Le ton monte chez les Windsor. Tandis que le roi Charles III a officiellement déchu son frère le prince Andrew de ses titres et honneurs, les tensions familiales ne cessent de s’intensifier.
Mais selon un biographe royal, si le prince William s’est montré l’un des plus fervents soutiens de cette décision historique, ce ne serait pas uniquement à cause des accusations de crimes sexuels visant son oncle.
Le fils aîné du roi aurait une raison bien plus personnelle : un commentaire insultant sur Kate Middleton qui aurait déclenché sa colère.
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Une chute royale approuvée par William
C’est désormais officiel : le prince Andrew perd définitivement son titre de prince et devient Andrew Mountbatten-Windsor. Une décision annoncée fin octobre par le palais de Buckingham, après la mise en lumière de ses liens avec le délinquant sexuel Jeffrey Epstein.
Selon les informations relayées par le Daily Mail, Andrew devra également quitter sa résidence de Royal Lodge pour s’installer dans un logement privé, marquant la fin d’un privilège royal vieux de plusieurs décennies.
Mais cette destitution n’aurait pas seulement été soutenue par Charles III. En coulisses, le prince William aurait activement plaidé pour écarter son oncle du cercle royal, convaincu qu’il nuisait à la crédibilité de la Couronne. Une décision motivée autant par la morale… que par la colère.
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Un commentaire sur Kate qui aurait tout déclenché
L’auteur et biographe royal Andrew Lownie, spécialiste des secrets de la monarchie britannique, révèle que la rancune du prince William envers Andrew ne daterait pas d’hier. S’il ne dévoile pas la teneur exacte du commentaire en question, il affirme qu’un propos déplacé sur Kate Middleton aurait profondément humilié l’héritier du trône.
Ce mot malvenu, lancé par Andrew à l’encontre de la princesse de Galles, aurait marqué un point de non-retour dans la relation entre les deux hommes. “William ne plaisante pas quand il s’agit de Kate. On ne s’en prend pas à son épouse, ni à son image publique”, confie une source proche de la famille royale citée par le biographe.
Cette phrase, prononcée il y a plusieurs mois, aurait été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, renforçant la détermination du prince à pousser son père à agir fermement contre Andrew.
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Des tensions ravivées lors des funérailles de la duchesse de Kent
Toujours selon Andrew Lownie, le prince William aurait été pris de court lors des funérailles de la duchesse de Kent en septembre 2025. Malgré sa volonté d’éviter tout contact avec son oncle, il se serait retrouvé contraint d’apparaître à ses côtés dans le protocole royal.
“Il était furieux d’avoir été placé dans cette situation. Pour lui, le roi Charles n’avait pas pris la mesure du problème. Il voulait une ligne claire : Andrew ne devait plus apparaître publiquement au nom de la famille royale”, explique le biographe.
Depuis cet épisode, le fossé entre les deux princes s’est creusé davantage. William aurait multiplié les échanges avec son père pour le convaincre de prendre une décision irrévocable. Ce qui fut fait fin octobre, quand le roi a officiellement retiré à son frère tous ses titres et honneurs royaux.
Harry aussi en froid avec son oncle Andrew
Si le prince William ne cache plus sa rancune envers Andrew, le prince Harry ne serait pas en reste. Selon Andrew Lownie, le duc de Sussex partage lui aussi une profonde aversion pour son oncle, qu’il aurait qualifié de “crétin” et d’“imbécile” dans l’intimité familiale.
Une rare convergence de vues entre les deux frères, pourtant éloignés depuis plusieurs années. Malgré leurs différends, ils s’accorderaient sur un point : le prince Andrew est devenu un poids pour la monarchie, et son retrait total de la vie publique était inévitable.
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Une image désastreuse depuis l’affaire Epstein
Le nom du prince Andrew reste irrémédiablement associé à l’affaire Jeffrey Epstein, l’homme d’affaires américain accusé de trafic sexuel sur mineures. En 2019, une interview désastreuse à la BBC avait achevé de ruiner sa réputation : son ton froid et son manque d’empathie envers les victimes avaient provoqué une vague d’indignation mondiale.
L’affaire a également éclaboussé Sarah Ferguson, son ex-épouse, accusée d’avoir maintenu des liens avec Epstein même après les révélations. Quant à leurs filles, les princesses Béatrice et Eugénie d’York, elles conservent leurs titres mais se disent profondément déçues par le comportement de leurs parents.
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William, protecteur de Kate et gardien de l’image royale
Pour le prince William, cette nouvelle étape marque à la fois une victoire politique et personnelle. Loin d’être motivé par la vengeance, il aurait surtout cherché à protéger Kate Middleton, désormais figure centrale du royaume.
Conscient du rôle croissant de son épouse dans la monarchie, William veille à ce qu’aucune attaque, même verbale, ne ternisse son image. “Il ne tolère aucun manque de respect à l’égard de Kate”, confie une source proche du couple royal.
Cette fermeté, perçue par certains comme de la rancune, serait en réalité une stratégie d’avenir : affirmer son autorité avant son accession au trône, tout en consolidant l’image d’un couple royal uni et exemplaire.
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Une monarchie en pleine recomposition
Avec la destitution d’Andrew, la monarchie britannique tourne une page lourde de scandales. Mais cette décision, soutenue par William, pourrait aussi marquer le début d’une nouvelle ère, plus moderne et plus resserrée autour du couple princier.
“C’est désormais la monarchie de Guillaume”, écrivait récemment le Daily Mail, évoquant la montée en puissance du prince de Galles et son influence croissante sur les décisions du roi Charles.
Entre fidélité à son épouse et devoir envers la Couronne, William impose peu à peu son style : ferme, protecteur et déterminé à redorer l’image des Windsor.
Et si l’avenir du trône s’écrit déjà dans les pas de Charles, c’est bien le prince William — épaulé par Kate Middleton — qui semble désormais tenir les rênes du futur royal.
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