Emma Watson, désormais plus discrète sur les écrans depuis Les Filles du Docteur March (2019), s’est livrée récemment à un exercice d’honnêteté.
Dans une interview pour Hollywood Authentic, elle évoque sans fard les aspects du métier qui lui pèsent le plus.
Lire aussi : Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ?
La promotion des films, source de frustration
Ce qui, selon elle, est le plus pesant, ce n’est pas le jeu d’actrice lui-même, mais tout ce qui entoure le film après qu’il est tourné : la promotion, la vente, les campagnes marketing. Emma Watson confie que ce rôle promotionnel la démoralise. Elle ressent une sorte de déséquilibre entre ce qu’elle crée et ce qu’elle doit “vendre”. Parfois, elle dit avoir l’impression de ne pas avoir de contrôle sur cette partie de sa carrière.
Lire aussi : Voici le salaire astronomique que Léa Salamé a refusé chez BFMTV pour présenter le JT de France 2
Cette pression omniprésente
L’actrice évoque aussi la pression constante : être jugée, répondre aux attentes, devoir toujours performer. Même des choses apparemment plus légères comme une petite représentation devant des amis ou un spectacle informel lui rappeleraient à quel point ce métier peut être stressant. Ce qui ne lui manque pas du tout, dit-elle, c’est cette tension permanente.
Lire aussi : « C’est dangereux » : Michel Drucker face aux critiques sur sa fortune colossale
Ce qui lui manque vraiment
Malgré tout, Emma Watson reste passionnée par son art. Ce qu’elle regrette profondément, c’est l’instant où la caméra tourne : ce moment de concentration totale, quand tout autre bruit du monde s’efface. Elle décrit ce moment comme une forme de méditation, où elle peut oublier tout sauf ce qu’elle est en train de faire — un état libérateur, qui lui manque cruellement.
Lire aussi : Cyril Hanouna et Tiphaine Auzière aperçus ensemble : premières vacances en couple à Saint-Tropez ?
En résumé
Emma Watson imagine son métier comme un équilibre délicat entre ce qui nourrit sa créativité — le jeu, l’interprétation, l’immersion — et ce qui l’épuise — la promotion continue, la pression, le regard extérieur. Elle rejette ce qu’elle ne contrôle pas, revendique son besoin d’authenticité, mais admet combien il lui manque ce retrait du monde quand elle joue vraiment.
Découvrez maintenant Salaires du JT : combien gagnent réellement Anne‑Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse ? et le salaire astronomique que Léa Salamé a refusé chez BFMTV pour présenter le JT de France 2.
Lire aussi : Voici le salaire de Jean-Pierre Foucault pour présenter le Loto, et il fait beaucoup réagir les internautes