« Pardonnez-moi » : Léa Salamé, déstabilisée, provoque encore le malaise en plein direct

Le 25 septembre 2025 restera une date charnière dans l’histoire politique française. Ce jour-là, l’ancien président Nicolas Sarkozy a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à cinq ans de prison, dont un mandat de dépôt différé, dans l’affaire du financement libyen présumé de sa campagne présidentielle de 2007.

Un verdict inédit, qui a immédiatement dominé l’actualité et s’est invité dans toutes les rédactions. Le soir même, au JT de 20 heures de France 2, Léa Salamé consacrait une large partie de son édition à cette décision historique. Mais alors qu’elle recevait Henri Guaino, ancien conseiller spécial et plume de Nicolas Sarkozy, la journaliste a commis une confusion qui a semé un léger malaise en direct.

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Une condamnation historique de nicolas sarkozy

Depuis plus de dix ans, le dossier du financement libyen présumé empoisonne la vie politique française. L’ancien chef de l’État a toujours nié les faits et dénoncé un « acharnement judiciaire », mais la justice a tranché : cinq ans de prison ferme.

Cette condamnation, rarissime pour un ancien président, a immédiatement provoqué un séisme politique, suscitant indignation, soutien ou satisfaction selon les camps. C’est dans ce climat électrique que Léa Salamé a pris les commandes du 20 heures, face à des millions de téléspectateurs.

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Un lapsus en fin d’interview

Pour donner la parole aux proches de l’ancien président, la journaliste recevait Henri Guaino, l’un de ses conseillers les plus emblématiques à l’époque de l’Élysée. Mais au moment de conclure son entretien, Léa Salamé s’est emmêlée les pinceaux.

Au lieu de s’adresser à Henri Guaino, elle a lancé : « Claude Guéant, encore un mot ? » Lapsus ou confusion liée à la densité de l’actualité, l’erreur a surpris l’invité, qui a aussitôt corrigé, sourire aux lèvres : « Ce n’est pas moi. »

Réalisation immédiate de son erreur : Léa Salamé reprend, visiblement gênée : « Oh pardon ! Henri Guaino, pardonnez-moi. » Le moment dure à peine quelques secondes, mais il suffit à créer un flottement perceptible en plateau et devant les caméras.

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Un malaise relevé en direct

Ce lapsus n’aurait pu rester qu’un détail, mais dans un contexte aussi solennel, il prend une autre dimension. Le ton grave de l’édition, la tension autour de la condamnation et l’importance de l’invité ont accentué l’effet de ce petit raté. Le malaise s’est ressenti d’autant plus que la scène s’est déroulée en conclusion de l’interview, là où chaque mot est supposé pesé et réfléchi.

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Une confusion compréhensible mais remarquée

L’explication est simple : Henri Guaino et Claude Guéant sont deux noms indissociables de la présidence Sarkozy. Le premier, plume et conseiller spécial ; le second, secrétaire général de l’Élysée puis ministre de l’Intérieur, tous deux au cœur de nombreux épisodes politiques et judiciaires. Dans une soirée où les noms revenaient sans cesse dans les commentaires et les bandeaux, la confusion est compréhensible… mais elle n’en reste pas moins remarquée en direct.

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Les réactions des internautes sur les réseaux sociaux

Rapidement, la séquence a été découpée et relayée sur les réseaux sociaux. Beaucoup y ont vu une simple erreur humaine, d’autres ont ironisé sur la récurrence des « petits ratés » de Léa Salamé en direct. Les commentaires oscillent entre indulgence amusée et critiques plus sévères sur sa concentration. Une chose est sûre : l’extrait a tourné largement, preuve que le moindre incident en plateau peut devenir un sujet viral.

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Léa Salamé face aux aléas du direct

Journaliste aguerrie, Léa Salamé n’est pas la première à trébucher en direct et ne sera pas la dernière. Mais ce lapsus, survenu dans une soirée aussi lourde en symboles, illustre parfaitement la difficulté d’exercer sous pression, face à l’actualité brûlante et aux millions de téléspectateurs. En présentant immédiatement ses excuses, elle a choisi la transparence et a permis de clore l’échange sans envenimer le malaise.

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En résumé

Le 25 septembre 2025, le JT de France 2 a été marqué par deux événements : le verdict historique condamnant Nicolas Sarkozy et le lapsus de Léa Salamé, confondant Henri Guaino avec Claude Guéant. Une erreur vite corrigée, mais qui a suffi à créer un moment de gêne en direct et à alimenter les conversations en ligne. Un épisode mineur comparé au poids de l’actualité, mais qui rappelle que, même pour les journalistes les plus chevronnés, le direct reste un exercice impitoyable.

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