Culture

Léa Salamé critiquée après une erreur au 20h : Thomas Sotto et Ségolène Royal prennent sa défense

02 octobre 2025 - 13 : 50
par Mylène Après sa bourde au 20 heures de France 2 face à Henri Guaino, Léa Salamé a été défendue publiquement par Thomas Sotto et Ségolène Royal. Retour sur la polémique et ses soutiens.

Une arrivée mouvementée au 20 heures de France 2

Depuis le 1er septembre 2025, Léa Salamé a pris les commandes du journal de 20 heures de France 2, succédant à Anne-Sophie Lapix. Une arrivée scrutée de près par le public comme par les observateurs médiatiques.

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La journaliste de 45 ans, déjà habituée aux plateaux politiques et aux débats, n’avait pas encore fait ses armes à la présentation du JT le plus regardé de France. Et chaque soir, ses prestations sont analysées, décortiquées, et parfois critiquées sur les réseaux sociaux.

Ce jeudi 25 septembre, l’attention a de nouveau été attirée par un moment d’inattention. Alors qu’elle recevait Henri Guaino, ancien député et conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, elle a commis une confusion en l’appelant Claude Guéant, autre figure de l’entourage sarkozyste et ancien ministre de l’Intérieur. Une erreur qu’elle a corrigée immédiatement en direct, mais qui n’a pas échappé aux téléspectateurs ni aux médias.

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Une bourde qui fait réagir les réseaux sociaux

Dans un contexte où les journalistes sont de plus en plus soumis à la critique permanente, cette confusion a été largement commentée. Certains y ont vu une simple maladresse, d’autres une nouvelle preuve que Léa Salamé aurait du mal à s’installer dans le fauteuil du 20h.

Les réseaux sociaux, toujours prompts à amplifier la moindre bévue, se sont emparés de l’extrait. Entre ironie, moqueries et critiques plus sévères, l’incident est rapidement devenu viral.

Le lendemain, plusieurs médias ont titré sur cette « nouvelle bourde », accentuant la perception d’une erreur répétée. Pourtant, la nuance est importante : il s’agissait d’un lapsus, un phénomène fréquent en direct, d’autant plus compréhensible que les deux personnalités concernées, Guaino et Guéant, ont toutes deux marqué la présidence de Nicolas Sarkozy.

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Thomas Sotto prend la défense de sa collègue

Face à ce déferlement, Thomas Sotto, lui aussi figure de France Télévisions et co-présentateur de Télématin, a choisi de monter au créneau. Sur son compte Instagram, il a publié une capture d’écran d’un article du Parisien titrant sur la « bourde » de sa consœur, avec un message clair : « Pardon, mais cela ne s’appelle pas ‘une bourde’ mais un lapsus. Et ça peut arriver à tout le monde. »

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Par ce geste, Thomas Sotto a voulu rappeler la difficulté de l’exercice du direct et l’importance de distinguer entre une erreur de fond et un simple lapsus de forme. En quelques mots, il a aussi réaffirmé la solidarité entre journalistes, souvent mis en difficulté par la rapidité des réseaux sociaux.

Son soutien a été largement relayé et apprécié par ceux qui estiment que Léa Salamé mérite qu’on lui laisse le temps de s’installer.

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Ségolène Royal à son tour solidaire

Parmi les personnalités politiques, Ségolène Royal a également pris la parole. Sur son compte X (anciennement Twitter), elle a jugé que Léa Salamé était « plus qu’excusable » et a rappelé que la confusion était compréhensible, tant les parcours d’Henri Guaino et de Claude Guéant sont liés à celui de Nicolas Sarkozy.

L’ancienne ministre de l’Environnement a profité de son message pour détailler le rôle de Guaino, rappelant qu’il fut conseiller spécial à l’Élysée de 2006 à 2012, notamment auteur du controversé discours de Dakar en 2007 et impliqué dans plusieurs épisodes marquants de la présidence Sarkozy.

En contextualisant ainsi la confusion, Ségolène Royal a non seulement défendu la journaliste mais aussi replacé le débat sur le fond politique. Un soutien d’autant plus notable qu’il émane d’une personnalité souvent critique vis-à-vis des médias.

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Les défis d’une nouvelle présentatrice du 20 heures

Cette polémique illustre surtout les difficultés rencontrées par Léa Salamé depuis sa prise de fonction. S’installer dans le fauteuil du 20 heures, c’est affronter des attentes immenses et une comparaison inévitable avec ses prédécesseurs.

Anne-Sophie Lapix, David Pujadas, Laurent Delahousse : tous ont dû, à un moment donné, affronter le jugement parfois sévère du public.

Le direct est un exercice sans filet où la moindre hésitation, le moindre lapsus, peut être immédiatement amplifié. Dans une époque où les extraits circulent en quelques secondes sur X, TikTok ou Instagram, les journalistes n’ont plus droit à l’imperfection. Pourtant, comme l’a souligné Thomas Sotto, personne n’est à l’abri d’une confusion.

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Un soutien nécessaire pour apaiser la pression

La défense publique de collègues et de personnalités politiques peut aider à rétablir un équilibre. Dans le cas présent, Léa Salamé a pu compter sur deux soutiens de poids : l’un dans sa propre rédaction, l’autre sur la scène politique. Ces gestes rappellent que l’erreur n’est pas forcément un signe de faiblesse professionnelle, mais une réalité du direct.

Le débat met également en lumière la question du traitement médiatique : parler d’une « bourde » répétée peut accentuer une image négative, quand un simple « lapsus » reflète plus justement la situation. C’est toute la différence entre la perception publique et la réalité journalistique.

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Une carrière déjà marquée par les polémiques

Ce n’est pas la première fois que Léa Salamé se retrouve au centre des débats. Depuis ses débuts dans l’audiovisuel, elle a souvent été critiquée pour son style d’interview, parfois jugé trop incisif ou trop complaisant, selon les points de vue. Elle a aussi été régulièrement attaquée sur son couple avec Raphaël Glucksmann, eurodéputé, certains y voyant une atteinte à sa neutralité journalistique.

Mais malgré les critiques, elle s’est imposée comme l’une des figures incontournables du paysage médiatique français, animant aussi bien des débats politiques que des émissions culturelles. Son arrivée au 20 heures s’inscrit dans cette continuité : une femme de caractère, habituée aux polémiques, mais toujours présente.

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En résumé

La « bourde » de Léa Salamé au 20 heures de France 2, en réalité un lapsus immédiatement corrigé, illustre la pression extrême qui pèse sur les journalistes télévisés. Critiquée par certains, elle a pu compter sur le soutien de Thomas Sotto, qui a rappelé qu’une telle erreur peut arriver à tout le monde, et de Ségolène Royal, qui a mis en avant la proximité historique entre les deux noms confondus.

Cette affaire témoigne de la sévérité accrue des téléspectateurs et de l’amplification des moindres erreurs par les réseaux sociaux. Mais elle montre aussi que dans le monde médiatique comme dans le monde politique, la solidarité peut jouer un rôle essentiel pour tempérer les jugements hâtifs.

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Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!