À quelques jours des obsèques de Brigitte Bardot, un détail organisationnel attire l’attention et suscite de nombreuses réactions. Contrairement à ce que l’on observe pour la plupart des grandes figures françaises, la cérémonie ne sera pas ouverte aux représentants de l’État.

Ce choix n’est pas le fruit d’une décision de dernière minute. Il aurait été anticipé de longue date, conformément aux souhaits exprimés par l’actrice. À Saint-Tropez, les proches de BB ont tenu à préserver un cadre intime, loin de toute récupération.
Résultat : Emmanuel Macron et Brigitte Macron ne figureraient pas sur la liste des invités. Une exclusion qui peut surprendre, mais qui reflète parfaitement le rapport complexe que Brigitte Bardot entretenait avec la sphère politique.
L’actrice n’a jamais cherché la reconnaissance institutionnelle. Son combat, elle l’a mené seule, souvent contre les gouvernements, notamment pour la défense animale. Pour elle, l’hommage devait rester fidèle à cette indépendance.
La cérémonie sera donc sobre, contenue, presque secrète. Les proches souhaitent éviter l’afflux de caméras, les discours formatés et les symboles républicains. Une volonté forte, respectée à la lettre.
Ce détail inattendu révèle une vérité essentielle : même après sa disparition, Brigitte Bardot continue d’imposer ses choix, et de rappeler que la liberté fut toujours sa plus grande signature.
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