La saison 4 de Les Cinquante cartonne actuellement sur W9, mais un visage culte de la télé-réalité française manquera à l’appel. Vincent McDoom, connu pour son franc-parler et son extravagance, a révélé avoir été approché par la production.
Pourtant, il a préféré décliner l’invitation. En cause ? Le cachet journalier de 400 euros, jugé bien trop faible pour un programme qui exige de longues heures de tournage.
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Un refus sans détour
Invité dans The Aaron Show, l’ex-participant de La Ferme Célébrités n’a pas mâché ses mots. « On m’a proposé de le faire, mais j’ai refusé », explique-t-il, avant de préciser : « 400 euros par jour, quand tu commences à filmer à 8h du matin et que tu termines parfois à 22h, ce n’est pas assez. » Toujours direct, Vincent McDoom a insisté sur le fait que la télé-réalité n’était pas une simple distraction mais un travail à part entière, demandant une grande disponibilité et une forte exposition médiatique. Pour lui, cette somme ne correspond pas à ses attentes, ni à son image.
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Un train de vie assumé
Face à un intervieweur surpris, Vincent McDoom a poursuivi avec son sens habituel de la formule : « Peut-être que pour toi, 400 euros c’est énorme. Mais moi, j’ai un train de vie. J’ai essayé de négocier. Oui, j’aurais pu le faire, pourquoi pas. Mais à ce tarif, c’est non. » Et comme toujours, l’ex-mannequin a ponctué sa déclaration d’une touche ironique qui a fait mouche sur les réseaux sociaux : « Même une femme de ménage ne gagne pas ça. Arrêtez ! »
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50 000 euros ou rien
Fidèle à son humour piquant, Vincent McDoom a même détourné le titre de l’émission pour renforcer son propos : « Ça s’appelle Les Cinquante. Donc dans ma tête, quand on dit Les Cinquante, on me paye 50 000 euros. » Une punchline immédiatement reprise en ligne, où de nombreux internautes ont salué son culot, même si d’autres ont jugé ses exigences disproportionnées.
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Le débat sur les cachets relancé
Les propos de Vincent McDoom relancent une question récurrente dans l’univers de la télé-réalité : combien vaut réellement la participation à ce type de programme ? Alors que certains candidats acceptent des rémunérations modestes pour profiter d’une visibilité accrue et relancer leur carrière, d’autres, comme McDoom, estiment que leur notoriété passée mérite un salaire plus conséquent. En coulisses, il se murmure que les cachets peuvent fortement varier d’un candidat à l’autre, allant de quelques centaines à plusieurs milliers d’euros par jour selon la popularité et la négociation.
Une saison nostalgique sans McDoom
Pour séduire son public, W9 a misé cette année sur un casting qui fleure bon la nostalgie : John-David (Secret Story 2), Carine (Star Academy 1) ou encore Benjamin Bove, ex-expert de Queer. Mais malgré cette ambiance revival, un nom manquera au générique : celui de Vincent McDoom. Un choix qu’il assume totalement, préférant rester fidèle à ses standards plutôt que d’accepter ce qu’il considère comme un tarif au rabais. Et même loin des caméras, l’icône excentrique du petit écran prouve une fois de plus qu’il n’a rien perdu de sa verve… ni de son art de faire parler de lui.
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