À 63 ans, Marc Lavoine vit une histoire d’amour passionnée avec Adriana Karembeu, qu’il n’hésite pas à afficher publiquement. Pourtant, derrière l’image du romantique assumé, l’artiste garde en lui des souvenirs douloureux liés à son enfance.
Le chanteur, qui a souvent mis sa vie personnelle au cœur de ses chansons et de ses livres, a récemment replongé dans un épisode marquant : sa découverte des infidélités de son père, et la complicité forcée dans laquelle il s’est retrouvé.
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Une enfance marquée par un secret lourd à porter
En 2015, Marc Lavoine publiait son ouvrage L’Homme qui ment, dans lequel il racontait le parcours de son père Lucien Lavoine, décédé en 2006. Déjà, il y évoquait les nombreuses aventures extraconjugales de celui qui aurait dû incarner pour lui un modèle. Mais c’est en avril dernier, dans l’émission Un dimanche à la campagne, que le chanteur est allé encore plus loin dans la confidence. Il y a partagé un souvenir précis, remontant à ses 12 ans. Alors qu’il s’ennuyait lors de l’enterrement de son grand-père, il est descendu chercher un ballon pour jouer au foot. En ouvrant la porte d’un débarras, il est tombé nez à nez avec une scène qui allait bouleverser son adolescence.
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La découverte brutale des infidélités de son père
"Je vois les pieds d’une femme sur la pointe des pieds, devant moi… Et je lève les yeux, et je vois mon père en train de faire l’amour à une fille", a-t-il raconté. Cette femme n’était autre qu’une militante du parti communiste, mariée à un homme qui, au même moment, discutait à l’étage avec sa mère. Pris de court, le jeune Marc a ramassé son ballon et croisé le regard de son père. La réaction de ce dernier l’a encore plus désarçonné : "Oh ! Marco ! Je suis malheureux", lui a lancé son père avant de refermer la porte. Un souvenir à la fois choquant et absurde, qui a provoqué un fou rire sur le plateau de l’émission, mais qui, à l’époque, a laissé le futur chanteur dans un état de grande confusion.
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Un dilemme impossible pour un enfant de 12 ans
Face à cette scène, Marc Lavoine s’est retrouvé pris au piège. "Mon père est en bas, je ne dois pas le dire à ma mère", se répétait-il alors. Un véritable dilemme pour un enfant, partagé entre loyauté et culpabilité. "Bref, un immeuble qui me tombe sur la tête", a-t-il ajouté avec émotion. Ce n’était d’ailleurs pas un cas isolé. L’artiste s’est souvenu ensuite des multiples maîtresses de son père, dont il a même énuméré les prénoms : Jeanine, Hélène, Catherine… "Tout ce qui portait une jupe, à part un Écossais, il y a été", a-t-il résumé avec une pointe d’ironie.
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De la douleur à la reconstruction
Si ce souvenir douloureux l’a marqué, Marc Lavoine a réussi à le transformer en matière artistique, en s’en inspirant pour ses écrits et ses chansons. Cette transmission involontaire de la trahison a aussi façonné son regard sur les relations amoureuses et la fidélité. Aujourd’hui, loin de ce passé tumultueux, il semble avoir trouvé un équilibre auprès d’Adriana Karembeu, avec qui il vit une idylle inattendue mais heureuse. En assumant publiquement ce pan sombre de son histoire familiale, le chanteur montre une nouvelle fois qu’il n’a jamais eu peur de se livrer. Son témoignage met en lumière les blessures intimes qui traversent parfois les artistes et les poussent à raconter leur vérité, aussi crue soit-elle.
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Un Marc Lavoine toujours franc et entier
En officialisant sa relation avec Adriana Karembeu par un baiser enflammé sur tapis rouge, Marc Lavoine prouve qu’il n’a rien perdu de sa passion amoureuse. Mais derrière l’homme épris, il reste aussi celui qui a grandi trop tôt, confronté à la fragilité des adultes et à leurs contradictions. À travers ses confidences, il rappelle que les blessures d’enfance laissent toujours des traces, mais qu’elles n’empêchent pas d’aimer et de se reconstruire. Chez lui, les mots et la musique servent de catharsis, offrant à son public des fragments de vérité qui résonnent bien au-delà de sa propre histoire.
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