadrage tout en nuance. Un rappel que derrière le nom, il y a un homme qui s’est construit dans l’ombre, et qui n’a pas peur de remettre les pendules à l’heure.

Le 20h10 d’Anne-Sophie Lapix, habituellement fluide et bien calibré, a alors pris une tournure plus intime, presque introspective. Le public a assisté en direct à l’effacement d’un cliché, à une forme de dévoilement discret, à une réaffirmation identitaire. Et cela explique sans doute pourquoi ce passage, pourtant très court, a autant circulé sur les réseaux quelques minutes après sa diffusion.

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Une déclaration qui résonne encore davantage aujourd’hui

Ce moment a marqué les esprits parce qu’il est simple. Parce qu’il est vrai. Parce qu’il montre que même après des décennies de carrière, l’artiste n’a rien perdu de sa capacité à surprendre.

Et surtout parce qu’il rappelle que David Hallyday n’a jamais cherché à incarner l’héritier idéal de la scène française. Il préfère tracer sa propre voie, loin des évidences, loin des raccourcis, loin des légendes qui ne lui appartiennent pas.

En stoppant immédiatement l’idée de la « famille royale », il ne renie rien. Il partage au contraire une vérité profonde : celle d’un homme qui veut être regardé pour ce qu’il est, et non pour l’histoire qu’on plaque sur lui. Voilà pourquoi ce « Houla ! » a marqué la télévision. Parce qu’il concentre en un mot toute la complexité d’un artiste qui a appris à se construire autrement, ailleurs, et surtout à sa manière.

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Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!