Netflix frappe fort en dévoilant Black Rabbit, une mini-série sombre et haletante portée par deux poids lourds du cinéma : Jude Law et Jason Bateman. Disponible dès le 18 septembre, ce thriller new-yorkais mélange habilement drame familial et intrigue criminelle, plongeant le spectateur dans un univers où les liens du sang se frottent aux tentations de la criminalité organisée.
En huit épisodes, la plateforme promet une immersion totale dans une spirale infernale qui ne laissera personne indemne.
Un duo de frères au cœur de la tempête
Dans Black Rabbit, Jude Law et Jason Bateman incarnent Jake et Vince Friedkin, deux frères que tout oppose. Jake, l’aîné, est un restaurateur à succès à la tête du Black Rabbit, un établissement branché de New York. Charismatique, élégant, amateur d’art et de whisky raffiné, il semble avoir construit une vie stable et enviable. Mais son fragile équilibre s’effondre lorsque Vince, son cadet chaotique et imprévisible, fait son grand retour dans son existence.
Vince, incarné par Jason Bateman, traîne derrière lui une réputation sulfureuse. Négligé, maladroit, constamment empêtré dans des ennuis, il revient avec un lourd passif : une dette de 140 000 dollars. Face à ce gouffre financier et aux menaces qui en découlent, Jake choisit la solidarité familiale, quitte à s’engouffrer avec son frère dans une descente aux enfers.
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Entre dettes, violence et révélations troublantes
Ce qui aurait pu n’être qu’une affaire d’argent se transforme vite en cauchemar. Black Rabbit explore la spirale infernale dans laquelle sont aspirés les deux frères : menaces de mort, chantage, overdose, révélations traumatisantes et relations amoureuses aussi tordues que dangereuses. Chaque épisode ajoute une couche de tension, multipliant les rebondissements et laissant planer une question lancinante : jusqu’où peut-on aller par loyauté familiale ? La série ne se contente pas de peindre une fresque criminelle ; elle explore aussi avec intensité les blessures intimes, les rancunes enfouies et la force paradoxale des liens du sang.
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Jude Law et Jason Bateman : une alchimie explosive
La réussite de Black Rabbit tient pour beaucoup à ses deux têtes d’affiche. Jude Law, 52 ans, livre une performance magnétique en frère protecteur, toujours sur le fil entre raison et danger. On le retrouvera d’ailleurs bientôt dans un autre rôle marquant : celui de Vladimir Poutine dans l’adaptation du roman Le mage du Kremlin, prévue pour janvier 2026.
Face à lui, Jason Bateman déploie tout son talent dans un registre sombre. Après son rôle inoubliable dans Ozark, il récidive dans un univers de criminalité oppressante, mais cette fois en y ajoutant une touche de vulnérabilité et de chaos. En plus d’incarner Vince, il signe aussi la réalisation de plusieurs épisodes et occupe le rôle de producteur exécutif, confirmant sa place d’acteur-créateur incontournable dans les grandes séries américaines.
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Une série sombre mais addictive
Au-delà de son casting prestigieux, Black Rabbit séduit par son atmosphère unique. Le récit oscille entre drame intime et thriller oppressant, installant un climat paradoxal : sombre et parfois violent, mais irrésistiblement addictif. Le spectateur se retrouve happé par ce mélange de sexe, drogue et violence, mais aussi par les moments de sincérité et de tendresse entre deux frères qui n’ont, au fond, que l’un l’autre pour survivre.
La mise en scène new-yorkaise ajoute une dimension visuelle forte, avec ses rues sombres, ses clubs branchés et ses appartements où se cachent autant de secrets que de drames. Chaque décor devient un personnage à part entière, renforçant la tension dramatique et l’impression que le danger peut surgir à tout instant.
Black Rabbit, un pari réussi pour Netflix
Avec Black Rabbit, Netflix confirme sa volonté de proposer des mini-séries à la fois ambitieuses et centrées sur des personnages forts. En confiant à deux acteurs de cette envergure les rôles principaux, la plateforme s’assure un succès critique et populaire. Les fans de thrillers psychologiques comme de drames familiaux y trouveront leur compte, tant l’écriture croise habilement les registres. Tout au long des huit épisodes, Jude Law et Jason Bateman offrent un jeu subtil, entre affrontement fraternel et solidarité désespérée. Une alchimie rare qui donne à la série une intensité dramatique presque théâtrale.
En bref
Black Rabbit n’est pas qu’une série policière de plus sur Netflix. C’est une plongée viscérale dans les dilemmes familiaux, les ravages de la dette et les pièges de la criminalité. À la fois sombre, brutale et émouvante, cette mini-série s’impose déjà comme l’une des grandes nouveautés de la rentrée. Pour les spectateurs, le choix est simple : appuyer sur “lecture” et se laisser emporter par le destin des frères Friedkin. Mais attention, une fois lancée, Black Rabbit ne se regarde pas à moitié : elle se dévore d’un seul souffle.
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