Marlène Schiappa, ancienne secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, a surpris en annonçant qu’elle avait décidé de repousser son congé maternité de trois semaines. Alors que la date de son arrêt officiel était initialement fixée plus tôt, elle a choisi de poursuivre ses activités professionnelles avant de lever le pied.
Un geste qu’elle justifie par des raisons personnelles et professionnelles, mais dont elle précise qu’il ne s’agit pas d’un modèle à suivre.
Un congé décalé, mais encadré par la loi
En France, la législation offre une certaine souplesse concernant le début du congé maternité, et Marlène Schiappa a choisi de s’appuyer sur cette possibilité. Elle explique vouloir continuer à assurer ses engagements pendant encore quelques semaines : ses chroniques télévisées, ses interventions médiatiques, ainsi que son rôle dans son agence. Un rythme intense qu’elle entend maintenir un peu plus longtemps, avant de consacrer tout son temps à sa grossesse et à l’arrivée de son bébé.
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Une grossesse sous surveillance et un environnement professionnel compréhensif
Dans ses déclarations, l’ancienne ministre évoque une grossesse qu’elle décrit comme « précieuse » et « très surveillée », rappelant qu’elle a dû composer avec des débuts compliqués. Dès le lendemain de son test de grossesse, ses employeurs et partenaires avaient été prévenus afin d’adapter son emploi du temps. Rendez-vous médicaux, visios privilégiées plutôt que déplacements, délais repoussés, prise en compte de la fatigue : son entourage professionnel a accepté de jouer le jeu.
Elle souligne d’ailleurs la compréhension et le soutien dont elle bénéficie de la part de ses collègues et collaborateurs. Un cadre qui lui permet de jongler encore quelques semaines entre vie professionnelle et suivi médical strict, tout en affirmant que sa priorité reste la santé de son enfant à naître.
« Ce n’est pas un exemple » : la mise en garde de Marlène Schiappa
Si Marlène Schiappa a tenu à expliquer sa décision, elle insiste pour que son choix ne soit pas interprété comme une injonction ou un modèle. « Ce n’est pas un exemple que je donne », précise-t-elle, consciente que toutes les femmes ne disposent pas des mêmes conditions ni de la même marge de manœuvre. Ce rappel est important : certaines futures mères subissent des pressions professionnelles qui les incitent à travailler jusqu’au bout de leur grossesse, parfois au détriment de leur santé. En expliquant sa démarche, l’ancienne secrétaire d’État souligne qu’il s’agit d’une décision strictement personnelle, et non d’une norme à appliquer à toutes.
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Un débat qui dépasse le cas personnel
Au-delà de la trajectoire de Marlène Schiappa, ce choix relance les discussions autour des droits liés au congé maternité en France. La question de l’égalité professionnelle se trouve une nouvelle fois mise en lumière : certaines femmes, selon leur secteur d’activité ou leur niveau de responsabilités, n’ont pas la possibilité de repousser ou d’adapter leur congé. De plus, le geste de l’ancienne ministre rappelle que la conciliation entre vie professionnelle et maternité reste un défi quotidien. Entre le respect de la loi, les impératifs personnels et la pression sociale, chaque femme vit une réalité différente.
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En bref
En décidant de repousser son congé maternité de trois semaines, Marlène Schiappa affirme sa volonté de continuer à travailler encore un temps, tout en rappelant qu’il s’agit d’un choix strictement personnel. Protégée par la loi, soutenue par son entourage professionnel et attentive à sa santé, elle a pris cette décision en accord avec sa situation. Mais son témoignage ouvre aussi la porte à un débat plus large sur les conditions de travail des futures mères, l’égalité professionnelle et la liberté réelle de faire un choix en toute sérénité.
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