Parfois, une simple phrase suffit à révéler une vérité profonde. Lorsque Raphaël Glucksmann déclare “Si je ne les vois pas, je suffoque”, il résume en quelques mots l’importance capitale que ses enfants occupent dans sa vie.
Dans une interview accordée à Ouest-France, l’élu européen s’éloigne des débats politiques pour évoquer son quotidien de père. Malgré un agenda extrêmement chargé, il insiste sur la nécessité de préserver un lien fort avec ses fils.
Le dimanche est devenu un repère incontournable. Ce jour-là, les contraintes professionnelles passent au second plan. Jeux, repas partagés et moments de complicité prennent le relais, parfois au prix d’un certain désordre domestique.
Le football, pratiqué même à l’intérieur lorsque le temps l’impose, est l’un des symboles de cette parentalité active et joyeuse. Quelques objets ont déjà été endommagés, mais ces incidents sont presque anecdotiques face à la richesse des souvenirs créés.
À travers ces confidences, Raphaël Glucksmann offre une image plus vulnérable et accessible, rappelant que derrière l’homme politique se cache avant tout un père profondément attaché à ses enfants.
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