Meghan Markle n’en finit plus de surprendre, et cette fois, c’est au cœur de la Fashion Week que l’ancienne actrice a créé l’événement. Le 5 octobre, son apparition très remarquée au défilé Balenciaga avait alimenté toutes les rumeurs, surtout après la fameuse vidéo où elle tente un baiser amical avec Pierpaolo Piccioli avant de se cogner la tête contre lui.
Une séquence virale qui avait immédiatement lancé le débat : la duchesse s’était-elle invitée sans y être conviée ? Dans un entretien pour Harper’s Bazaar, Meghan a décidé de rétablir la vérité. Et sa version change radicalement la perception de cette soirée.
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Meghan Markle clarifie : oui, elle a "tendu la main" au créateur
Selon la duchesse, il n’a jamais été question d’un passage en force. Ni de porte dérobée. Encore moins d’une intrusion inattendue. Elle raconte avoir contacté directement Pierpaolo Piccioli pour lui faire savoir qu’elle souhaitait être présente à son premier grand show chez Balenciaga.
Elle affirme lui avoir dit : "Je suis ravie de venir te soutenir." Une invitation formelle ? Peut-être pas. Un geste improvisé ? Pas vraiment non plus. La vérité, selon elle, se situe entre les deux.
Elle précise que ce retour à Paris, son premier en Europe depuis 2023, a été vécu comme une véritable bouffée d’air frais. "Nous l’avons gardé secret, et c’était vraiment amusant", raconte-t-elle.
Cette discrétion explique pourquoi son arrivée avait semblé inattendue, presque clandestine. Pourtant, comme l’a confirmé le créateur auprès de The Cut, il n’y avait aucune stratégie, ni mise en scène calculée : "Elle m’a dit qu’elle adorerait venir au défilé."
Un porte-parole de la duchesse rappelle même que Meghan et le couturier ont déjà travaillé ensemble par le passé, notamment sur des créations portées lors d’événements majeurs. Rien d’étonnant donc à la voir, vêtue d’un spectaculaire ensemble blanc oversize avec cape intégrée, soutenir un ami de longue date à un moment décisif de sa carrière.
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Le petit malaise filmé : pourquoi il n’a rien gâché
La vidéo devenue virale – Meghan tentant un baiser d’amitié qui se transforme en choc de têtes – a alimenté tous les commentaires.
Pour certains, c’était gênant.
Pour d’autres, adorable.
Pour Meghan, ce n’était qu’une anecdote sans conséquence.
Elle explique qu’elle était "vraiment excitée" pour Pierpaolo Piccioli, et que rien n’a terni ce moment pour elle. Leur complicité existe depuis des années, bien avant que le créateur ne prenne les rênes de Balenciaga après seize ans passés chez Valentino.
Pas de malaise, pas de distance : seulement un moment spontané qui a fait le tour des réseaux sociaux.
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Une interview où Meghan se dévoile sous un jour inattendu
Le reste de son entretien pour Harper’s Bazaar montre une Meghan plus naturelle, plus personnelle et plus libre qu’on ne la voit habituellement. Pour la couverture, elle apparaît sans maquillage, simplement vêtue d’une veste noire en soie Dior. À l’intérieur, elle pose dans une robe rouge signée Balenciaga qui a fait l’unanimité auprès des fans de mode.
Cette session photo coïncide avec la sortie imminente de la bande-annonce de son spécial de Noël pour Netflix, un projet qu’elle porte depuis plusieurs mois avec sa marque As Ever.
L’occasion parfaite pour évoquer non seulement son style, mais aussi des aspects plus intimes de sa vie.
Elle parle notamment de son couple avec des mots particulièrement touchants : "Il m’aime avec audace, entièrement, et personne au monde ne m’aime plus que lui", confie-t-elle à propos du prince Harry. Elle dit aussi combien il la protège : "Il voit des choses que je ne vois pas."
Cette Meghan-là, loin du protocole, loin des polémiques, se montre vulnérable, imparfaite, humaine. "Moi aussi, j’ai le droit de faire des erreurs", dit-elle. Une phrase simple, mais qui en dit long.
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Meghan Markle : humour, amitiés solides et simplicité
L’interview révèle aussi une Meghan plus drôle et légère qu’on ne l’imagine. Plusieurs proches témoignent de sa personnalité pétillante. Serena Williams glisse : "On adore un bon mimosa. On peut parler pendant cent heures."
Kelly Zajfen va plus loin : "Elle est drôle. Je crois que ça surprend les gens." Elle évoque également la grande présence de Meghan lorsqu’elle a perdu son fils, soulignant une loyauté souvent méconnue.
Et puis il y a cette anecdote surprenante : à son arrivée pour l’interview, Harper’s Bazaar l’a annoncée d’un "Meghan, duchesse de Sussex", ce qui l’a elle-même prise de court. Comme si elle ne se définissait plus entièrement par ce titre royal, pourtant omniprésent dans les médias.
Entre confidences, mode, maladresses adorables et amitiés sincères, Meghan Markle montre qu’elle n’a pas fini de surprendre.
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Le résumé : Meghan Markle n’a pas “forcé” l’entrée, elle a assumé son envie d’être là
Ce que l’on retient finalement, c’est que Meghan n’a pas tenté de s’imposer dans un univers où elle ne serait pas la bienvenue. Elle a pris l’initiative, assumé son soutien, et s’est rendue à un événement mode important pour quelqu’un qu’elle appelle un ami.
Son apparition n’était ni calculée, ni improvisée : simplement spontanée. Et si cela fait encore beaucoup parler, c’est peut-être aussi parce que Meghan Markle fascine… même quand elle s’invite elle-même.
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