Culture

"Une immense droguée" : addiction, rechutes, crises de manque, Enora Malagré brise le silence sur son combat

17 novembre 2025 - 13 : 10
par Mylène Plongée dans les confidences d’Enora Malagré : invitée de Quelle Époque, la chroniqueuse révèle son addiction au sucre, ses crises de manque, ses rechutes et son combat quotidien contre cette “drogue blanche”. Un témoignage sincère qui éclaire une dépendance encore sous-estimée.

Une addiction au sucre plus répandue qu’on ne le croit

Sur le plateau de “Quelle Époque”, ce samedi 15 novembre 2025, Enora Malagré s’est confiée avec une rare sincérité sur un sujet qui touche énormément de Français : son addiction au sucre.

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Une dépendance qu’elle qualifie elle-même de « drogue », tant les symptômes de manque l’ont frappée de plein fouet. Entre émotion, prise de conscience tardive et combat quotidien, son témoignage a marqué les téléspectateurs.

Connue pour son franc-parler dans TPMP, l’ex-chroniqueuse n’a jamais caché ses combats personnels, notamment face à l’endométriose. Mais cette fois, c’est un autre ennemi invisible qu’elle a décidé de pointer du doigt : le sucre, cet ingrédient omniprésent dans notre alimentation, bien souvent à notre insu. Et son récit donne un véritable coup de projecteur sur une dépendance encore sous-estimée.

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Quand Enora Malagré réalise qu’elle est “accro”

Sur le plateau de Léa Salamé, la question est tombée avec douceur mais sans détour : « À quel moment avez-vous compris que vous étiez addict ? »

La réponse d’Enora Malagré, très directe, a surpris par son honnêteté : « Quand j’ai essayé d’arrêter. »

Comme des millions de personnes, elle consommait du sucre sans vraiment s’en rendre compte. Un paquet de bonbons par jour, des produits transformés au quotidien, des petites douceurs devenues automatiques… Jusqu’au jour où les médecins lui ont conseillé d’éliminer le sucre à cause de son endométriose, une maladie inflammatoire aggravée par les pics de glycémie.

C’est à ce moment-là que tout a basculé. « Crise de manque. Suer comme si j’étais une immense droguée. C’est la pire des addictions. »

Une phrase forte, qui résume l’intensité du combat : tremblements, sueurs, irritabilité… des symptômes qu’on n’imagine pas forcément liés à l’arrêt du sucre, mais qui sont bien réels. Car oui, la dépendance au glucose existe, et elle peut être brutale.

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Le sucre, une “drogue blanche” difficile à éliminer

Dans son documentaire “Demain, j’arrête ! Le sucre”, disponible sur MyCanal, Enora Malagré explore ce sujet de fond en comble. Elle y montre à quel point l’industrie agroalimentaire “resucre” les produits de manière systématique, même lorsqu’on ne s’y attend pas.

En plateau, elle a rappelé que la majorité des aliments vendus en supermarché contiennent des sucres cachés. Hugo Clément, également invité ce soir-là, a d’ailleurs confirmé ses propos : « Même dans des chips, du guacamole ou des plats préparés, il y a du sucre. » La découverte la plus étonnante d’Enora Malagré ? Les soupes industrielles. Un produit que l’on croit sain, simple, équilibré. Et pourtant…

Cette omniprésence du sucre complique énormément le sevrage : on croit faire les bons choix, mais le sucre est partout. Elle encourage donc chacun à faire un geste simple mais déterminant : regarder les étiquettes, observer la ligne “dont sucres”, et prendre conscience de ce que l’on consomme vraiment.

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Le combat quotidien d’Enora Malagré : rechutes, découragement… et espoir

Léa Salamé a alors posé LA question : « Vous n’êtes pas totalement guérie ? »

Et là encore, la réponse est d’une transparence désarmante. « Non. Je tiens six mois, puis je rechute. Ensuite quatre mois. Puis ça recommence… »

Une phrase qui résonne profondément chez de nombreuses personnes qui se battent avec des compulsions alimentaires. La chroniqueuse le dit elle-même : « On est très nombreux, partout dans le monde. »

Elle confie avoir « beaucoup rechuté cet été », et redoute déjà les fêtes de fin d’année, période redoutée par les accros au sucre. Chocolats, desserts, repas riches… Elle en parle avec humour mais aussi avec gravité : « Je suis comme ça, je me gratte les veines. »

Derrière la plaisanterie, on sent la difficulté réelle de reprendre le contrôle. Une lutte faite d’efforts, de frustrations, d’envies soudaines, de petites victoires. Une lutte qui ne ressemble pas aux clichés sur les addictions, mais qui n’en est pas moins intense.

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Une prise de parole salvatrice pour des millions de Français

Ce qui touche dans son témoignage, c’est sa capacité à rendre visible une addiction souvent minimisée. Le sucre est partout : dans les biscuits, les jus, les sauces, les plats préparés, les yaourts, les soupes, les boissons, et même dans des produits salés comme les chips.

On parle souvent du tabac ou de l’alcool, beaucoup moins du sucre, pourtant l’une des substances les plus consommées au monde.

En s’exprimant dans une émission grand public comme “Quelle Époque”, Enora Malagré :

  • libère la parole sur un sujet tabou,

  • déculpabilise ceux qui vivent la même chose,

  • met en lumière les stratégies industrielles,

  • et rappelle l’importance de faire attention à sa santé, surtout lorsqu’on souffre d’une maladie inflammatoire.

Cette prise de parole pourrait bien avoir un impact durable. Beaucoup de téléspectateurs ont confié sur les réseaux sociaux qu’ils se reconnaissaient dans ce qu’elle décrit.

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Pourquoi le sucre rend-il si dépendant ?

Si le sucre crée une telle dépendance, c’est parce qu’il agit directement sur notre cerveau. À chaque bouchée, il stimule la production de dopamine, l’hormone du plaisir. Ce mécanisme se rapproche de celui de certaines substances addictives.

Plus on en consomme, plus le cerveau réclame sa “dose”. Et comme le sucre est présent partout, cette dépendance peut s’installer insidieusement, sans qu’on s’en aperçoive. D’où la difficulté énorme lorsqu’on tente d’arrêter du jour au lendemain.

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Un témoignage qui résonne particulièrement chez les personnes atteintes d’endométriose

Pour Enora Malagré, ce combat contre le sucre n’est pas seulement une question d’habitude alimentaire. Il s’agit d’une démarche essentielle pour mieux vivre avec l’endométriose, une maladie qu’elle évoque régulièrement.

Le sucre étant inflammatoire, il intensifie les douleurs. Les médecins lui ont clairement conseillé de réduire sa consommation. Mais entre théorie et réalité, il y a un fossé que beaucoup reconnaîtront. Son récit montre à quel point ce changement alimentaire est difficile, même motivé par la santé.

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Un message important : comprendre avant de juger

Le témoignage d’Enora est précieux aussi parce qu’il rappelle une chose : les addictions ne sont pas toujours visibles, ni spectaculaires, ni comprises. Un paquet de bonbons par jour peut sembler anodin. Pourtant, pour elle, arrêter a provoqué des symptômes comparables au sevrage. C’est un message qui invite à la compréhension, et non à la critique.

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En résumé : une prise de parole sincère et utile

Enora Malagré a offert un moment fort et authentique dans “Quelle Époque”, en révélant son combat contre le sucre, une addiction qui frappe silencieusement une grande partie de la population. Avec humour, vulnérabilité et lucidité, elle met en lumière :

  • la difficulté du sevrage,

  • la présence massive de sucres cachés,

  • les rechutes fréquentes,

  • la pression des fêtes,

  • la nécessité de mieux lire les étiquettes,

  • et le lien entre sucre et maladies inflammatoires.

Un témoignage puissant, qui pourrait aider beaucoup de Français à mieux comprendre… et à se sentir moins seuls.

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Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!