Culture

My Oxford Year : Netflix dévoile sa nouvelle pépite romantique avec Sofia Carson

03 août 2025 - 09 : 14
par Mylène Netflix dévoile My Oxford Year, une romance entre Sofia Carson et Corey Mylchreest dans l’univers envoûtant d’Oxford. Ambiance dark academia, passion et dilemme au rendez-vous.

Cet été, Netflix mise une fois de plus sur l’amour avec une nouvelle comédie romantique qui a tout pour captiver les cœurs. Disponible depuis le 1er août 2025, My Oxford Year réunit Sofia Carson et Corey Mylchreest dans un décor aussi élégant qu’envoûtant : celui de la prestigieuse université d’Oxford. Le résultat ? Une romance interdite et bouleversante, servie par une atmosphère dark academia aussi stylisée que mélancolique.

My Oxford Year sur Netflix : Sofia Carson et Corey Mylchreest brillent dans une romance qui va vous faire fondre

Lire aussi : Jenna Ortega totalement transformée pour la saison 2 de Mercredi : son apparition fait sensation

Une rencontre inoubliable dans les allées feutrées d’Oxford

Inspiré du roman de Julia Whelan publié en 2018, My Oxford Year nous plonge dans l’histoire d’Anna, une étudiante américaine ambitieuse, venue passer une année à Oxford avant de s’envoler vers une brillante carrière politique. Mais ses plans basculent lorsqu’elle rencontre Jamie, un jeune professeur de littérature charismatique au charme discret… et à la vie bien plus complexe qu’il n’y paraît.

Leur connexion est instantanée. Ils s’attirent, se cherchent, s’évitent… puis se laissent emporter dans une histoire d’amour aussi belle qu’éphémère, rythmée par les débats en amphithéâtre, les promenades brumeuses au bord de la Tamise, et les longues heures passées à déchiffrer des vers de poésie anglaise.

Sofia Carson et Corey Mylchreest : alchimie parfaite à l’écran

Pour incarner ce couple aussi fragile que magnétique, Netflix a misé sur deux de ses talents maison. Sofia Carson, révélée dans Nos Cœurs meurtris, confirme une fois de plus son statut d’icône romantique, capable de faire passer mille émotions d’un simple regard. Face à elle, Corey Mylchreest, que les fans de La Reine Charlotte n’ont pas oublié, campe un Jamie aussi intense que secret, tiraillé entre ses obligations, ses secrets… et son amour naissant.

Leur complicité est palpable à l’écran. Chaque échange, chaque silence, chaque frôlement de main semble chargé d’une tension délicate, presque douloureuse. Une alchimie qui fonctionne d’autant mieux qu’elle est mise en valeur par la réalisation poétique et sobre d’Iain Morris, connu jusqu’ici pour des comédies plus légères, mais qui signe ici une œuvre sensible et nuancée.

Lire aussi : Pourquoi on aime autant regarder des séries et comment éviter de tomber dans l'addiction au binge watching

Une ambiance dark academia qui sublime la romance

Si My Oxford Year séduit autant, c’est aussi grâce à son esthétique minutieusement travaillée. L’univers visuel du film s’inscrit dans la tendance très prisée du dark academia : bibliothèques anciennes baignées de lumière tamisée, escaliers de pierre, robes noires et citations latines, le tout enveloppé dans une bande-son feutrée et élégante.

Cette ambiance unique confère à la romance une profondeur émotionnelle supplémentaire, presque nostalgique. On sent d’emblée que cette histoire est condamnée à être brève, que les saisons vont passer trop vite, que le départ approche… et pourtant, on y croit. Jusqu’au dernier plan.

Lire aussi : Pourquoi d'après cette étude regarder des films d'horreur fait maigrir et empêche de tomber malade

Une histoire d’amour pleine d’émotions et de dilemmes

Derrière ses apparences de romance classique, My Oxford Year aborde des thèmes plus profonds : le poids des responsabilités, le dilemme entre ambition et amour, la fugacité des rencontres qui changent une vie. Anna doit-elle sacrifier ses rêves pour une histoire incertaine ? Jamie peut-il tout abandonner pour un amour qui ne lui promet rien de durable ?

À travers ces questionnements, le film dresse le portrait de deux êtres prisonniers de leurs propres choix, qui s’aiment intensément, mais savent au fond d’eux que leur histoire a une date de fin. Une tension dramatique subtile, portée par une écriture fine et sensible.

Lire aussi : Vous ne vous en doutez pas, mais regarder des séries ensemble peut beaucoup nuire à votre couple

Un film qui fait rire, pleurer… et rêver

Comme l’explique Sofia Carson elle-même dans une interview pour Tudum, My Oxford Year est une “romance intemporelle, déchirante et profonde, ancrée dans le rire. Au cours d'une scène, vous pouvez tomber follement amoureux, vous pouvez pleurer, mais il veillera toujours à ce que la joie soit présente”.

Et c’est précisément ce que le film réussit à capturer. À travers des scènes tour à tour drôles, tendres, poignantes, My Oxford Year nous rappelle que l’amour, même bref, peut tout bouleverser, et laisser une trace indélébile dans une vie.

Lire aussi : Nos Coeurs Meurtris avec Sofia Carson : le roman est enfin disponible en France !

En résumé

My Oxford Year est bien plus qu’une simple comédie romantique. C’est une déclaration d’amour à la littérature, à l’Angleterre, aux rencontres imprévues, à ces histoires d’une vie qui commencent par hasard, dans une bibliothèque ou sur un banc d’université. C’est aussi une œuvre portée par deux comédiens au sommet de leur art, capables de nous faire croire, le temps d’un film, que l’amour peut tout changer… même si ce n’est que pour une année.

À voir d’urgence, seul avec une tasse de thé noir ou accompagné pour un moment de tendresse partagé. Une chose est sûre : cette romance signée Netflix risque bien de hanter vos pensées plus longtemps que prévu.

Découvrez maintenant ce qu'on sait déjà sur la suite de Nos Coeurs Meurtris et pourquoi Nos Coeurs Meurtris, qui cartonne sur Netflix depuis sa sortie, fait autant polémique.

Lire aussi : Jenna Ortega totalement transformée pour la saison 2 de Mercredi : son apparition fait sensation

Ajouter les points
0
Points
Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!