Culture

« On me jetait des canettes au visage, on me traitait d’idiote » : Victoria Beckham confie avoir été harcelée à cause de sa dyslexie et de son apparence

23 octobre 2025 - 12 : 49
par Mylène Dans un témoignage poignant, Victoria Beckham révèle avoir été harcelée à l’école à cause de sa dyslexie et de son apparence, évoquant une enfance marquée par la solitude et la honte.

Une confession intime sur son enfance brisée

À 51 ans, Victoria Beckham semble avoir tout pour elle : la réussite, la famille, une carrière brillante dans la mode et une place iconique dans la culture pop. Pourtant, derrière cette image de perfection et de maîtrise, se cache une enfance douloureuse marquée par le harcèlement scolaire et le sentiment d’exclusion.

On me traitait d’idiote, on me jetait des canettes au visage : Victoria Beckham confie avoir été harcelée à cause de sa dyslexie et de son apparence

Lire aussi : Victoria Beckham dévoile ce qu’elle et David font vraiment au lit (et c’est inattendu)

Invitée du podcast Call Her Daddy ce mercredi 22 octobre, l’ancienne Spice Girl a livré un témoignage rare et bouleversant. Elle y évoque son passé d’enfant harcelée, les moqueries, la solitude, et surtout les difficultés d’apprentissage qui ont fait d’elle une cible facile.

« J’étais assez timide. J’étais une enfant maladroite », confie-t-elle. « J’avais énormément de difficultés scolaires. Je me suis moi-même diagnostiquée dyslexique. Je souffrais aussi de dyscalculie. À l’époque, ces choses n’étaient pas reconnues. On me traitait simplement d’“idiote”. »

Lire aussi : Victoria Beckham révèle enfin pourquoi elle semble toujours faire la tête sur les photos

Dyslexie, dyscalculie : des troubles méconnus dans les années 1980

Dans les années 1980, les troubles de l’apprentissage comme la dyslexie ou la dyscalculie étaient encore largement ignorés, surtout dans les écoles britanniques. Pour Victoria Beckham, cela signifiait vivre dans une incompréhension totale.

« J’avais l’impression d’être stupide », admet-elle. « Les professeurs n’avaient pas les outils pour comprendre, et mes camarades me prenaient pour une idiote. Je ne pouvais pas suivre comme les autres, et je le voyais bien. »

Ces difficultés scolaires ont laissé une trace profonde. L’enfant qu’elle était cherchait sans cesse à compenser, à faire ses preuves autrement, notamment à travers la danse et le théâtre — deux disciplines dans lesquelles elle excellait et qui deviendront son échappatoire.

Lire aussi : Comment le couple Beckham prépare sa vengeance contre Harry et Meghan et s’attaque au business de Meghan

Le cauchemar du harcèlement scolaire

Mais au-delà des moqueries verbales, Victoria Beckham raconte avoir subi un harcèlement physique particulièrement humiliant. « Je me souviens être restée seule dans la cour de récréation », se remémore-t-elle avec émotion. « Les enfants ramassaient des canettes de Coca dans les flaques d’eau et me les jetaient au visage. »

À cet âge, elle se sentait rejetée pour tout ce qu’elle était : sa différence, son apparence, sa timidité. « J’avais une peau horrible, une acné terrible. Mes cheveux étaient fins et cassants. Et comme je ne fumais pas et que je ne traînais pas avec les autres après l’école, j’étais à part. »

Ces souvenirs, aussi précis que cruels, révèlent combien la future pop star a souffert avant de devenir celle que le monde admirera sous le nom de Posh Spice.

Lire aussi : “C’est affreux” : David Beckham s'est raté à la tondeuse, Victoria l'affiche sur Instagram et la vidéo fait le buzz

Une solitude silencieuse

Si elle a tant gardé pour elle cette douleur, c’est parce qu’à l’époque, on ne parlait pas encore de santé mentale. « Je n’en ai jamais parlé à personne », explique-t-elle. « J’avais honte. J’étais gênée. Mes parents étaient très compréhensifs, mais je ne voulais pas les inquiéter. Alors j’ai tout intériorisé. »

Ce silence, elle le décrit comme une carapace. Une manière de tenir, de se protéger. « Toute ma vie scolaire a été misérable », confie-t-elle simplement. Mais cette misère, paradoxalement, a forgé sa personnalité. « Cela m’a endurcie. Cela m’a préparée à ce qui m’attendait ensuite : une véritable intimidation publique de la part des médias. »

Lire aussi : David Beckham révèle l'immense secret du Beckingham Palace, sa première demeure de luxe avec Victoria

De l’enfant moquée à l’icône planétaire

Lorsque Victoria Beckham rejoint les Spice Girls dans les années 1990, le contraste est saisissant. La jeune fille qui se tenait à l’écart devient du jour au lendemain une idole mondiale. Avec son regard affirmé, son allure chic et son surnom de Posh Spice, elle incarne la confiance et le style.

Mais derrière cette façade, la chanteuse garde le souvenir d’une enfant blessée, déterminée à prouver sa valeur. « Tout ce que j’ai vécu m’a appris à ne pas dépendre du regard des autres », explique-t-elle. « Quand vous avez été humiliée, insultée, ignorée, vous développez une force incroyable. »

Ce besoin de revanche, elle l’a transformé en moteur de réussite. De la scène pop à la haute couture, Victoria Beckham a bâti un empire, tout en s’imposant comme une figure de résilience féminine.

Lire aussi : Victoria Beckham : tout ce que l’on sait sur son documentaire Netflix très attendu

« Cela m’a préparée aux critiques publiques »

Le passage à la célébrité n’a pas effacé les blessures de l’enfance, mais Victoria Beckham estime aujourd’hui que ces expériences ont été formatrices.

« Je pense que cela m’a préparée à ce qui allait suivre », explique-t-elle. « Quand vous êtes dans un girls band mondialement connu, vous êtes la cible de moqueries constantes. Les médias se moquaient de mon apparence, de ma façon de sourire, de ma voix. Mais j’étais prête. »

L’épouse de David Beckham a traversé les critiques avec une élégance et une distance qui sont devenues sa signature. Sa timidité d’autrefois s’est muée en assurance maîtrisée. « J’ai appris à encaisser sans réagir, à transformer la douleur en détermination. »

Lire aussi : Le coup bas de Meghan Markle et Harry contre David Beckham qui fait scandale

Une relation apaisée avec son passé

Si elle se confie aujourd’hui, c’est aussi parce que Victoria Beckham veut briser le silence autour du harcèlement scolaire et de la dyslexie, encore trop souvent minimisés.
« Ce n’est pas une faiblesse », affirme-t-elle. « Ces différences peuvent devenir des forces. Elles m’ont obligée à penser autrement, à travailler différemment, à être plus créative. »

L’ancienne pop star se montre particulièrement attentive à ces sujets dans l’éducation de ses quatre enfants. Elle a d’ailleurs évoqué ses troubles d’apprentissage avec sa fille Harper, âgée de 14 ans.

« J’en ai parlé avec elle, parce qu’elle a vu le documentaire. Les petites filles sont obsédées par la nourriture, par leur apparence. C’est toujours une grande conversation à l’école », raconte Victoria.

Lire aussi : Comment le couple Beckham prépare sa vengeance contre Harry et Meghan et s’attaque au business de Meghan

Une discussion mère-fille essentielle

Ce dialogue avec sa fille fait écho à un autre combat que Victoria Beckham a mené : celui contre les troubles de l’alimentation. Dans le documentaire Netflix qui lui est consacré, elle avait révélé en avoir souffert dans sa jeunesse.

En abordant ces sujets avec Harper, elle souhaite rompre les tabous et encourager la liberté de parole. « Je veux qu’elle sache qu’il n’y a rien de honteux à parler de ses insécurités, de son corps, ou de ses émotions », confie-t-elle. « Quand j’avais son âge, on ne parlait pas de tout ça. On gardait tout pour soi. »

Pour Victoria Beckham, cette transparence est une manière de transmettre ce qu’elle aurait aimé recevoir : de l’écoute, du soutien, et surtout, le droit d’être différente.

Lire aussi : Victoria Beckham révèle enfin pourquoi elle semble toujours faire la tête sur les photos

Un message universel

En partageant son histoire, Victoria Beckham rejoint les nombreuses personnalités qui osent parler de leurs blessures pour inspirer et libérer la parole. Son témoignage touche parce qu’il dévoile une vulnérabilité sincère, bien loin du glamour qui l’entoure depuis trois décennies.

« Si mon histoire peut aider ne serait-ce qu’une personne à se sentir moins seule, alors cela vaut la peine », dit-elle souvent.

Aujourd’hui, la créatrice de mode n’est plus cette enfant isolée au fond de la cour. Elle est une femme accomplie, aimée, et respectée pour son courage tranquille.

Lire aussi : Victoria Beckham dévoile ce qu’elle et David font vraiment au lit (et c’est inattendu)

En résumé

En se livrant sur son harcèlement scolaire et sa dyslexie, Victoria Beckham rappelle que même les parcours les plus brillants peuvent naître dans la douleur. Rejetée pour ses différences, moquée pour son apparence et incomprise par ses professeurs, elle a transformé ses blessures en force intérieure.

Ce qu’elle décrit comme une enfance « misérable » a façonné la femme déterminée, élégante et influente qu’elle est devenue. Et si la petite fille timide qu’elle était pouvait voir la femme qu’elle est aujourd’hui, elle saurait que rien n’était vain — que chaque humiliation était en réalité le prélude à une revanche éclatante.

Victoria Beckham n’est plus cette élève isolée qu’on traitait d’idiote : elle est une icône mondiale, une mère bienveillante, et une voix forte pour toutes celles et ceux qui se battent contre les préjugés.

Découvrez maintenant Le coup bas de Meghan Markle et Harry contre David Beckham qui fait scandale et Comment le couple Beckham prépare sa vengeance contre Harry et Meghan et s’attaque au business de Meghan.

Lire aussi : Victoria Beckham : tout ce que l’on sait sur son documentaire Netflix très attendu

Ajouter les points
0
Points
Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!