Flavie Flament a une nouvelle fois prouvé qu’elle n’avait pas sa langue dans sa poche. Très active sur les réseaux sociaux, l’animatrice a pris la parole mercredi 17 septembre sur Instagram pour pousser un coup de gueule après avoir vu l’une de ses publications supprimée par la plateforme.
Une situation qu’elle dénonce avec ironie mais aussi avec une profonde colère.
Une photo bodypositive supprimée sans explication claire
Tout a commencé lorsqu’elle a partagé une publication dans laquelle elle dévoilait son corps avec naturel, dans un élan de bodypositivisme assumé. À 50 ans passés, la présentatrice voulait délivrer un message fort sur l’acceptation de soi, la beauté des corps cinquantenaires et la réalité des kilos en plus. Pourtant, cette démarche inspirante a été stoppée net par la censure d’Instagram, qui a estimé son contenu “inapproprié”. Un message de l’application lui a alors été envoyé : « Nous avons supprimé votre photo ». Flavie Flament a réagi aussitôt, non sans ironie : « Popotin en sursis & ironie du sort ». Mais derrière l’humour se cachait une réelle indignation.
Des justifications qui choquent encore plus
Le lendemain, la situation a pris une tournure encore plus intolérable aux yeux de la mère de famille. En story, elle a révélé la raison avancée par la plateforme pour justifier cette suppression : « exploitation sexuelle d’enfant ». Une mention à la fois incompréhensible et insupportable pour l’animatrice, elle qui a révélé avoir été victime d’un viol à l’âge de 13 ans.
Face à ce motif qu’elle a qualifié d’« aberration », Flavie Flament a exprimé sa colère et son écœurement. Sa démarche, qui se voulait un hymne à la liberté et à l’acceptation de soi, s’est ainsi transformée en une expérience amère face à la rigidité des règles de censure des réseaux sociaux.
Un combat pour la liberté d’expression
Cette censure n’est pas un cas isolé et pose une question centrale : où placer la limite entre modération et atteinte à la liberté d’expression ? Flavie Flament, comme beaucoup d’autres personnalités, se retrouve confrontée à un paradoxe. Alors que les réseaux sociaux sont censés offrir un espace d’expression, ils deviennent parfois un lieu de contrôle excessif et d’injustices ressenties.
Pour la présentatrice, le combat ne s’arrête pas là. Par ses publications et ses prises de parole, elle souhaite alerter sur l’importance de laisser la place à des messages positifs sur l’image du corps, surtout à une époque où les diktats de beauté pèsent lourdement sur toutes les générations.
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Flavie Flament, une voix engagée au-delà des écrans
Loin de sa carrière télévisée sur France 2, Flavie Flament s’épanouit désormais à la radio, où elle anime l’émission Ça va beaucoup mieux sur RTL aux côtés de Jimmy Mohamed. Mais au-delà du micro, elle continue d’utiliser Instagram comme un espace personnel pour partager ses réflexions, ses coups de gueule et ses combats.
Cette affaire de censure souligne encore une fois son rôle d’animatrice engagée, qui n’hésite pas à mettre en lumière des sujets sensibles. Car derrière cette photo supprimée se joue un débat plus large : celui de la place du bodypositivisme et de la tolérance sur les plateformes numériques.
Madonna, autre victime de la censure d’instagram
Flavie Flament n’est pas la première célébrité à s’agacer des pratiques d’Instagram. Déjà en mai 2022, Madonna avait elle aussi dénoncé la censure du réseau social. La chanteuse avait été empêchée de lancer un live sans aucune explication claire. « Qu’est-ce que c’est que ça ? On est bloqués et privés de live, qu’est-ce qui se passe ? » s’était-elle exclamée, choquée de cette coupure. Dans un ton mi-amusé mi-contrarié, elle avait ensuite ajouté : « Je n’ai jamais porté autant de vêtements de ma vie, je suis sans voix ». Ces exemples montrent que, même pour les célébrités les plus influentes, Instagram reste imprévisible et peut parfois sanctionner de manière disproportionnée.
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En bref
Avec cette nouvelle polémique, Flavie Flament remet en question la logique de modération d’Instagram, jugée opaque et incohérente. Ce qu’elle dénonce, c’est moins la suppression d’une photo que l’accusation grave qui l’accompagne, une véritable blessure pour celle qui a déjà vécu un traumatisme profond dans son enfance. En exposant publiquement cette affaire, l’animatrice ne cherche pas seulement à défendre son droit d’expression, mais aussi à lancer un appel à plus de discernement et de cohérence dans la modération des réseaux sociaux.
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