Depuis qu’elle a pris les rênes du journal de 20 heures de France 2, Léa Salamé attire plus que jamais l’attention. Ce 25 septembre, la journaliste fait la couverture du magazine ELLE et s’y livre sans détour sur son couple, sa carrière, sa famille, mais aussi sur son adolescence tumultueuse.
Une période qu’elle décrit elle-même comme « hyper violente » et au cours de laquelle ses relations avec sa mère ont été particulièrement compliquées.
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Une adolescence marquée par la rébellion
Dans les colonnes du magazine, Léa Salamé n’a pas hésité à revenir sur ses années d’ado, en reconnaissant sans fard qu’elle n’a pas toujours été facile à vivre. « J’ai été horrible, ado ! », confie-t-elle avec humour, tout en soulignant la violence de sa crise d’adolescence. Elle raconte avoir séché les cours, fréquenté les soirées, et même avoir été renvoyée du prestigieux collège Franklin à Paris pour indiscipline. Des souvenirs qui la font sourire aujourd’hui, mais qui, à l’époque, témoignaient d’une véritable rébellion.
La journaliste, qui a grandi dans une famille cultivée et exigeante, admet qu’à cette période, son père, Ghassane Salamé, était pour elle un véritable modèle, alors que sa relation avec sa mère, Mary Boghossian, était bien plus compliquée.
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Une relation tendue avec sa mère
Si aujourd’hui Léa Salamé est très proche de sa mère, il n’en a pas toujours été ainsi. Elle reconnaît que leurs échanges étaient marqués par des tensions récurrentes et une certaine distance affective. « C’est vrai que ça a été tendu plus jeune… », avoue-t-elle, en soulignant qu’elle a beaucoup évolué depuis qu’elle est devenue mère à son tour.
Cette complicité retrouvée s’illustre dans leur quotidien : désormais, c’est à sa mère qu’elle fait appel lorsqu’elle traverse des moments difficiles. Avec le recul, Léa Salamé estime que cette relation s’est transformée avec le temps, renforcée par l’expérience de la maternité et par une maturité nouvelle.
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Une remarque cinglante restée en mémoire
Ce n’est pas la première fois que la journaliste évoque la sévérité de sa mère. Dans un portrait publié début septembre par Le Nouvel Obs, un épisode révélateur avait déjà été mis en lumière. En 2016, après une interview particulièrement musclée de Nicolas Sarkozy, Mary Boghossian n’avait pas hésité à envoyer un e-mail sévère à sa fille : « Ma fille, tu es arrogante, insupportable à regarder. Ce n’est pas toi. Change. »
Une remarque que Léa Salamé n’a pas oubliée et qu’elle évoque aujourd’hui avec un mélange de lucidité et de tendresse. Elle admet d’ailleurs que cette critique l’a poussée à réfléchir sur son attitude et sur sa manière d’exercer son métier.
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Une femme qui assume ses contradictions
Avec franchise, Léa Salamé avoue ne pas encore avoir entrepris de psychanalyse, mais elle en parle avec une pointe d’humour, consciente de ses paradoxes. À travers ce témoignage, elle dresse le portrait d’une femme déterminée, qui a su transformer ses expériences difficiles en force, et qui assume désormais pleinement ses fragilités.
En revenant sans filtre sur son adolescence compliquée et sur les tensions avec sa mère, Léa Salamé montre une fois de plus qu’elle ne craint pas de se dévoiler. À travers ses confidences, la journaliste emblématique de France 2 apparaît sous un jour plus intime, renforçant encore le lien avec le public qui la suit au quotidien.
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