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Perte des titres du prince Andrew : ce que cela change pour son ex-épouse Sarah Ferguson et leurs filles Béatrice et Eugénie ?

19 octobre 2025 - 16 : 52
par Mylène Après avoir renoncé à ses titres royaux sous la pression du roi Charles III, le prince Andrew plonge un peu plus dans le scandale. Son ex-femme Sarah Ferguson perd son titre de duchesse, tandis que leurs filles Béatrice et Eugénie conservent celui de princesses.

C’est un séisme au sein de la famille royale britannique. Le prince Andrew, frère cadet du roi Charles III, a officiellement renoncé à ses titres royaux cette semaine.

Perte des titres du prince Andrew : ce que cela change pour son ex-épouse Sarah Ferguson et leurs filles Béatrice et Eugénie ?

Une décision qui intervient alors que les scandales entourant ses liens avec le financier délinquant sexuel Jeffrey Epstein continuent d’éclabousser la monarchie. Sous pression de Buckingham, l’ancien duc d’York voit son statut bouleversé, tout comme celui de son ex-femme et de leurs filles.

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Sarah Ferguson perd son titre de duchesse

Selon la BBC, la conséquence immédiate de cette décision concerne Sarah Ferguson, l’ex-épouse du prince Andrew. Connue jusqu’à présent sous le titre de duchesse d’York, elle devra désormais être simplement appelée Sarah Ferguson.

Une perte symbolique mais lourde de sens, qui marque la fin d’une ère et d’une identité royale qu’elle avait pourtant conservée depuis son divorce en 1996.

Si Sarah Ferguson ne faisait plus partie officiellement de la famille royale depuis plusieurs années, elle restait associée au duché d’York à travers son ex-mari.

En perdant ce titre, elle devient une figure encore plus indépendante de l’institution, bien qu’elle continue de vivre au Royal Lodge de Windsor avec le prince Andrew, une cohabitation singulière qui dure depuis plusieurs années.

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Les princesses Béatrice et Eugénie conservent leurs titres

Pour leurs filles, la situation est différente. Les princesses Béatrice, 37 ans, et Eugénie, 35 ans, conservent leurs titres de princesses qu’elles détiennent depuis leur naissance. Il n’est donc pas question de leur retirer leurs prérogatives ni leur place dans la ligne de succession au trône.

Le prince Andrew reste pour l’instant huitième dans l’ordre de succession, suivi de ses filles : Béatrice en neuvième position et Eugénie en douzième.

Le roi Charles III n’a pour le moment pas souhaité aller plus loin dans la sanction, probablement pour ne pas fragiliser davantage la cohésion familiale déjà mise à mal depuis les affaires du duc déchu et les tensions persistantes entre le palais et le prince Harry.

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Des scandales toujours plus accablants

Cette renonciation intervient après des mois d’une controverse persistante liée aux accusations d’agression sexuelle portées contre le prince Andrew par Virginia Giuffre, l’une des victimes du réseau de Jeffrey Epstein. Bien qu’il ait toujours nié les faits, la publication posthume des mémoires de Giuffre, intitulés Nobody’s Girl, relance la polémique.

Dans son livre, la jeune femme décédée en avril dernier écrit : « Il croyait qu’avoir des relations sexuelles avec moi était son droit de naissance ». Des mots durs, qui ravivent la colère du public et mettent une nouvelle fois la couronne britannique dans une position délicate.

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Des révélations compromettantes sur ses liens avec Epstein

Les révélations récentes publiées par plusieurs médias britanniques ont aggravé la situation du prince. Le Daily Mail affirme que l’ex-duc d’York aurait tenté de faire discréditer Virginia Giuffre en demandant à un officier de trouver des informations compromettantes sur elle.

De plus, de nouveaux documents américains ont révélé que le prince Andrew avait continué à correspondre avec Jeffrey Epstein, trois mois après avoir déclaré publiquement avoir coupé les ponts. Dans un e-mail désormais rendu public, il lui écrivait : « Nous sommes tous dans le même bateau ». Des propos qui mettent à mal la défense du prince et renforcent l’idée d’une proximité durable entre les deux hommes.

Selon des documents publiés par la commission de surveillance de la Chambre des représentants américaine, le nom du prince apparaît aussi sur la liste des passagers du jet privé d’Epstein en 2000 et en 2006, aux côtés de Ghislaine Maxwell, complice du financier. Ces voyages auraient eu lieu entre Luton et Édimbourg, puis vers West Palm Beach, en Floride.

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Une réaction contrastée de la famille Giuffre

Pour la famille de Virginia Giuffre, cette décision de retirer au prince Andrew ses titres royaux est perçue comme une forme de reconnaissance implicite.

Son frère, Sky Roberts, a déclaré à la BBC que « Virginia serait très fière » de voir que « le roi agit enfin ». Il appelle toutefois Charles III à aller plus loin : « Il faut lui retirer le titre de prince. »

Cette réaction reflète l’indignation persistante autour de l’affaire, notamment dans l’opinion publique britannique et américaine, où beaucoup jugent la sanction insuffisante.

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Un prince isolé, mais toujours protégé

Malgré la perte de ses titres, le prince Andrew reste prince du sang, statut qu’il conserve en tant que fils de la reine Elizabeth II. Il conserve également le duché d’York, titre héréditaire qui ne peut être supprimé que par une loi du Parlement, mais il n’aura plus le droit de l’utiliser. Il a aussi été déchu de ses distinctions honorifiques, dont le titre de chevalier grand-croix de l’Ordre royal de Victoria et celui de chevalier royal compagnon de l’Ordre de la Jarretière.

Le prince a justifié sa décision dans un communiqué : « Après discussion avec le Roi et ma famille, nous avons convenu que les accusations persistantes à mon encontre détournaient l’attention du travail de Sa Majesté et de la famille royale. » Il a précisé vouloir « protéger l’institution » tout en continuant à clamer son innocence.

Toujours installé au Royal Lodge, sur le domaine de Windsor, Andrew continue d’y vivre aux côtés de Sarah Ferguson, malgré leur divorce. Ce maintien dans les résidences royales, financées en partie par le patrimoine de la couronne, ne manquera pas d’alimenter de nouvelles critiques à l’égard de la monarchie britannique.

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En résumé

Déchu de ses titres royaux, le prince Andrew reste un membre controversé de la famille royale, symbolisant la face la plus embarrassante de la monarchie moderne. Son ex-femme Sarah Ferguson perd son titre de duchesse, tandis que Béatrice et Eugénie conservent leur statut de princesses.

Malgré cette sanction, Andrew conserve son duché et sa résidence, signe que le roi Charles III cherche à sanctionner sans totalement exclure son frère. Mais pour beaucoup, cette affaire marque un tournant irréversible dans l’image publique du prince et celle, déjà fragilisée, de la famille royale britannique.

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Mylène
Je suis Mylène, blogueuse, beauty addict, Rédactrice en Chef du webzine So Busy Girls et maman de 2 petits bouts. Et fana de chocolat. Et de bons polars. On avait dit "courte description" ?! Ah oui, j'ai oublié de dire que j'étais très (très très) bavarde...!