Élue Miss France 2026, Hinaupolo Devèze, Miss Tahiti, n’a pas seulement conquis le public par son aisance et son charisme.
À 23 ans, diplômée en psychologie, elle s’est imposée comme une figure à part dès ses premiers instants en tant que reine de beauté.
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Les premiers mots d’une Miss France qui marque déjà l’histoire
Sur la scène du Zénith d’Amiens, et encore davantage en conférence de presse, elle a prononcé une phrase qui a immédiatement fait réagir : « Je suis très honorée d'avoir été choisie… ». Un message simple en apparence, mais chargé d’une émotion si authentique que toute la soirée a pris une autre dimension.
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Alors que l’élection venait de s’achever après plus de trois heures d’un direct spectaculaire, sa sincérité a surpris par sa force, par sa vulnérabilité assumée, et par la façon dont elle a su captiver instantanément l’attention des Français.
Car derrière son discret « Je suis très… », qui laissait deviner son souffle coupé par l’émotion, s’est dessiné un portrait plus complexe : celui d’une jeune femme qui veut représenter les Français, certes, mais aussi leurs failles, leur humanité et leur quête de sens.
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Un sacre très attendu mais une déclaration qui déroute agréablement
Hinaupolo Devèze faisait partie des favorites. Sa prestance, son élégance et sa personnalité avaient séduit dès le début du concours. Mais personne ne s’attendait à ce que ses premiers mots soient aussi intimement liés à ce qu’elle est profondément. « L’adrénaline n’est pas encore retombée, je suis encore sur un petit nuage », a-t-elle confié, encore submergée par l’instant.
Le public était habitué aux formules classiques, aux remerciements traditionnels, mais cette émotion brute, cette manière de laisser sa voix trembler légèrement avant de reprendre « Je suis très honorée », a immédiatement créé un moment suspendu.
Sur les réseaux sociaux, beaucoup ont souligné la spontanéité de ce début de phrase inachevé, comme si la Miss avait été submergée par un mélange d’incrédulité et de gratitude. Une réaction très humaine, loin du contrôle millimétré auquel on pourrait s’attendre d’une Miss fraîchement couronnée.
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Une Miss France engagée : la santé mentale au cœur de son message
Très vite, Hinaupolo Devèze a donné une direction claire à son futur règne. Interrogée sur les valeurs qui comptent le plus pour elle, elle n’a pas hésité une seconde : la liberté, l’égalité, la fraternité, mais surtout le respect, notamment celui que chacun se doit d’avoir envers lui-même.
Diplômée en psychologie, elle a immédiatement relié cette notion à un sujet qui lui tient profondément à cœur : la santé mentale, un enjeu qu’elle juge essentiel et trop souvent négligé.
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« On doit déstigmatiser, notre fragilité nous caractérise », a-t-elle déclaré sans détour. Une phrase forte, inattendue dans ce contexte d’euphorie générale, mais qui a résonné comme un véritable appel à la bienveillance envers soi-même.
C’est là que le contraste entre son « Je suis très… » ému et sa posture engagée a surpris. En laissant transparaître sa propre vulnérabilité, elle donnait déjà un exemple concret de ce qu’elle souhaitait valoriser : l’authenticité, même quand elle nous expose.
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Une identité forte et une histoire singulière
Hinaupolo Devèze n’a cessé, tout au long de la soirée, de rappeler ses racines et ce qui fait la singularité de son parcours. Elle aime dire qu’elle est « le fruit d’une histoire d’amour entre la Polynésie et le sud de la France ». Pour elle, son identité n’est pas un simple héritage : c’est une force.
« Mon enfance a autant été bercée par le chant des cigales que par la mélodie du ukulélé », confie-t-elle. Une image poétique qui a participé à installer une atmosphère douce et authentique autour de sa candidature.
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Cette double culture, qu’elle revendique avec fierté, explique aussi en partie la justesse de son discours : elle veut représenter toute la diversité de la France, ses contrastes, ses nuances et ses histoires multiples.
Avec son mètre quatre-vingt-deux, son sourire solaire et son parcours académique solide, elle incarne une Miss France moderne, consciente des enjeux sociétaux et déterminée à occuper son rôle autrement que comme une simple ambassadrice glamour.
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Une élection marquée par la diversité et la force des parcours
La 96e élection de Miss France a réuni des candidates aux profils particulièrement variés. De la benjamine, Miss Bretagne, à peine âgée de 18 ans, à la doyenne de la promotion, Miss Guadeloupe, analyste financière de 30 ans, la scène du Zénith d’Amiens offrait un panorama riche de talents et de trajectoires.
Face à cette pluralité, la victoire d’Hinaupolo Devèze a encore plus de sens : elle symbolise l’ouverture d’esprit d’un concours qui, année après année, évolue vers plus de représentativité, d’ambition et d’authenticité.
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Une Miss France qui surprend déjà… et ce n’est que le début
Son sacre marque le début d’une nouvelle ère, où l’émotion, la vulnérabilité et l’engagement ne sont plus perçus comme des faiblesses mais comme des forces. Son « Je suis très… », d’abord prononcé avec délicatesse, est devenu le symbole d’une Miss loin des clichés, prête à incarner une France plus douce, plus respectueuse, plus humaine.
Dans les heures suivant son élection, ce moment est devenu viral, repris et commenté par de nombreux internautes qui ont salué sa sincérité. Et si ce premier message a autant surpris, c’est parce qu’il ouvre une perspective inattendue : Miss France 2026 pourrait bien être l’une des reines les plus inspirantes de ces dernières années.
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