Culture

"1 500 euros !", "Elle m'a fait la gueule" : Anne Roumanoff raconte la colère inattendue de Bernadette Chirac

18 novembre 2025 - 10 : 18
par Mylène Invitée dans Les Enfants de la télé, Anne Roumanoff raconte sa brouille avec Bernadette Chirac après avoir fait tomber le gain caritatif de Qui veut gagner des millions à 1 500 euros. Retour sur une anecdote savoureuse qui a marqué l’humoriste.

Une anecdote télé qui refait surface avec éclat

Invitée ce dimanche 16 novembre 2025 dans Les Enfants de la télé, Anne Roumanoff a offert au public exactement ce qu’il adore : un mélange parfait d’humour, de spontanéité et de confidences croustillantes. Et cette fois, c’est une histoire vieille de plus de quinze ans qui est ressortie, déclenchant rires, surprises… et nostalgie.

Anne Roumanoff raconte la colère inattendue de Bernadette Chirac

Lire aussi : Anne Roumanoff surprend en révélant pourquoi elle refuse catégoriquement de consulter Michel Cymes

En revoyant une archive datant de 2009, l’humoriste s’est retrouvée replongée dans un moment télé qu’elle n’a jamais véritablement oublié. Un passage dans Qui veut gagner des millions qui devait être léger, caritatif et sans conséquence.

À la place, il a débouché sur une chute de gains spectaculaire… et une brouille inattendue avec Bernadette Chirac, alors figure emblématique de l’opération Pièces Jaunes. Car si Anne Roumanoff adore rire d’elle-même, cet épisode-là lui a laissé un souvenir un peu plus piquant.

Lire aussi : “J’en ai eu assez, j'ai débranché” : Michel Cymes revient sur sa séparation avec Adriana Karembeu

Quand une question apparemment simple change tout

Les images diffusées dans Les Enfants de la télé montrent l’humoriste concentrée, tout sourire, prête à décrocher un beau chèque pour une cause qui lui tenait à cœur. La question fatale portait sur la chanson Les Petits Papiers de Régine : quel papier n’y est pas cité ?

Persuadée d’avoir la bonne réponse, elle mise sur le papier à fleurs. Mauvais choix : la bonne réponse était le papier froissé.

Anne Roumanoff revoit alors la scène en direct : elle hurle un “Oh non !” sonore pendant que ses gains s’effondrent brutalement. On parle ici d’une descente vertigineuse : de 50 000 euros… à 1 500 euros seulement. Dans un jeu classique, c’est déjà douloureux. Dans un jeu caritatif, c’est carrément une claque.

Lire aussi : “Besoin d’un psychiatre ?” : l’aveu inattendu de François Hollande à Michel Cymès sur la santé mentale

La réaction glaciale de Bernadette Chirac

C’est là que l’anecdote prend une tournure étonnante. Sur le plateau de France 2, Anne Roumanoff raconte avec son franc-parler habituel : “On était très très haut dans l’échelle des gains… et là, boum, 1 500 euros. C’est dur ! Je crois qu’il y avait Bernadette Chirac en coulisses et elle m’a fait la gueule.”

Le public éclate de rire. Faustine Bollaert sourit et tente une pirouette pour détendre l’atmosphère, même si tout le monde sent déjà que l’histoire ne s’arrête pas là.

Et effectivement, Anne Roumanoff poursuit, toujours aussi amusée par les souvenirs : “C’était pour l’opération Pièces Jaunes et c’était une très grosse somme… Après ça, elle ne me parlait plus en coulisses. Elle n’était pas contente.”

Et on la comprend : pour cette opération symbolique, médiatique et suivie de près par des millions de Français, chaque euro compte. Voir le gain passer de 50 000 à 1 500 euros avait de quoi refroidir l’ambiance.

Lire aussi : Anne Roumanoff émue : sa fille Alice impressionne à la Fashion Week et rend un hommage bouleversant à son père disparu

Une participation caritative qui tourne au casse-tête

À l’époque, Bernadette Chirac tenait l’opération Pièces Jaunes d’une main de maître. Sa présence dans les coulisses n’avait rien d’anodin : elle suivait de très près tout ce qui touchait à sa cause. Une chute aussi vertigineuse n’était donc pas seulement décevante : elle devenait un symbole, un moment qui pouvait difficilement passer inaperçu.

Selon Anne Roumanoff, l’ancienne Première dame n’a pas caché son agacement. Aucun cri, aucun reproche public, mais un silence glacial, immédiatement perceptible pour l’humoriste souvent habituée aux sourires, aux encouragements et à l’esprit bon enfant qui entoure généralement les actions caritatives. Et ce silence-là, la comédienne ne l’a jamais oublié.

Lire aussi : Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ?

Une histoire racontée avec humour… mais qui en dit long

Aujourd’hui, si Anne Roumanoff raconte cette anecdote avec légèreté, elle n’en demeure pas moins révélatrice de la pression ressentie lors de ces émissions caritatives. Derrière les caméras, les rires et l’adrénaline du jeu, il y a aussi la responsabilité : celle de représenter une cause, de ne pas décevoir, de faire gagner le plus possible.

L’humoriste, qui a vécu des décennies de carrière, en rit maintenant. Elle souligne qu’à l’époque, l’ambiance était différente, plus stricte, plus solennelle. Elle-même prend du recul, consciente que cette bourde, aussi bruyante soit-elle, n’a rien entaché de l’immense élan de générosité qu’a toujours suscité l’opération Pièces Jaunes.

Lire aussi : “Besoin d’un psychiatre ?” : l’aveu inattendu de François Hollande à Michel Cymès sur la santé mentale

Une relation jamais vraiment recollée

Anne Roumanoff confie aussi qu’après cet incident, sa relation avec Bernadette Chirac n’a jamais été la même. Rien de dramatique, aucune dispute ouverte, mais une distance, une fraîcheur, une sorte de malaise persistant.

Il faut dire que pour une Première dame aussi investie dans sa mission, cet épisode était difficile à avaler. L’humoriste, elle, a préféré tourner la page, consciente qu’elle n’avait jamais voulu faire de mal, juste… se tromper à une question comme n’importe quel candidat.

Aujourd’hui encore, elle garde un souvenir mi-amusé, mi-gêné de cette soirée. Et si cette histoire refait surface, c’est aussi parce que le public adore ces moments où les personnalités se montrent humaines, faillibles, spontanées.

Lire aussi : “J’en ai eu assez, j'ai débranché” : Michel Cymes revient sur sa séparation avec Adriana Karembeu

Une séquence qui fait le buzz et rappelle l’importance de ces archives

La diffusion de cette archive a immédiatement séduit les téléspectateurs. Car elle coche toutes les cases du divertissement tel qu’on l’aime aujourd’hui : des images vintage, un moment d’émotion, une célébrité qui raconte les coulisses sans filtre et un mélange parfait de rire et de malaise.

Anne Roumanoff, fidèle à elle-même, en profite pour transformer un souvenir gênant en un récit drôle, vivant, presque théâtral.

Et c’est peut-être pour ça que cette anecdote fonctionne autant : elle nous rappelle que derrière les paillettes, il y a des moments d’hésitation, d’erreur, de tension… et que même les personnalités les plus fortes peuvent se retrouver dans des situations totalement inattendues.

Lire aussi : Anne Roumanoff surprend en révélant pourquoi elle refuse catégoriquement de consulter Michel Cymes

En résumé

Si Anne Roumanoff évoque aujourd’hui sa brouille avec Bernadette Chirac, c’est avec une sincérité touchante et un humour toujours bien dosé. Loin d’alimenter une polémique, elle offre un regard amusé sur un moment où tout s’est joué à une mauvaise réponse. Un instant télé devenu culte, qui continue de faire rire… même quinze ans plus tard.

Découvrez maintenant Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ? et « Chez les Glucksmann-Salamé, ça fait chambre à part » : quand le couple intrigue.

Lire aussi : « C’est dangereux » : Michel Drucker face aux critiques sur sa fortune colossale

Ajouter les points
0
Points
Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!