Meghan Markle vient de lever le voile sur l’un de ses secrets les mieux gardés : une résidence discrète à New York, située au cœur de l’Upper East Side, qu’elle utilise pour ses entretiens professionnels les plus sensibles.
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Très attachée à la notion de havre de paix, la duchesse s’efforce depuis des années de compartimenter sa vie privée, et ce lieu en est la preuve éclatante.
Lors d’un long échange avec Harper’s Bazaar, l’épouse du prince Harry a enfin accepté d’en dire plus. Le journaliste raconte avoir été accueilli dans un brownstone luxueux, aux pierres rouges, prêté à Meghan par une amie proche.
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Un havre de paix loin du tumulte médiatique
L’adresse, tenue secrète, ressemble davantage à un cocon qu’à un pied-à-terre : cuisine ouverte donnant sur une terrasse, ascenseur en verre placé au centre du salon, volumes spacieux, calme absolu, atmosphère intimiste. Un décor soigneusement choisi pour préserver sa tranquillité et travailler sans être observée.
Pour marquer l’instant, le “manager” des lieux a même annoncé : “Meghan, Duchess of Sussex”, comme un rappel discret du protocole, loin du faste royal mais empreint de respect.
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La protection de son intimité, une priorité absolue
Depuis leur retour aux États-Unis, Meghan Markle et Harry multiplient les stratégies pour protéger leur vie privée. La duchesse, souvent visée par les médias britanniques, a développé une véritable culture du cloisonnement : elle sépare strictement les espaces personnels des lieux professionnels.
Lorsqu’elle a commencé à tourner son émission pour Netflix, beaucoup imaginaient que le programme se déroulerait dans leur maison de Montecito. Il n’en a rien été. Meghan a tenu à louer un autre lieu pour éviter que les caméras n’envahissent leur quotidien. Dans People Magazine, elle avait déjà expliqué : « Je voulais protéger ce havre de paix ». Un mantra constant chez elle.
Elle ajoute : « Notre cuisine, c’est là où maman cuisine pour la famille. » Cette phrase dit tout : la cuisine, lieu sacré, lieu de transmission, ne pouvait en aucun cas devenir un plateau télé avec une équipe complète envahissant l’espace.
Pour Meghan, les moments à quatre — avec Archie et Lilibet — sont non négociables. Sa maison n’est pas seulement un foyer : c’est un sanctuaire.
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L’aide précieuse de Tyler Perry : un tournant dans leur nouvelle vie
Une fois installés en Amérique du Nord, Meghan et Harry ont dû faire face à un défi immense : se réinventer loin de la monarchie tout en étant constamment suivis. C’est à ce moment que Tyler Perry, producteur et réalisateur américain, entre en scène.
Après un échange inattendu — Meghan lui confie sa situation comme on se confie parfois « à un étranger dans un avion » — Tyler Perry leur propose l’impensable : sa villa de Beverly Hills. Un refuge immense, sécurisé, isolé, parfait pour se reconstruire après leur départ du Canada.
La duchesse raconte que ce geste, arrivé “au moment où ils en avaient le plus besoin”, a profondément marqué leur transition vers leur nouvelle vie.
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Le quotidien apaisé à Montecito
Depuis 2020, le couple vit dans sa propriété de Montecito, une maison somptueuse achetée quelques mois après leur retrait officiel de la famille royale. C’est aujourd’hui leur repère principal : un espace de tranquillité doté d’une aire de jeux, d’un vaste jardin, d’un potager, d’une cave à vin et d’un cadre idyllique où leurs enfants passent la majorité de leur temps.
La demeure est pensée comme un écrin familial. On y trouve tout ce qui reflète les priorités de Meghan et Harry : nature, protection, intimité, équilibre.
Malgré cet ancrage en Californie, Meghan avoue qu’elle possède un autre refuge—plus discret encore—en plein cœur de New York. Ce lieu lui permet de travailler, d’écrire, de donner des interviews en paix.
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Le rôle central d’Harry dans cet équilibre
Dans son entretien avec Harper’s Bazaar, Meghan Markle revient également sur son histoire d’amour. Elle insiste sur la place fondamentale d’Harry dans sa vie. Elle confie même : « Personne au monde ne m’aime plus que lui. »
Une phrase puissante, intime, qui tranche avec l’image souvent distante que certains médias projettent du couple. Elle le décrit comme « joyeux, spontané », un homme qui l’aide à se recentrer.
Meghan évoque aussi sa mère, Doria Ragland, qu’elle qualifie « d’esprit libre », et l’influence de sa grand-mère, qui lui a transmis l’amour de la cuisine. Ces références familiales montrent une Meghan attachée à ses racines, à la simplicité, à l’authenticité.
Et cette résidence new-yorkaise ne fait que renforcer cette lecture : elle n’est pas un symbole de luxe, mais un espace où elle peut se reconnecter à ce qu’elle considère essentiel — son couple, ses valeurs, son travail, sa liberté.
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